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Dominatrices Inattendues Ch. 27

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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 27 : Noémie

Extrait « …Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises.

Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps… »

Noémie et aux anges.

Jean a totalement capitulé et fait tout ce qu’elle veut.

Elle décide d’aller plus loin et invite leurs meilleurs amis à déjeuner.

Léon et Sidonie forment un jeune couple branché.

Noémie sait que Léon la mate avec attention et ne serait pas contre un coup de canif dans le contrat.

Sidonie est volontaire et toujours la première à tenir des propos osées.

Ce jour-là Noémie les accueille seule.

Sidonie demande ou est jean.

Noémie leur dit qu’il est puni mais qu’ils le verront sans tarder.

Ils vont dans le salon et commencent à parler de choses et d’autres.

Au bout de quelques minutes Noémie demande s’ils veulent une coupe de champ.

Les deux acceptent volontiers. Noémie agite une petite clochette qui était posée sur la table du salon.

Jean entre dans la pièce.

Il est nu avec un bâillon et une cage de chasteté posé sur son sexe.

Il porte un plateau avec trois coupes de champagne et vient se poser devant les trois convives.

Sidonie et Léon sont surpris mais regardent avec attention jean.

Il est puni pour un bon bout de temps et il est à mes ordres dit Noémie.

Sidonie et Léon prennent leurs coupes et ils trinquent avec Noémie alors que jean reste planté devant eux.

Sidonie est la première à réagir.

Dommage tu ne peux pas te servir de ça.

Elle montre le sexe de jean à Noémie.

Celle-ci répond :Il lui reste sa bouche on peut faire beaucoup de choses avec.

Sidonie admet. Elle commence à être chauffée.

Léon dit : c’est sûr mais une bonne bite c’est mieux non?

Noémie rebondit sur le propos. Pourquoi tu veux nous faire une démo.

Elle fixe l’entrejambe de Léon.

Celui-ci regarde Sidonie qui lui dit : Aller fait nous voir ce que tu as.

Léon baisse sa braguette et un chibre libéré se dresse vigoureusement.

Noémie dit : Pas mal … elle pose la main sur le sexe érigé en regardant Sidonie qui lui sourit.

Ensembles elles déshabillent Léon sous les yeux de jean.

Léon est confiant. Il va se taper les deux gonzesses sous les yeux du cocu qui ne dit rien.

Sidonie commence une fellation puis se ravise en disant il faut qu’on compare entre la bouche de jean et la bite de Léon.

Noémie est d’accord et elle va enlever le bâillon de jean. Elle lui menotte les mains dans le dos et le fait mettre genoux devant Sidonie.

Celle-ci se déshabille et assise sur le sofa écarte les jambes en montrant à jean son entrejambes.

Il s’approche à genoux et enfouie sa tête dedans.

Léon est déjà moins triomphant.

Noémie s’approche de lui et lui fait mettre les mains dans le dos. Il accepte de se faire menotter.

Elle le met sur le dos sur la table du salon. Elle se déshabille à son tour et se met à le chevaucher.

Pendant une demi-heure Sidonie et Noémie alterne les positions.

Elles vont jusqu’au moment où Léon va craquer puis lui laissent quelques secondes avant de le reprendre.

Puis Sidonie propose d’échanger les rôles.

Le sexe de jean est libéré.

Il trique aussitôt gaillardement et est mis à la place de Léon.

Celui-ci doit maintenant faire usage de sa bouche.

Les filles s’en donnent à cœur gaziantep bayan escort ilanları joie sans laisser les garçons jouir.

Finalement jean et Léon se retrouvent à genoux avec chacun une cage de chasteté et ils voient les deux filles qui se font l’amour entre elles.

Après avoir bien joui les filles décident de passer à table. Jean et Léon font le service et jeunent tandis que les deux filles mangent avec joie.

Après le café les garçons sont remis à contribution pour le plus grand plaisir des deux filles.

Noémie propose à Sidonie de mater un film porno à la télé dans sa chambre.

Sidonie accepte volontiers.

Les garçons les accompagnent mais ne peuvent regarder le film car les filles regardent le film à genou sur le lit avec chacune un garçon couché sous elle et la bouche en contact direct avec le sexe de la fille.

Elles profitent du film et des langues des garçons qui ne risquent pas de leur spolier le film.

Au moment du départ Sidonie radieuse dit la prochaine fois c’est moi qui invite. Les garçons se feront un plaisir de nous servir.

Le soir Noémie autorise enfin jean à jouir. Il passe quand même comme c’est l’habitude maintenant la nuit en laisse aux pieds du lit de Noémie.

Noémie et Sidonie sont heureuses. Elles parlent beaucoup de leurs exploits.

Brigitte et Tania deux de leurs copines semblent douter de la véracité de leurs exploits.

Elles raillent ouvertement Noémie et Sidonie en présence d’autres copines.

Finalement Noémie exaspérée leur dit qu’elles peuvent venir vérifier.

Elle invite Brigitte et Tania à la maison un après-midi pour un café servi par des garçons nus avec une cage de chasteté.

Brigitte et Tania acceptent l’invitation.

Le jour J Brigitte et Tania se présentent chez Noémie.

Celle-ci les accueille avec fierté et les deux invitées ont la surprise d voir deux males entièrement nus à part une cage de chasteté les attendre dans l’appartement.

Les garçons font le service.

Brigitte est enthousiasmée.

Tania un peu plus sur la réserve.

L’après-midi se déroule bien et lorsque les invitées repartent Brigitte promet de rendre l’invitation pour se faire pardonner de ne pas avoir cru Noémie et Sidonie.

Quelques jours plus tard l’invitation arrive. Sidonie n’est pas libre.

Noémie en fait part à Brigitte qui propose que Noémie et jean viennent seuls.

Ils pourront discuter plus intimement.

Noémie se demande ce que veut dire ce « intimement » mais accepte l’invitation.

Ils arrivent chez Brigitte qui les accueille avec le sourire. Noémie se demande si Brigitte n’a pas une idée derrière la tête.

Ils pénètrent dans le salon et ont la surprise de voir qu’un couple est déjà présent.

C’est un couple de blacks entre deux âges.

Les présentations sont faites. Ce sont des amis très chers de Brigitte et elle n’a pas résisté à l’envie de les présenter à Noémie et jean.

Victor l’homme est une baraque et il a un regard et une voix imposants.

Il impressionne Noémie.

La femme est musclée et donne aussi une impression de puissance.

Elle est habillée de cuir très ajouré et sa poitrine est particulièrement mise en valeur. Il ne lui manque que le fouet se dit Noémie.

Jean aussi est subjugué par ce mâle dominant.

Il ne peut s’empêcher de le regarder avec admiration.

Malgré lui il lui trouve un charme vénéneux. Il se voit naufragé sur une ile déserte forcé de servir un maitre impérieux et exigeant qui le forcerait à une obéissance sexuelle totale.

Il le rêve exhibant une bite monstrueuse que jean devrait s’occuper en permanence avec ses mains sa bouche son cul.

Il n’arrive pas à détacher son regard du grand black.

La conversation commence.

D’abord sur des banalités, puis on en vient à parler de la visite de Brigitte chez Noémie.

Victor gaziantep bayan eskort dit tout à coup. On n’a pas eu la chance de voir ça.

Jean tu devrais nous montrer. On aimerait aussi te voir nu avec ta cage de chasteté.

Tout en parlant il caresse la cuisse de jean.

Celui-ci rougit et regarde du côté de Noémie pour savoir que faire.

Il en meurt d’envie afin de se soumettre à ce grand black si captivant.

Noémie ne souhaite pas qu’il se déshabille mais Nadia dit à Brigitte.

Apparemment Noémie a moins d’emprise sur jean que ce que tu nous as dit.

Noémie est touchée dans son orgueil.

Elle hoche la tête en regardant jean.

Celui-ci se déshabille alors.

Victor lui demande de s’approcher jean obtempère.

Jean n’en peut plus. Seule la cage de chasteté l’empêche de bander comme un taureau.

Victor sort une paire de menottes de sa poche et fait tourner jean.

Il lui menotte les mains dans le dos.

Noémie se demande ce qui se passe mais Nadia s’est approchée d’elle et lui prend les mains.

C’est bien ma chérie tu as bien travaillé avec jean.

Il est parfait. Je suis sure qu’on peut faire beaucoup de choses avec lui.

Noémie est subjuguée par la voix ferme et envoutante de Nadia.

Le contact de ses mains lui donne des frissons.

Victor fait mettre jean à genoux.

Celui-ci s’exécute sans rechigner et lorsque Victor sort un chibre palpitant il ne résiste pas à la main de Victor qui lui prend la tête et la met au niveau du chibre.

Jean commence à sucer le black. Il a juste le temps de constater que le sexe de Victor est entièrement épilé et ça lui donne une beauté incroyable.

Noémie est surprise jean n’a pas l’air de lutter.

Brigitte a disparu.

Nadia dit bon on va peut-être passer à table.

La table est dressée mais il n’y a que trois assiettes.

Noémie se demande pourquoi quand Brigitte réapparait nue les yeux baissés et dit que le repas est près.

Victor se lève et se dirige vers la table en emmenant jean à sa suite. Il s’assoit et positionne jean à genou sous la table pour qu’il continue la fellation.

Nadia prend la main de Noémie et la fait mettre à table en face d’elle.

Brigitte fait le service. Elle est soudain très déférente envers Victor et Nadia.

Noémie mange peu elle est dévorée des yeux par Nadia en face d’elle.

Tu dois être très jolie sans tes vêtements lui dit Nadia.

Noémie la remercie. Je suis sure que tu es au moins aussi belle que Brigitte.

En parlant elle fait un geste à Brigitte qui vient se mettre près d’elle.

Nadia caresse Brigitte. Noémie est presque jalouse elle perd pied.

Tu devrais te déshabiller lui dit sur un ton autoritaire Nadia.

Noémie ne bouge pas.

Nadia se lève et prend Noémie par la main et l’entraine doucement vers le salon.

Fais voir comment tu es Belle dit Nadia d’un ton qui n’admet pas de réplique.

Noémie se déshabille sans vraiment en avoir conscience.

Elle veut faire ce que la belle Nadia lui demande.

Noémie est nue face à Nadia celle-ci se recule et observe Noémie de la tête aux pieds. Elle l’a fait se tourner pour voir l’envers du décor.

Noémie est comme enivrée.

Nadia s’assoit sur le canapé et attire Noémie près d’elle.

Elle l’embrasse à pleine bouche.

Puis elle la fait mettre à genou et ouvre ses cuisses sur sa jupe de cuir sous laquelle il n’y a aucun sous-vêtement.

Nadia passe une main derrière la tête de Noémie et l’attire vers son sexe.

Noémie embrasse ce sexe si enivrant.

Pendant ce temps Victor a terminé de manger et sort de table en emmenant jean docile derrière lui. I

ls entrent dans une chambre et Victor amène jean le long du lit et le fait mettre débout au bord du lit mais le torse penché jusqu’à reposer sur le matelas.

Puis Victor pénètre jean par derrière.

Heureusement gaziantep escort pour jean Victor a bien lubrifié sa matraque.

Il besogne jean avec ardeur.

Jean est presque déçu de ne plus pouvoir sucer avec application le grand black.

Son odeur musquée si enivrante et le sentir palpiter dans sa bouche lui manque même si il est heureux de plaire à Victor.

Noémie est toujours ne train de lécher Nadia quand elle sent une présence derrière elle. Brigitte munie d’un gode ceinture la prend par derrière.

Noémie se demande comment elle a pu en arriver là.

Noémie a vaguement eu l’impression qu’une porte s’ouvrait. Mais elle voit avec surprise une autre femme black entrer dans la pièce.

C’est le même genre que Nadia. Une reine de cuir.

Celle-ci salue Nadia et caresse Noémie. Très belle dit-elle. Tu me la donnes.

Nadia répond non je peux bien la partager un peu mais je me la garde elle est trop belle.

Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe.

Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises.

Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre.

Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce.

En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean.

Celui-ci le suce sans se poser de questions.

Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps.

Noémie est dans un tourbillon de luxure.

Nadia lui donne des ordres et elle ses exécute sans se poser de question.

Elle lèche embrasse pelote deux corps de bronze qui envahissent tous ses sens.

Quand Nadia lui dit d’arrêter et de lui embrasser les pieds elle se met à genou et embrasse les pieds avec ferveur.

A côté d’elle elle voit que Brigitte fait de même avec la deuxième femme.

Les deux femmes se rhabillent mais Brigitte et Noémie continuent à se prosterner à leurs pieds.

Jean sent que le grand black va jouir.

Il redouble de caresses buccales et tout à coup il reçoit une grande giclée de sperme dans la bouche.

Heureusement qu’il s’y attendait car sinon il aurait été étouffé.

Il prend bien soin de tout avaler et de lécher consciencieusement le membre toujours gonflé qu’il a dans la bouche.

Victor le serre plus fort et d’un coup se vide aussi en ahanant bruyamment. Jean sent la semence le remplir. Il est presque déçu quand les deux hommes se retirent.

Victor et un grand black entrent dans la pièce.

Ils entrainent jean qui est ruisselant de sueur.

Noémie se dit qu’il a dû prendre cher. Il est toujours nu et menotté alors que les hommes sont habillés.

Victor a récupéré le 06 de jean et lui dit qu’il l’apprécie beaucoup et ne manquera pas de le rappeler pour des soirées amicales.

Noémie soudain dégrisée est perplexe.

Nadia se penche vers elle et lui susurre. J’ai parfois besoin de petites boniches pour mes soirées entre grandes fille.

Je ne manquerais pas de t’appeler.

Et les deux couples saluent Brigitte qui est en extase et quittent l’appartement.

Il faudra un peu de temps pour que Brigitte retrouve les clés de menottes et libère le couple. Noémie l’assaille de question sur ses invités.

Brigitte lui dit qu’elle les a croisés par hasard dans le train et qu’elle est immédiatement tombée amoureuse de Nadia.

Et depuis elle se plie à tous les caprices de Nadia pour lui plaire.

C’est pour ça que Victor et Nadia l’ayant entendu parler du couple souhaitaient absolument les rencontrer.

Effectivement ils étaient devenus intimes physiquement parlant.

Brigitte demande à Noémie si elle libérait parfois jean de sa cage.

Noémie lui répond que oui et qu’il était alors un bon coup.

Pour prouver ses dires elle libère jean et dit à Brigitte tu peux l’essayer si tu veux. Il a plus pris que donné aujourd’hui.

Brigitte et jean n’hésitent pas et il la prend dans le salon pour un coït mémorable.

Quand ils rentrent chez eux le soir ils se demandent s’ils ont rêvés tout ça et sinon s’il n’y avait pas quelque chose dans les boissons qui a annihilé leur volonté.

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Kary 01

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Public Sex

Mon nom est Karine. L’histoire que je vais vous raconter est vraie et c’est mon histoire. En ce mois de novembre, elle se poursuit toujours. Je vais omettre ou modifier certains détails pour conserver mon anonymat bien sûr. Si je vous la raconte, c’est à la demande de Madame qui veut que j’occupe mes temps libres lorsqu’elle ne peut s’occuper de moi. Alors voici comment tout a commencé…

J’ouvre les yeux tout doucement. Il est 7h15, même si c’est lundi 4 avril, je commence une de mes journées de congé, car je suis une professionnelle de la santé qui travaille sur des horaires variables. Je me dirige vers la salle de bains, et après avoir soulagé la pression qui grandissait dans ma vessie, je me prépare un copieux petit-déjeuner.

Assise à la table, sirotant mon café bien chaud, j’observe le parc devant moi en cette journée radieuse d’avril. Puis mon cerveau s’emballe, mes pulsions secrètes m’envahissent. J’avais prévu de les assouvir en fin d’après-midi, mais la tentation est trop forte. Je dépose rapidement mes couverts sur le comptoir et me dirige vers ma garde-robe où je range tous mes jouets.

Sur le plancher du salon, je dépose ma boîte temporelle. J’y insère la clé de mes menottes et ferme le couvercle. Je règle la minuterie sur 1h00. Oui… je vais juste me faire une petite séance pour pouvoir patienter jusqu’à celle que j’ai prévue cet après-midi, qui sera bien plus exaltante et difficile.

Je retourne dans ma chambre près de la fenêtre. Je m’étends sur le plancher, et j’insère dans mon vagin un petit vibrateur préprogrammé avec l’aide de mon téléphone intelligent afin qu’il puisse me fournir des sensations de façon aléatoire et de diverse durée.

Puis je me ligote les chevilles et les genoux avec de la corde. Hum! Le vibrateur fait déjà sentir sa présence en m’honorant de quelques vibrations. Je place dans ma bouche un bâillon boule; gaziantep escort bayan celui-ci est muni d’une boule creuse et perforée, il a l’inconvénient de laisser s’échapper beaucoup de salive, mais il me permet de mieux respirer lors de mes séances.

Ensuite, je me prive du sens de la vue grâce à un bandeau.

Enfin, je place mes poignets derrière mon dos et les relie ensemble grâce à mes menottes. Clic… Clic et voilà! Si je veux me libérer, je devrai parcourir la distance qui me relie à la boîte temporelle et attendre que celle-ci se déverrouille, pour avoir accès à la clé qui me libérera.

Je commence donc à ramper à l’aveuglette sur le plancher comme un ver de terre.

De temps en temps, le vibrateur se déclenche et me procure de douces sensations. Je me cogne sur un meuble, oui, c’est le coin de mon bureau, je suis tout prêt de la porte de ma chambre. Finalement, je réussis à sortir de celle-ci.

Oups! Je n’y pensais plus, mais j’avais placé plusieurs pinces à linge sur le plancher du couloir qui mène au salon. Je dois les traverser, tantôt sur le ventre, tantôt sur le côté, je traverse péniblement cette partie. Chaque pince qui s’enfonce dans ma peau me procure une douleur à la fois pénible et merveilleuse, oui, merveilleuse. Il faut dire que je suis maso.

Après plusieurs minutes de traversée de ce couloir de l’enfer, j’arrive enfin au salon.

Combien de temps s’est-il écoulé depuis le début?

Soudain, je bute sur la boîte temporelle. Je me retourne pour pouvoir essayer d’ouvrir le couvercle avec mes mains qui sont liées dans mon dos. Mais rien à faire, le temps n’est pas encore écoulé. Je vais devoir patienter encore plusieurs minutes avant de pouvoir ouvrir cette boîte libératrice.

Il ne me reste plus qu’à attendre tout en savourant les délicieuses gaziantep escort bayan ilanları vibrations qui se produisent à l’intérieur de mon corps. Parfois, cela est décevant, car en approchant de la jouissance, le vibrateur s’arrête tout à coup, puis quelques minutes plus tard, il reprend du service. Je suis à la merci de la programmation aléatoire initiale.

Après plusieurs essais, je réussis enfin à ouvrir la boîte. J’y prends la clé des menottes et dans un temps record, mes poignets sont libérés. Oui, cela est rapide, car je suis une habituée à ce genre de jeu.

J’ai rangé tous mes jouets à leurs places. Avant d’aller me doucher, je passe devant le grand miroir de ma chambre. Je m’observe nue de la tête aux pieds, et le spectacle que je vois m’excite terriblement. Sur mon corps, il y a plusieurs marques de cordes et une multitude de rougeurs causées par les pinces à linge. Cela me donne un air sexy à mes yeux. Je rêve tellement de domination. Malgré mes 26 ans, je n’ai jamais trouvé de dominant pour en être sa soumise.

Alors que je me contente d’autobondage que je pratique dans tous mes temps libres. Cela m’obsède et me ronge de l’intérieur. J’ai tellement envie d’être prise en charge par une tierce personne, une personne qui pourrait me comprendre et me dominer sans pitié.

Après ma douche, j’y pense tout à coup. Je n’ai pas encore regardé mes mails d’aujourd’hui. Alors je m’installe à l’ordi et comme d’habitude, j’efface une foule de courrier d’homme qui me sollicite pour devenir mon maître. Ils sont tous amateurs et sans intérêt. On voit bien que leur seul objectif est de profiter de moi pour une relation sexuelle, enrobée dans un pseudo bdsm.

Mais soudain, l’objet d’un courriel attire mon attention…

Je pense que nous nous sommes trouvées…

J’ouvre gaziantep escort bayan reklamları le courriel, car son titre est différent de tous les autres, sans allusion à la domination. Je commence à lire :

Bonjour,

Je suis une dominatrice qui cherche son complément. Tout comme toi, je désire une relation à long terme basée sur la confiance et le respect. Je suis consciente que chacun a sa vision du monde bdsm et j’espère que tu es celle qui partagera ma vision. Alors, si tu cherches toujours une dominatrice pour te prendre en main, appelle-moi immédiatement à ce numéro: 45-XXX-XXX.

Maîtresse Liane.

J’étais figé par ce courriel, enfin un courriel qui avait un certain potentiel. Cela faisait des mois que j’étais déçue par les mails ou biens par certaines rencontres que j’avais initiées. Je me souviens encore de mon annonce que j’avais placée, il y a de cela, maintenant 3 mois :

Bonjour à vous,

Je suis une femme de 26 ans qui cherche une Maîtresse autoritaire et sévère qui voudrait bien me posséder. Je suis de type plutôt maso et obéissant. J’aimerais une relation exclusive à long terme. Je suis prête à tout pour vous servir. Je veux devenir votre objet, votre chose, votre esclave sans condition. Je vous cherche désespérément.

Salope pour vous.

Jusqu’à présent, je me suis contentée de me faire des séances d’autobondage en m’inspirant sur les sites bdsm du Net, et plus le temps passe, plus j’ai besoin d’intensité. J’ai besoin que l’on me prenne en main. Je veux être dominée par une femme d’une grande autorité et m’abandonner complètement à elle. Je veux que notre relation soit privilégiée et dans un climat de confiance. Je veux appartenir à quelqu’un sans condition, cela est ancré très profondément en moi.

Un torrent de frissons a parcouru mon corps lorsque j’ai lu cette annonce. Est-ce que je venais de trouver ma Maîtresse, celle avec qui j’entreprendrais une relation à long terme, celle qui m’utiliserait à sa volonté et pour qui je me dévouerais? Bien sûr, cela faisait partie de mes fantasmes et la réalité pouvait bien être autre. Après tout, j’avais déjà initié bien des rendez-vous qui n’avaient rien donné, mais il faut foncer pour le savoir. J’ai donc pris mon courage à deux mains et j’ai fait le numéro…

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Château Ragia Chapitre 13

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Amateur

Chapitre 13

Rose ouvrit les yeux avec grande difficulté. La journée précédente l’avait complètement lessivé et elle avait encore envie de dormir.

Lentement elle tenta de se mettre debout. Sa tortionnaire avait dit vrai, elle avait retrouvé son tonus musculaire.

Elle sentait de nouveau son corps entraîné répondre parfaitement à ses commandes. Difficilement elle s’extirpa du lit pour bébé géant et fit quelques pas. Elle avait la sensation de retrouver son corps, comme un paralyser qui soudain se remettrait à marcher. Elle ne voyait pas Sofia, pourtant il était encore tôt.

Il lui suffit d’un passage devant le grand miroir de la pièce pour que le traumatisme de la nuit précédente vienne la frapper en pleine face.

Elle portait encore le costume ridicule que cette folle lui avait fait! C’était encore pire que les costumes de soubrette! Une larme coula sur son visage, mais elle l’effaça aussi vite qu’elle était venue. « Tu vas t’échapper! » se répéta-t-elle pour se donner du courage. Étrangement cette technique marchait toujours, elle arrivait toujours a lui remettre un peu de baume au cœur.

-Par ici Rose.

La jeune fille entendit la voix de Sofia provenir de la salle de bain. C’est vrai qu’elle avait dormi couverte de sueur et de ses propres jus. La règle de Maria d’être toujours propre s’afficha dans son crâne et elle se dirigeât vers la sale de bain en soufflant.

-Mhhhhhh qu’est-ce que tu es sexy là-dedans.

Sofia barbotait dans une large baignoire couverte de mousse. Elle observait la soubrette à la tenue infantile avec un sourire amusé.

Rose se dit que sa salle de bain était bien plus confortable, elle regrettait déjà sa douche de luxe qui caressait son corps.

-Bien dormie?

Lui demanda Sofia en se savonnant le corps.

-Oui.

Répondit Rose en défaisant son costume pour rentrer dans la baignoire. Elle avait dormi d’un sommeil sans rêve après cette horrible nuit à se faire humilier.

-Mhhh ma pauvre petite. Viens là.

Sofia ce glissa à côté d’elle et commença a consciencieusement lui savonner le corps.

-J’ai fait de super rêves cette nuit, j’ai plein d’idée pour ce soir tu vas voir.

Les mains de la femme parcouraient son corps encore trop peu réveillé pour se débattre. De toute façon c’était une sensation agréable. Comme quand sa maîtresse était gentille avec elle.

Elle effaça immédiatement cette pensée de son esprit. Non! Elle ne devait jamais avoir de pensée positive pour Maria!

Elle resta à se faire masser et choyer par Sofia pendant quelques minutes, sentant la crasse et la sueur quitter son corps, réveillant son esprit et sa chair.

Sofia lui prit doucement la main et la plaça contre sa chatte immergée. Rose sentit immédiatement la main de la femme sur son entrejambe personnelle.

Sofia lui murmura.

-La première à jouir?

Et commença a doucement masser sa chatte.

-Mhhhhh attennnnd

Par réflexe Rose crispa les doigts ce qui envoya des petites ondes de plaisir à Sofia qui redoubla d’ardeur.

-Mhhhhh oui, comme ça.

Gémis la femme aux oreilles de chat.

Pris par la délicatesse du plaisir Rose se laissa a gémir de plus en plus fort en sentant les doigts pénétrer en elle.

-Aaaaah aaah Sofia aaaah aattend aaaaah

-Mhhh nooon mmhhhh c’est bon. Continueeee.

L’eau clapotait alors que les gémissements des deux femmes emplissaient la salle de bain. Sofia était toujours aussi experte avec ses doigts et Rose sentait l’orgasme monter en elle a une grande vitesse.

-sofi-i-i-iaaaa j-je doit paaaaas jouir.

-Mhhhh ah-ah-ah oh oui continue. Gnhhh caresse moi plus fort.

-Maîtresse me mhhhh me mmhhhh punis si je jouis le matinnnn.

-Gha-gha continue, continue, je vais jouir! hu hu hummm!

Sofia trembla sous le massage de Rose, la jeune fille faisait piston avec ses doigts pour donner le plus de plaisir possible à Sofia. Elle devait la faire jouir avant elle.

-ghhhh! oui! oui! je jouis!!!!

Elle sentit la chatte se contracter autour de ses doigts alors que Sofia jouissait en gémissant dans la baignoire. Immédiatement la main se retira de son entrejambe avant qu’elle ait pus jouir. Elle vit la petite lumière de son collier passer au vert en lui indiquant qu’elle avait respecté ses consignes. Cette saleté se moquait bien qu’elle ne soit pas au château. Les règles de Maria la suivaient partout.

Sofia repris son souffle et embrassa langoureusement Rose avant que cette ci ne puisse réagir.

-Mphhhh! mhhhhh!mmmmmmmm.

Elle résista un instant puis lui rendus son baiser. Pourquoi faisait-elle ça? Cette femme la torturait! Elle ne méritait pas un baiser de sa part!

Sofia brisa l’étreinte après une petite minute.

-Mhhh merci ma chérie. Tu as bien mérité ta récompense.

Encore une fois Rose fut surprise par la force hallucinante de Sofia qui la souleva de la baignoire avec aisance, la transportant comme une princesse. Le corps luisant de la jeune fille fut déposé délicatement dans le grand lit à escort reklamları baldaquin.

-Tiens, tu peux manger.

Dit-elle présentant ses seins à Rose qui profitait de la sensation de propreté de son corps.

-Mais.. je.

Sofia attrapa les jambes de la jeune fille et fit glisser son corps en le tirant, plaçant la tête de Rose sur ses genoux.

-Si tu avais joui avant moi je t’aurais fessé. J’adore mettre des fessé tu sais. Mais comme c’est toi qui as gagné, c’est toi qui as droit à une petite gâterie.

Rose comprit qu’elle serait perdante dans tous les cas. Et son ventre criait famine. Elle n’avait aucun choix! En plus Sofia semblait avoir une force capable de la briser en deux. La mort dans l’âme elle ouvrit la bouche et donna de petits coups de langue au sein.

-Mhhh c’est bon. Si j’avais su que donner la tété était si agréable j’aurai demandé a Annie de me modifier. Hi hi ça chatouille vilaine fille.

Rose mordillait le téton pour le faire durcir. Bientôt elle déposait ses lèvres autour et commençait à sucer.

-Mhhhhhhh, oui!

Le visage de Rose vira encore une fois au rouge quand elle sentit la main de Sofia à maintenir contre son sein.

-Tu as vu le nouveau jouet de madame Brooks? mhhh il était tout mignon à gigoter dans tous les sens. J’aurais bien voulu le chevaucher.

Rose ne pouvait pas répondre. Le lait envahissait sa bouche et remplissait son estomac, elle sentait son entrejambe la chatouiller alors que son corps s’excitait contre sa volonté. Elle revus le garçon tremblant, ses supplications, sa torture, c’était de sa faute! Elle s’en voulait tellement. Madame brooks allait lui faire vivre l’enfer! Elle revit le large jet de sperme alors que le liquide crémeux la rassasiait de plus en plus.

-Mhhhh! continue c’est bien.

Dit elle en lui caressant le visage. La faisant rougir encore plus fort.

-Madame se réveille dans une heure, on va s’habiller et aller chercher ce qu’il nous faut dans la réserve. Ensuite tu m’aideras à faire la cuisine. Après ça on fera tout ce qu’elle nous demandera. D’accord?

Rose hocha la tête alors que le sein était largement enfoncé dans sa bouche.

-Je te conseille de faire exactement ce qu’elle demande . Maîtresse déteste qu’on lui obéisse mal. Surtout qu’elle va t’éduquer à être une bonne soubrette.

Rose appréhendait déjà l’horreur qu’allait être la journée.

Sofia lui chuchota à l’oreille avant de retirer son sein.

-Des fois je fais exprès de rater pour qu’elle me punisse. Elle est tellement belle quand elle m’éduque.

Rose préféra détourner les yeux alors que Sofia avait le regard d’une amoureuse en pensant a la femme qui la traitait comme une esclave.

Le sein finit par se tarir et Rose put se relever alors que Sofia se dirigeait en sautillant vers son armoire. Elle tendit un uniforme à Rose qui le regarda avec dégoût.

-Tiens je t’en aie mis de coté pour la semaine.

Encore une fois Rose du ce faire violence et fit passer son corps dans l’horrible tenue de soubrette. Celle-ci était composée d’un bustier avec des manches bouffantes aux épaules qui continuait en de longs gants blancs. Toute la partie des seins était recouverte de frou-frou qui avait au moins le mérite de la tenir au chaud alors que des lacets noirs fermaient le bas du corset. La jupe était simple bien que trop courte et comportait une broderie noire qui en faisait le tour.

Comme d’habitude aucun sous-vêtement ne venait la couvrir et ses jambes étaient insérées dans de longs bas blancs terminés par des souliers noirs.

Sofia plaça sa coiffe et étudia le résultat.

-Parfait. Une vraie soubrette dévouée et mignonne.

Elle-même portait un uniforme semblable bien que contrairement à Rose elle semblait adorer le porter.

Sophia mena Rose dans le pavillon. Tout d’abord elles se rendirent dans la réserve. Rose découvrit une pièce remplie à ras bord de divers objet à but sexuel. De la cage en passant par tous les sex toys possibles et imaginables. Certains semblaient tant obscurs qu’elle ne parvenait même pas à déterminer leur utilisation. Sophia lui tendit un seau et une éponge alors qu’elle se saisissait de deux plumeaux

Rose put découvrir le pavillon avec un peu plus de détails. Il y avait plusieurs petits salons souvent bâtis sur le même modèle avec une grande cheminée, des tapis et tenture de partout. La grande croix de bois était encore là alors que d’autres objets du même type décoraient les autres pièces. Des menottes accrochées au plafond, des attaches sur les murs et autres discrets détails se révélaient à la soubrette.

-Tiens nettoie ça, tu l’as salie hier. Je vais faire à manger pour maîtresse.

Dis Sofia en désignant la grande croix où elle avait été torturée. Elle déposa un baiser sur la joue de la soubrette et s’en alla tranquillement. Rose vit avec dégoût les traces de son urine sur le bois ainsi que sur le sol. En nettoyant consciencieusement l’outil de torture elle ne put que repenser escort resimleri aux chatouilles et au pénis que l’ont lui avait fait sucer . Elle aurait bien fait brûler cette horreur, mais voilà qu’elle devait en prendre soin!

Elle s’arcbouta sur des taches de sperme séché alors qu’une odeur de pain grillé et de haricot embaumait l’air. Malheureusement son ventre était plein et elle ne pouvait que sentir l’aliment qu’elle aurait mille fois préféré à la tétée.

La base de la croix était étrange. C’était comme si l’objet était fixé au sol par une espèce de système très complexe. Elle se rendit compte que l’objet pouvait rentrer ou sortir du sol à volonté. Comment ces femmes pouvaient être riche à ce point?

Elle se demanda à quel genre de technologie de pointe elles avaient à disposition. Ce trafic d’esclave devait vraiment être lucratif! Et pourquoi ceux qui installe ces choses ne signalent rien! Les preuves de la folie de ces femmes sont absolument partout!

-Tu as fini? Parfait. Suis-moi.

Sophia était apparue derrière elle. Elle tenait un plateau d’argent avec un copieux petit déjeuné dessus. Rose rangea le seau et suivit la soubrette en continuant à penser à l’absurdité de la vie qui était devenue la sienne.

-Attention, à bien te comporter avec maîtresse.

-Sinon je serais punie. Je sais Sophia.

La soubrette eut un petit rire en entendant la remarque de Rose.

-Oh crois-moi, quelques chatouilles ne sont rien comparé a ce que maîtresse peut te faire si tu es vraiment vilaine.

D’un petit coup de pied elle poussa la grande porte à battant qui se dressait devant elles. Rose remarqua que cette porte était différente. Plus grosse et décoré que les autres.

Elle se figea quand elle vu ce que la porte abritait.

Devant elle s’ouvrait un grand et large couloir, comportant des canapés au centre et plusieurs tableaux sur les côtés, des moulures en or et en argents rendant l’endroit éblouissant, un lustre de cristal diffusait une lumière claire et chaleureuse. L’endroit se terminait par une nouvelle grande porte de bois à son extrémité.

Mais c’est le mobilier qui terrorisa Rose.

Le mobilier était humain! Où s’ils ne l’étaient pas il avait au moins des humains encastré dedans. Chaque table était soutenue par un individu à quatre pattes, tous étaient dans des combinaisons de cuir ne permettant pas de voir leur visage, mais s’ouvrant au niveau de leur partie génitale. Des statues humaines portaient des lampes.

Des chaises en bois avaient une tête humaine placée au niveau de l’entrejambe permettant à l’esclave de sucer quiconque s’assoit. Certains formaient de véritables œuvres d’art charnel! Rose résista de toutes ses forces à l’envie de courir le plus loin possible de cet endroit. Mais la peur de finir comme l’empêchait de bouger le moindre membre.

-Impressionnant hein?

Dis Sophia en souriant quand elle vit le visage terrifié de Rose.

-Aller, aller on ne doit pas faire attendre maîtresse.

Rose ce réveilla un peu et un pas après l’autre suivi la Sofia tout en regardant chacune des œuvres humaines. C’était horrible! Comment pouvait-on infliger ça à un autre humain.

-Ce sont tous des esclaves qui ont voulu s’enfuir. Leur maîtresse et maître n’en voulait plus alors Maitresse Mathilde les récupères pour pas cher et leur donne une nouvelle utilité. C’est beau hein?

-Et- et … ils sont encore?

Rose ne parvenait pas à trouver les mots.

-Vivant? Bien sûr qu’est ce que tu crois. Il y a un système qui les nourrit par intraveineuse et ils sont très agréables à baiser.

Rose avait envie de vomir.

-Vous n’avez pas peur qu’ils … qu’ils tentent de s’enfuir a nouveau.

Sofia haussa les épaules.

-Non ils sont tout doux maintenant. Même si on les détache ils restent bien sages. Maîtresse dit que c’est ce qui arrive à ceux qui n’arrivent pas à supporter la vérité. Ils perdent toute envie de révolte et deviennent aussi tendres et soumis qu’un agneau.

-La vérité?

De quoi elle parlait? Sans doute une torture horrible de cette folle… elle avait bien vu avec son tisonnier qu’elle était capable d’infliger de grandes souffrances si elle elle voulait.

-Chut. Si maîtresse dort il ne faut pas la réveiller.

Dis Sofia en poussant la grande porte.

Les deux soubrettes rentrèrent dans une grande pièce, l’odeur frappa Rose immédiatement. Cela sentait les fluides, tous les fluides en même temps!

La grande pièce circulaire ressemblait à un temple. Des peintures représentant des scènes de saillies ou des photos d’esclaves ornaient les murs, certains endroits étaient occupés par des instruments ressemblants à des outils de torture alors qu’au centre un immense lit à baldaquin se dressait sur un petit piédestal.

« Quelqu’un a un petit problème d’ego » se dit Rose.

Sofia lui indiquait un côté du lit et lui chuchota

-à genoux.

Elle obéit et se mit à genoux sur le côté du lit alors que Sofia se plaçait gaziantep escort sitesi de l’autre côté.

Rose entendit la voix de Sofia souffler doucement

-Maîtresse, il faut se lever.

-Mhhhhh!

Un grognement parti du lit. Avec les draps Rose ne pouvait pas voir grand-chose à part une forme se roulant dans les draps.

-Maîtresse il est l’heure. Votre soubrette vous a fait à manger. Aller debout.

Sofia parlait lentement et délicatement.

Bientôt les draps s’écartèrent et elles purent voir Mathilde se réveillant.

La chasseuse était totalement nue. Ses draps sentaient mauvais et étaient imbibés de sueur. Son visage montrait des signes d’une nuit trop courte et des traces blanches couvraient son corps. Visiblement elle avait passé la nuit avec l’un de ses étalons.

-Bonjours maîtresses.

-Mhhhaaaaa.

Elle bâilla en écartant les bras, laissant voir sa poitrine et ses muscles à Rose. Elle était vraiment taillée pour le combat ce dit la soubrette.

-Bonjour ma petite Sofia.

Dit-elle prenant son café qui fit rapidement disparaître la fatigue de son visage.

-Bonjour ma petite Rose.

Dit-elle en souriant quand elle vit la soubrette à genoux à côté d’elle.

-Vous vous êtes bien amusé hier soir?

-Oh oui maîtresse. J’ai hâte de continuer ce soir!

Répondit Sofia en prenant délicatement la tasse vide et passant l’assiette à sa maîtresse.

-Tu es mignonne. N’est-ce pas Rose.

-Ou-oui maîtresse.

-mhhhh c’est bon. Décidément tu cuisines comme une chef Sofia.

-Merci maîtresse

dit la blonde en souriant.

-Rose.

-Oui?

Elle répondit un peu précipitamment. Les deux semblaient l’avoir complètement oublié.

-Eh bien ne laisse pas une maîtresse comme ça. Une bonne soubrette doit pouvoir prédire les besoins de sa maîtresse si elle ne veut pas se faire punir. Nettoie-moi.

Dit-elle en indiquant son corps couvert de reste de sueur et d’autres fluides.

-t-tout de suite madame. Je vais chercher.

Mathilde la coupa.

-Mais non avec ta langue petite idiote.

Dit-elle en riant alors que Rosa avalait sa salive.

-B-bien maîtresse.

La soubrette montât sur le lit et commença à lentement lécher les parties sales de la femme qui savourait la position humiliante de sa victime.

-N’oublie pas de bien nettoyer ma chatte. Et soit consciencieuse.

Rose rougit sans le vouloir quand elle entendit cela et répondit d’une petite voix.

-o-oui maîtresse.

-Et parle plus clairement. Tu dois montrer que tu es heureuse de servir ta maîtresse, mhhhhh.

Rose léchait l’entrejambe humide, un mélange de cyprine et de sperme emplit bientôt sa bouche alors qu’elle tentait de nettoyer l’endroit.

-Mhhhhhh oh oui sert bien ta supérieure petite soubrette.

Gémis Mathilde alors que rose baladait sa langue dans tous les recoins de l’entrejambe.

-Tu feras mon ventre et mes seins après. Sofia est-ce que des chasses sont prévues cette semaine?

-Non maîtresse. Vous ne devriez avoir que quelques visites. Oh et vous avez le goûter dans trois jours. J’ai commencé à préparer les plats, mais j’aurais bien besoin de l’aide de Rose.

-Mhhhh si elle a du temps. Je vais lui donner tellement de travail qu’elle n’aura plus le temps de penser à rien crois moi.

Rose continuait d’aspirer les liquides recouvrant le corps de Mathilde alors qu’on parlait d’elle comme si elle n’existait pas.

-Mhhhh ghaaaa. On va t’entraîner pour le goûter, si tu te comportes bien tu pourras rentrer au château deux jours en avance. Mais attention il va falloir être une très bonne soubrette pour ça.

Dit-elle alors que Rose relevait la tête de l’entrejambe maintenant luisante de sa salive pour commencer à lécher le ventre et le sein de Mathilde.

-Oui madame.

La soubrette continua à aspirer les liquides pendant de longues minutes alors que Sofia et Mathilde discutaient des affaires courantes. Rose avait du mal à comprendre de quoi elles parlaient, mais apparemment la période était calme pour les activités de Mathilde. À pars ce « goûter » elle n’avait rien d’autre à faire cette semaine que de s’occuper de sa victime.

-Ah!

Alors qu’elle finissait de nettoyer un des seins de Mathilde, elle sentit des doigts rentrer sans prévenir dans sa chatte encore humide ; par réflexe elle tourna la tête.

La gifle de Mathilde manqua de la projeter sur le côté.

-On regarde sa maîtresse!

Un peu choqué par la douleur Rose bégaya

-P-oui maîtresse ; ah! ah!!

Sofia s’amusait à faire de grand mouvement de piston dans son intimité, faisant flageoler ses jambes.

-Regarde-moi dans les yeux. Une soubrette doit montrer qu’elle prend du plaisir à servir.

Rose releva la tête pour regarder la femme droit dans les yeux. Mathilde la transperçait du regard alors que Sofia agitait toujours ses doigts dans sa chatte.

-Mhhhh ah ah ah!

Rose sentait la chaleur du plaisir se répandre dans son corps. Mathilde se mit à lui caresser le visage.

-Regarde-moi bien, je veux que tu regardes toujours Maria comme si tu regardais une déesse. Elle t’est supérieure. Je te suis supérieure.

-ghaaaaa gnnnnn!

Rose tentait de résister le plus possible. Elle tentait toujours de résister comme elle le pouvait. Refuser de laisser ses femmes la faire jouir facilement.

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Ange , Nat 30

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Creampie

ENDURCISSEMENT (fin)

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Poursuivant son plan visant à endurcir Angelina et constatant les progrès accomplis depuis le début du conditionnement arrive le moment où Grégory recommence à l’embrasser et la caresser beaucoup.

Et tout en caressant les seins, le ventre et l’entre-jambes il lui dit qu’il adore son corps, il répète qu’il est aussi fou d’elle que de sa sœur et qu’il ne veut pas en perdre une des deux.

La fille l’embrasse, l’étreint et le caresse. Elle lui dit qu’elle l’aime et ne comprend pas qu’il la fasse souffrir car elle est prête à accepter ce qu’il veut d’elle.

Puis sans se soucier de ce qu’elle lui fait et lui dit il se met tête bêche sur elle plaçant ses jambes de chaque côté de la tête de la fille.

Il enfouit sa tête entre les cuisses de sa victime, lui embrasse et lèche le sexe avant d’introduire sa langue dans la fente en écartant les grandes lèvres avec ses mains.

Ensuite pendant que sa langue s’agite dans la vulve il introduit un doigt dans l’anus et le fait aller et venir à l’intérieur. Grégory apprécie le goût et l’odeur des secrétions vaginales de son amante.

Il fouille longuement la chatte avec sa langue ou lèche le clitoris, sa salive finit par couler entre les fesses de la fille.

Quand elle est bien chauffée elle pose sa main sur la nuque de son amant et appuie dessus pour qu’il enfonce encore plus la langue dans son ventre. La fille rapidement bien excitée se met à embrasser ses bourses et sa queue et arrive aussi à lui lécher l’anus.

Quand elle prend le pénis dans sa bouche il lui doigte énergiquement la chatte et masturbe le clitoris.

Même si bien énervée elle suce le pénis avec des aller retour de sa bouche rapides et désordonnés ce qui le fait éjaculer assez rapidement, pendant qu’elle s’étrangle et avale le sperme il continue à doigter en même temps la chatte et l’anus tout en masturbant le bouton.

Il est satisfait quand les fesses de son amante se soulèvent et qu’elle tremble, comme il l’espérait elle atteint l’orgasme et des jets de cyprine s’échappent du vagin.

Déterminé à encore donner du plaisir à sa maîtresse il ne s’arrête pas là et continue patiemment ce qu’il a entrepris jusqu’à ce qu’elle jouisse plusieurs fois.

La torture que Grégory lui inflige agit sur le visage d’Angelina qui change d’expression et est marqué par les jouissances, satisfait il s’allonge sur sa proie et enfonce sa queue dans la vulve.

Il fait aller et venir doucement sa verge dans la grotte de la fille tout en m’embrassant ou caressant sa poitrine tout en essayant de se contenir mais c’est peine perdu, son membre tressaute et envoie des jets de sperme dans le vagin de sa victime.

Un peu calmé il continue à la défoncer pendant un moment avant de lui soulever puis replier les jambes. La escort haberleri queue sort de la chatte, il la place entre les fesses de la fille qui comprend ce qu’il veut faire et l’aide avec une de ses mains.

Elle positionne la verge contre son anus dans lequel il l’enfonce sans précipitation en s’aidant du poids de son corps, pendant qu’il pénètre le pénis repousse les chairs du fondement d’Angelina pour y faire sa place.

Quand il est bien enfoncé en elle il reste un petit moment sans bouger avant de commencer à la sodomiser avec des va et vient d’abord lents puis de plus en plus rapides quand il sent que son pénis est plus libre dans le fourreau qui l’a accueilli.

Il lui défonce le cul pendant un moment avant de se soulager dedans. Grégory s’allonge à côté d’Angelina et lui caresse les seins.

– mon amour Popaul a besoin de toi –

– tu en veux encore –

– ton cul m’inspire –

– tu sais que je ne peux rien te refuser mon chéri –

La fille caresse, lèche et embrasse le corps de son amant en commençant par le visage puis le cou, en passant par la poitrine et ensuite le ventre pour finir sur les cuisses et le sexe qui a perdu de sa superbe.

Angelina caresse les cuisses puis les bourses et enfin la queue avant de la masturber d’abord lentement puis de plus en plus vite.

Quand la verge grossit et se redresse elle lèche le gland puis le suçote et l’aspire avant de commencer une fellation.

Satisfaite de l’érection qu’elle a obtenue Angelina se positionne au dessus de son amant les jambes de chaque côté de son corps.

la fille alterne qui a d’abord enfoncé la verge dans sa vulve et fait bouger son corps pour faire aller et venir le membre dans sa grotte pendant un moment se soulève, la queue sort de son intimité, elle la place contre son anus puis laisse descendre son corps et s’empale.

De nouveau elle donne des coups de reins pendant un moment avant d’alterner enfonçant la queue tantôt dans sa chatte tantôt dans son cul. et c’est dans celui-ci qu’après un moment le membre s’agite et déverse sa semence.

Sans demander l’avis de son amant elle laisse le pénis qui rétrécit sortir de son fondement et commence tout de suite à le caresser, malaxer et masturber.

Même si ça lui prend un peu de temps elle remet le membre poisseux en érection et le prend dans sa bouche afin de lui faire une longue fellation faisant jouer sa langue en même temps que ses lèvres vont et viennent, elle essaie de faire pénétrer le plus possible de la longueur du gros membre dans sa gorge.

Grégory la repousse, lui demande de se mettre à genoux, ce qu’elle fait en creusant les reins et posant sa tête sur ses bras repliés.

Il la pénètre et la défonce longtemps sa queue passant de la chatte à l’anus au gré de ses envies, il escort hikayeleri cesse de donner des coups de reins quand il se sent au bord de l’éjaculation et à ces moments la c’est le clitoris de son amante qu’il prend pour cible en me masturbant sans douceur.

Il arrive à ce qu’il voulait, la fille se trémousse et agitée par des spasme elle atteint l’orgasme pendant que des jets de cyprine s’échappent de son vagin, pendant ce temps Grégory a continué à lui défoncer le cul et après quelques coups de reins il jouit dans le fondement d’Angelina qu’il arrose de sperme.

Elle ne se rebelle pas quand il la bâillonne et l’attache aux barreaux du lit pour la nuit bien qu’elle pense que ce n’est pas nécessaire.

Comme il fait la navette entre son domicile et la fermette où est emprisonnée et torturée Angelina, un jour en fin de journée Grégory récupère Natacha qui a terminé ses heures de tapin.

En voiture il la ramène chez lui.

– j’ai vu ta sœur et on a un peu parlé –

– je vais la revoir et quand –

– cela va certainement bientôt se faire, nous avons surtout parlé de toi –

– à quel sujet, elle ne sait pas ce que je fais –

– si! elle m’a posé des questions et je lui ai dit que tu fais le trottoir depuis deux ans –

– ce n’est pas possible, elle n’a pas du comprendre, elle doit avoir honte de moi et ne va plus me considérer comme sa sœur –

– ne crois pas ça, elle a commencé à faire la même chose que toi –

– c’est vrai –

– oui! elle n’a pas encore terminé sa mise en condition à la fermette, la même que je t’ai fait subir, mais elle a hâte de faire le trottoir en ta compagnie –

– une des sœurs ne te suffisait pas, tu vas mettre les deux sur le trottoir. Je serais heureuse de tapiner avec elle –

– je ne veux pas vous séparer, elle habitera avec nous –

– super, tu es un ange mon chéri –

Régulièrement Grégory abandonne Angelina pour aller retrouver Natacha surtout le dimanche qui est le jour de repos de celle-ci, ils vont se promener, visiter des lieux ou voir des expositions.

Ce jour là pendant que son amant est absorbé par la conduite Natacha est rêveuse.

– dis mon chéri tu n’as jamais pensé à avoir un enfant –

– pourquoi, tu en as envie –

– de temps en temps j’y pense mais avec mon métier ce n’est pas évident –

– c’est sur que tapiner avec un gros ventre cela te poserait de gros problèmes –

– j’ai bien compris qu’une fille comme moi est condamnée à ne pas avoir d’enfant et cela me désole-

– il y a une solution, il te faut une remplaçante pendant à peu près un an –

– ça ne se trouve pas comme ça –

– non! mais quand ta sœur tapinera régulièrement cela règlera le problème et on pourra envisager de procréer –

– à condition qu’elle escort ilanları soit d’accord –

– tu la connais mieux que moi, elle ne sera pas contre te faire plaisir mais pour qu’elle accepte je pense que tu devras faire des concessions –

– je ne comprends pas –

– elle est amoureuse de moi et je suis persuadé qu’elle va exiger certaines choses –

– quelles choses –

– comme elle connait tes sentiments pour moi et qu’elle sait que je ne te quitterais jamais elle veut faire ménage à trois –

– si elle exige ça j’aurais du mal à le supporter mais je t’aime assez pour te partager et je ne vois pas ma sœur accepter ça, elle n’a pas le même caractère que moi –

– c’est à négocier avec elle, je m’en charge –

– et si elle refuse –

– il faudra que je trouve une autre fille pour te remplacer. Je ne sais pas comment mais je trouverais le moyen car je t’aime, tu es ma femme et si tu veux un enfant nous en aurons un –

Le lendemain Grégory est de retour à la fermette.

– mon amour, aujourd’hui tu vas me prouver que tu es prête à accepter absolument tout –

– tu peux avoir confiance en moi, je t’ai dit que je suis prête à tout pour toi –

Après l’avoir fait monter et enfermée dans le coffre de sa voiture il roule pendant un moment et il amène Angelina toujours nue dans un chenil pour la tester, pensant que cela fait partie de son dressage et sans se rebeller elle accepte et fait ce qui lui est demandé. Pour le service rendu Grégory laisse d’abord l’éleveur sodomiser la fille après qu’elle lui ait fait une pipe.

Ensuite elle reçoit l’ordre de se frotter contre des femelles en chaleur avant de mettre en érection chacun leur tour trois mâles. Elle soulage le premier en suçant son pénis qui perd en permanence du liquide de lubrification puis réprimant l’envie de vomir elle recrache longuement le sperme qui a coulé en bonne quantité dans sa bouche.

Elle passe au deuxième et pendant qu’il se colle contre elle et lèche son sexe elle s’allonge, l’aide à se mettre sur elle puis c’est aussi elle qui introduit le pénis dans sa chatte, elle sent le membre beaucoup trembler et bouger en elle pendant que le mâle tremble sur elle puis il se laisse aller dans sa vulve avant de se retirer et de se coucher à côté de la putain. Le sperme coule sur le sol.

Pour le troisième c’est elle qui s’accroupit au dessus de lui et enfonce le membre dans son anus puis le fait aller et venir en elle avec ses mains jusqu’à ce qu’il éjacule dans son cul, elle attend un peu avant de se lever et de laisser sortir le sexe qui a bien gonflé, elle le fait doucement étonnée par le bruit de succion qui se produit. Elle laisse le sperme couler sur le sol.

De retour dans la fermette et une fois lavée la putain dit à son homme que ce qu’il vient d’exiger d’elle n’était pas nécessaire, que cela l’a dégoûtée mais qu’elle a voulu lui prouver ce dont elle est capable d’accepter pour lui.

Grégory est satisfait du comportement de sa maîtresse.

– c’est bien mon amour, met tes baskets, tu vas faire un footing avec moi pour te détendre-

– je reste nue –

– pourquoi pas, j’aime bien voir tes seins ballotter –

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Elodie Réalise Ses Fantasmes 05

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Asian

Le lundi matin, je monte directement dans le bureau de l’assistante de Direction de la société.

– Bonjour Sonia, vendredi avant de partir, Madame Legrand m’a demandé de monter vous voir dès mon arrivée.

– Bonjour Elodie, je suis au courant. Bienvenue à cet étage. Venez avec moi, je vais vous montrer votre bureau et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas.

Je ne sais pas quoi penser de cet accueil chaleureux. Son sourire narquois a disparu.

Je découvre un superbe bureau, bien évidemment moitié moins grand que celui de ma Maîtresse, mais avec un mobilier luxueux. Je suppose que les bureaux de cet étage sont tous de ce niveau. Je fais le tour du bureau. Sur la table de travail, deux dossiers épais ont été déposés. Mais c’est une porte dissimulée dans le mur qui attire mes yeux. Elle dissimule un petit cabinet de toilette avec éclairage, miroir et même un petit bidet lui aussi dissimulé dans un placard, permettent à la femme qui occupe ce bureau de pouvoir se recoiffer et se maquiller mais aussi d’effectuer une toilette intime.

En milieu de matinée, la porte s’ouvre sur ma Maîtresse qui n’a pas frappé avant d’entrer.

– Ton bureau te plait, soumise?

– Il est superbe Maîtresse, je vous remercie.

– Tu auras l’occasion de me remercier à de nombreuses reprises. J’attends de toi que tu étudies sérieusement les deux contrats que j’ai fait déposer sur ton bureau. Mais pour l’instant va t’asseoir sur ton bureau en écartant largement les cuisses.

Maîtresse va fermer la porte à clé avant de revenir vers moi. Pour m’exciter, elle retire son string et le met en boule dans ma bouche.

– Pour t’éviter de crier et pour que tu apprécies le miel de ta Maîtresse. On va inaugurer ton bureau. Tu vas m’offrir ta chatte, moi aussi j’ai envie de goûter ton miel à la source, j’aime lécher une chatte. Je t’interdis de jouir. Si tu me désobéis, tu seras punie immédiatement.

Déjà excitée dans cette position, et me doutant de ses talents de lesbienne, je sais déjà que je serai punie. Elle a une façon très particulière de lécher mes lèvres et le bord de mon trou dégoulinant, en pinçant mon clitoris entre pouce et index, qui m’oblige à me retenir au delà du possible. Mais quand Elle me demande de m’incliner sur mes coudes en arrière pour lui offrir mon œillet, je n’y arrive plus. Elle l’assouplit avec la pointe de sa langue avant d’enfoncer un, puis deux doigts pour pistonner l’intérieur avant de me faire lécher ses doigts avec quelques traces marron et de me les enfoncer dans ma chatte s’occupant de mon clitoris qu’elle aspire et pince avec les lèvres. J’explose, arrosant son visage.

– Quelle salope! Je t’avais interdis de jouir, tu m’obliges à te punir. Mais nous verrons ça plus tard. Viens lécher mon visage pour nettoyer tes cochonneries. Ton Maître t’a bien dépucelé le petit trou comme il me l’avait demandé en échange de ton départ. Je t’interdis de jouer avec. Il m’est totalement réservé. Tu dois le garder serré. Une call girl le réserve qu’à ses meilleures clientes ou clients.

Elle m’entraine vers le cabinet escort numaraları de toilette.

– Fais ta toilette intime face à moi. Tu m’appartiens et j’ai tous les droits sur toi. Montre moi comment tu fais et n’en profite pas pour te caresser.

Face à elle, en toute impudeur, je fais ce qu’elle m’a demandé. C’est un moment très intime pour une femme, et je suis fière de m’exhiber devant Elle.

Une fois mes ablutions intimes terminées, ma Maitresse se retourne et ouvre un placard pour en sortir une boite.

– Pour t’éviter d’être punie constamment, regarde ce que tu vas porter. Tu vas avoir la chance de penser à moi à chaque instant avec cette cage de chasteté. Impossible de te toucher ou de jouer avec des godes, que ce soit devant ou derrière. Viens ici pour la mettre avant que je la ferme avec cette clé que je vais en permanence garder sur moi. J’ouvrirai cette cage quand j’en aurai envie. A la moindre bêtise, ce sera le fouet et un mois sans ouverture

Une fois la cage fermée, je reste sidérée. Ma Maîtresse repart satisfaite, un grand sourire sur son visage…

Quelques jours plus tard, son assistante me demande d’attendre la Directrice dans le hall d’entrée en fin de matinée, en vue d’aller déjeuner ensemble à l’extérieur.

Ma Maîtresse ne laisse rien paraître devant les collaborateurs et nous partons en taxi pour déjeuner dans un restaurant très élégant, au centre ville. Elle y a visiblement ses habitudes, et le patron nous accueille chaleureusement avec beaucoup de classe. Une table a été réservée dans une partie plus intime du restaurant, permettant d’avoir une conversation à l’abri d’oreilles indiscrètes.

Après quelques minutes passées à discuter sur les deux dossiers déposés sur mon bureau, la conversation devient plus intime. Je me livre sans ne rien lui cacher y compris sur les sujets les plus intimes, sur mes fantasmes. Hormis cette conversation unilatérale, j’ai l’impression qu’elle m’observe en permanence. Elle me teste. Quand je refuse discrètement que le sommelier me serve un nouveau verre de vin, elle me félicite.

– Je t’observe depuis le début de notre entrée dans ce restaurant et tu n’as fait aucune erreur. Bravo, c’est important car je compte bien sur toi pour m’accompagner dans des déjeuners et diners avec des clients importants pour notre société. En plus, aux regards des clients de cet établissement, je peux t’assurer que tu n’es pas passée inaperçue et que certains se feraient un plaisir de te baiser sur une table ou dans les toilettes.

En sortant du déjeuner, ma Maîtresse m’indique que nous allons faire un détour pour choisir une jupe, une robe, et de la lingerie raffinée ainsi que des hauts talons.

Une boutique privée en étage avec de très belles tenues. Aucune cabine d’essayage. A notre arrivée, deux femmes sont présentes et se changent en toute impudeur dans la grande rotonde, comme je vais aussi devoir le faire. Quand j’expose mon absence de culotte et le port d’une ceinture de chasteté, ni l’une ni l’autre ne semble choquée. Il escort pornoları faut dire qu’elles sont aussi impudiques que moi avec leur micro string qui ne cachent rien. La plus âgée des deux, la cinquantaine au regard froid, complimente ma Maîtresse sur la beauté de son amie. Quand à la plus jeune, du même âge que moi, elle profite d’un essayage côte à côte pour me caresser discrètement les fesses. Caresse que je ne refuse pas, bien au contraire.

En ressortant avec plusieurs jupes dont une au ras des fesses, une robe qui se boutonne seulement au niveau de la ceinture et s’ouvrant largement haut et bas, révélant tous mes trésors, bas, porte jarretelles, porte seins et aucune culotte puisque je n’en porte plus, ma Maîtresse me dit qu’avec moi, un jour ou l’autre un tel essayage a toutes les chances de finir en partouze.

– Tu serais prête à t’offrir à plusieurs femmes en public?

– Si c’est vous qui me le demandez, oui Maîtresse. Je ne vous refuserai jamais rien

– Je m’en souviendrai, me répond ma Maîtresse

Et plus rapidement que je pense …

Le soir même, avant de partir, ma Maîtresse me fait venir dans son bureau.

– Après demain, tu viendras avec la mini jupe en cuir, bas fumés et hauts talons. Choisi un chemisier blanc dont tu laisseras ouvert les deux boutons du haut et le soutien gorge en dentelle grise en accord avec le porte jarretelles. Je reçois le client du contrat important dont tu as le dossier. Tu viendras déjeuner avec nous. Il faut que nous réussissions à le faire signer rapidement.

Le matin avant l’arrivée du client, ma Maîtresse vient dans mon bureau pour vérifier ma tenue, ouvrir ma cage de chasteté, et pour me dire ce qu’elle attend de moi.

Elle me demande de m’asseoir pour vérifier jusqu’où la jupe remonte.

– C’est parfait, il ne pourra pas ignorer que tu portes des bas et un porte jarretelles. Ca devrait lui plaire. Au déjeuner tu seras assise à coté de lui, et moi en face. Je n’aime pas ce genre d’homme. Il se croit supérieur. Il est bedonnant avec des mains poilues, il n’a aucune classe. Joue de ton charme. Si il te met la main sur la cuisse, ne le repousse pas et ne l’encourage pas. Laisse le faire, il va remonter entre les cuisses, ouvre les légèrement pour le laisser aller jusqu’en haut mais sans lui laisser toucher ta chatte. Allume le. Si tu arrives à le faire signer, je te promets une belle prime et surtout une très belle récompense. Je me pose la question si il aura le culot de me demander de te laisser le rejoindre pour la soirée pour te baiser. Tu m’as bien dit que tu étais prête à tout pour ta Maîtresse?

– Oui Maîtresse, pour vous, je suis prête à tout pour vous plaire et pour que vous soyez fière de votre soumise, même si ce genre d’homme me déplait, autant que Vous. Ce sera une preuve de mon obéissance.

Pour la première fois, elle s’approche de moi pour me glisser un baiser sur les lèvres avant de quitter le bureau.

Quand je découvre le client dans son bureau avant de partir déjeuner, en effet il correspond escort portalı exactement à la description de ma Maîtresse. Malgré mon dégout, ma fierté me pousse à me montrer aimable avec lui. Il me déshabille du regard sans aucune gêne. Sûre de mon charme et de ma tenue sexy, je lui souris comme si j’étais déjà sous son charme.

Il n’attend même pas le dessert pour mettre sa main sur la cuisse au bord de ma jupe qui découvre ma jarretelle sur le côté. Comme il n’ose pas aller plus loin, au bout se quelques minutes, j’ouvre très légèrement les cuisses pour lui montrer que la voie est libre. Il s’y engouffre immédiatement et je le laisse progresser jusqu’en haut mais sans pouvoir me caresser intimement. En quittant la table, je le regarde dans les yeux avec un grand sourire comme pour lui dire que pour me baiser, il faut qu’il s’engage sur le contrat et que je fais partie du contrat.

– En quittant mon bureau, il m’a dit qu’il restait jusqu’à demain soir sur Paris. Tu as bien ferré le poisson. Tu vas voir qu’il va m’appeler ou t’appeler avant ce soir. Tu es prête?

– Oui Maîtresse. S’il m’appelle, demain matin je viendrai avec le contrat signé.

Maîtresse ne me répond pas. Elle est surprise par mon aplomb. Escort girl, avec ma Maîtresse pour maquerelle, m’excite.

En fin d’après midi, l’assistante me prévient que le client est en ligne et qu’il souhaite me parler.

Il me propose de m’offrir un verre au bar de son hôtel vers 20h avant de m’emmener diner.

– Ce sera avec grand plaisir.

Après avoir été prendre le contrat dans le bureau de ma Maîtresse, je rejoins le client au bar de son hôtel cinq étoiles. Assis dans une banquette, il ne perd pas de temps et me met immédiatement la main entre les cuisses sans pouvoir aller jusqu’ à mon intimité.

– Que diriez vous de diner dans ma suite, afin d’être dans un cadre plus intime?

– Avec grand plaisir, Georges, cela vous permettra de signer le contrat afin d’avoir toute la soirée pour nous.

– Vous êtes très forte, Elodie. SI je comprends bien vous faites partie du contrat.

– C’est exactement cela, Georges, et je dois vous avouer que vous m’impressionnez.

Après être repassé chez moi me changer en toute fin de nuit, j’arrive au bureau en chantant. Je ne prends même pas le temps de passer par mon bureau avant de frapper à celui de ma Maîtresse.

Je rentre, referme la porte, me mets à genoux les bras tendus avec le dossier sur les mains. A mon visage souriant, Elle a compris que le client a signé.

– Je te félicite ma petite salope.

– J’ai faim Maîtresse. Je n’ai pas pris le temps de déjeuner tellement j’étais impatience de vous prouver que pour Vous, je suis prête à tout.

– Tu vas me raconter.

Devant un petit déjeuner livré dans son bureau, je lui raconte la soirée et le début de la nuit. Il a une queue ridicule, et en plus il a du mal à bander, sans parler que je l’ai fait éjaculer les trois fois en moins de cinq minutes! Il ne s’est aperçu de rien. J’ai simulé les trois fois et il était très fier!

Ma Maîtresse éclate de rire avant de me dire qu’elle est fière de moi et que nous passerons le week-end ensemble.

– A mon tour de te surprendre ma petite salope soumise. D’ailleurs, il faut que je réfléchisse à te trouver un nom intime. Comme tu es obéissante, j’ai décidé que désormais tu ne porteras plus de cage de chasteté. Ne m’oblige pas à te la remettre.

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Une Rencontre

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Amateur

Je suis arrivée en France à l’âge de 18 ans. J’ai passé mon enfance en Chine, dans une famille d’intellectuels ultra-conservateurs. Je suis venue en France pour améliorer mon français, avant de retourner chez moi pour devenir interprète. Mais j’ai rencontré un garçon sexy, audacieux et cultivé, et j’en suis tombée amoureuse.

J’ai toutes les critiques habituelles concernant mon corps, mes hanches sont trop larges, mes fesses trop rondes, mes jambes trop courtes, mes seins trop petits, mais d’après son regard, je pouvais dire qu’il m’avait trouvée attirante.

Nous avons rapidement emménagé dans un immeuble de standing, et nous nous sommes pacsés, en espérant mieux.

J’ai trouvé un petit boulot qui m’occupe quelques heures par jour, insuffisant pour que je cesse de m’inquiéter pour l’argent. Heureusement, mon conjoint a obtenu une grosse promotion. Le revers de la médaille, c’est qu’il devra faire des déplacements, plus ou moins longs. Je n’aime pas rester seule. J’ai cherché un emploi qui m’occuperait plus et qui me permettrait de gagner mieux, mais dans ma situation c’est difficile.

Comme je n’aime pas rester inactive, et que je commençais à m’ennuyer, je me suis inscrite dans une salle de sport, dans mon quartier. C’est là que j’ai rencontré Marianne, une très jolie jeune femme, qui habite dans le même immeuble que moi. Marianne a un travail bizarre qui lui permet de travailler principalement à domicile.

J’aurais voulu en savoir plus, mais elle est restée évasive, me disant juste que ça ressemblait à du télétravail. Je n’ai pas voulu être indiscrète, et je n’ai pas insisté. Quoi qu’il en soit, elle a beaucoup de temps libre, et nous sommes devenues amies. À bien des égards, elle est mon contraire, extravertie, ouverte, séduisante et audacieuse.

Au début, je pensais que ce grand noir au gymnase était son petit ami, ils s’embrassaient, se caressaient comme des amoureux puis, quelques jours plus tard, je l’ai vue avoir la même attitude avec un autre gars.

Quand je l’ai questionnée sur le sujet, elle a ri et m’a répondu qu’elle était résolument célibataire. Ensuite, elle m’a expliqué son concept de vie, et j’ai été estomaquée. Elle m’a confié qu’elle avait plusieurs amants en même temps, cinq en ce moment, et qu’il n’était pas rare pour elle d’avoir des relations sexuelles avec plusieurs hommes. Elle m’a avoué aussi qu’elle n’avait que des partenaires noirs.

Je suis asiatique, en couple avec un blanc, ce serait hypocrite de ma part de m’offusquer de l’aspect interracial, mais j’ai dû affronter certaines de mes craintes concernant les noirs. Marianne, si intelligente, si sensée, sortir avec des hommes noirs, cela me semblait la dévaloriser. Et puis il y avait le nombre! Pour moi, une femme qui fait ce genre de choses est une salope. Je ne comprenais pas cette manière de se comporter.

Elle m’a demandé si j’avais déjà eu une relation avec un homme noir, et j’ai répondu «Non» sèchement. Elle a souri et m’a dit: “Chérie, tu ferais mieux de rester comme ça, parce qu’une fois que tu as goûté au sexe avec un noir, tu ne peux plus t’en passer.”

J’aurais dû probablement m’éloigner d’elle, nos façons de penser étant incompatibles. Mais je n’avais pas d’autre amie, je me sentais désespérément seule, et elle était la seule personne que je pouvais voir tous les jours.

Je dois bien admettre qu’elle m’attirait, sa joie de vivre et son dynamisme me séduisaient. De plus, elle savait que je n’avais pas l’esprit rapide, elle était toujours patiente avec moi, m’expliquant longuement quand je ne comprenais pas.

J’ai fini par occulter son côté libertin, et notre amitié s’est renforcée. La seule différence maintenant, c’est qu’elle me parle ouvertement de ses aventures sexuelles. À la salle de sport, lorsqu’elle voit un nouveau garçon noir, elle commente sans pudeur sa musculature en se demandant ce qu’il cache dans son pantalon. Quand elle parvient à le séduire, elle me détaille ensuite longuement ses performances sexuelles. Elle ne semble vivre que pour ça.

Un jour, nous étions chez elle, elle a sorti un cahier et me l’a tendu. J’ai commencé à le feuilleter. Au début, c’était déroutant, jusqu’à ce qu’elle m’explique. Elle tenait un journal de chacune de ses expériences sexuelles, le prénom du gars, ce qu’ils avaient fait, la taille de son pénis, combien de fois, si elle avait joui, l’ampleur de ses orgasmes, etc …

Elle avait commencé son journal intime à l’âge de seize ans, avec plusieurs rencontres par semaine, et certains n’avaient même pas de nom! Je lui ai demandé pourquoi elle ne mentionnait pas l’ethnie, car cela semblait si important pour elle, et elle m’a dit que ce n’était pas nécessaire, puisqu’ils étaient tous noirs.

J’étais une femme en couple, avec une éducation stricte. J’aurais dû lui dire qu’elle avait besoin d’un psychanalyste, sortir de là en trombe, et ne plus jamais lui adresser la parole, mais je n’ai pas pu. Au début, je pensais que c’était juste de la fascination, un truc qui empêche gaziantep escort sitesi vos yeux de se détourner d’un spectacle d’horreur. Mais j’ai réalisé que j’étais vraiment déconcertée par la façon dont elle vivait cela. Elle ne pensait qu’au plaisir, qu’à ce qui lui était agréable. Cela m’a frappé en réalisant le contraste avec ma conception de la vie.

Malgré ma pudeur, nos conversations ont commencé à tourner autour du sexe, de tout ce qu’elle avait, et que je n’avais pas. Elle me parlait de volupté, d’orgasmes à répétition, je lui répondais tendresse, amour de mon compagnon. À force de parler de sexe, d’avoir cette idée tellement en tête, mon copain en a évidemment bénéficié.

Le soir, j’attendais avec impatience le moment d’aller au lit, et je l’ai parfois surpris en prenant l’initiative. S’il voyait le changement dans mon attitude envers le sexe, il ne l’a jamais mentionné, craignant probablement que je m’arrête.

J’adorais mon copain, mais le sexe avec lui n’était pas aussi merveilleux que dans les récits de Marianne. Il travaillait très dur, il était toujours fatigué, et je l’épuisais. De plus, dans ma culture, il s’agissait toujours du rôle de la femme de satisfaire l’homme, les besoins sexuels de la femme semblaient toujours secondaires. Le seul exemple que j’avais de femme sexuellement satisfaite, c’était Marianne.

Pour aggraver les choses, il partait de plus en plus souvent ou pour des durées de plus en plus longues. Il m’a dit que cette situation ne durerait pas éternellement, que je devais être patiente, puisqu’il était promu responsable régional, et il devait tout mettre en place avant de pouvoir s’installer. Quoi qu’il en soit, je me suis retrouvé seule à la maison, et de plus en plus excitée.

Lorsqu’il a dû s’absenter plus d’une semaine, j’ai parlé avec Marianne du fait que je regrettais de devoir rester aussi longtemps sans sexe. Elle a ri et m’a dit que j’avais besoin d’un amant, un grand, long et noir. Je l’ai blâmée en disant que j’étais une femme amoureuse et fidèle. Elle a insisté en disant qu’elle parlait d’un amant électrique. Je n’étais pas sûre de comprendre ce qu’elle voulait dire. Après notre séance de yoga, elle m’a emmenée dans un sex-shop et m’a montré une grande variété de godes avec vibrateur.

J’étais morte de honte d’entrer dans un endroit pareil. J’étais effarée par la variété des modèles, des formes, des couleurs. Je ne savais pas par où commencer, je ne savais pas lequel choisir, je n’avais qu’une envie, m’enfuir.

Devant mon étonnement et mon effarement, Marianne en a choisi un pour moi. Elle me l’a même offert. Avant de nous séparer ce jour-là, je lui ai demandé comment on s’en sert. Elle a gloussé, et m’a dit que je devais résoudre certains problèmes par moi-même.

Chez moi, j’ai déballé l’objet, et j’ai rougi en réalisant qu’il était énorme. Gros, plus que sexe de mon chéri, long, environ 25 cm, et équipé d’une vibration à intensité réglable. La forme était très réaliste, et il était noir comme la nuit. Comme il était déjà équipé de piles, curieuse, j’ai voulu l’essayer.

Je suis allée dans ma chambre, je me suis déshabillée, et je l’ai essayé. Debout, devant le miroir, je n’arrivais à rien. Assise, pas pratique, et surtout pas confortable. C’est couchée sur le lit que j’ai trouvé comment m’en servir.

J’ai découvert pour la première fois ce qu’était un orgasme, et c’était tellement bluffant que j’ai continué à l’utiliser jusqu’à ce que je sois interrompue par la sonnerie du téléphone.

C’était Marianne qui voulait savoir si j’appréciais mon cadeau. J’étais gênée de parler de quelque chose d’aussi personnel, même avec elle, mais la fine mouche a réussi à me faire avouer que je l’avais utilisé. Mais je ne lui ai pas raconté que j’étais allongée, nue sur mon lit, avec les jambes écartées et le truc enfoncé dans ma chatte.

J’ai plus joui ce soir-là que toute ma vie. Je me sentais remplie en le glissant à l’intérieur, il était plus gros et plus long que le pénis de mon chéri. Il était infatigable, et il m’a permis de recommencer encore et encore jusqu’à l’épuisement.

L’épuisement des piles, s’entend, parce que j’étais insatiable. Une fois que j’ai bien compris comment m’en servir, je recommençais encore et encore, et cela m’a surpris de voir combien c’était facile et agréable. J’ai démonté tous les appareils à piles de la maison, finalement je me suis demandée si je pourrais en avoir un plus gros, sur batterie.

Le lendemain, Marianne m’a appelée pour savoir si j’étais satisfaite de son cadeau. Honnêtement, je me sentais un peu gênée. Quel genre de femme passe toute la nuit avec un pénis vibrant dans son vagin? Je lui ai dit très bien, sauf que j’avais épuisé toutes les piles de la maison.

Aucun gode, même vibrant, ne peut égaler un homme qui grogne et souffle en pompant au-dessus de moi, donc j’étais heureuse en fin de semaine de retrouver mon copain. Mais il me manquait encore quelque chose. gaziantep escort forum Dès qu’il s’est absenté, je suis retournée jouer avec mon gode, mais avec quelques différences.

À l’origine, lorsque j’utilisais mon jouet, j’imaginais faire du sexe avec mon copain, mais progressivement, dans mes fantasmes, le visage d’autres hommes s’est substitué au sien. Le visage de gars que j’avais croisé dans la rue, au supermarché ou dans la salle de sport. La plupart du temps, c’était le visage d’hommes noirs.

J’assimilais cela à de l’adultère, et le fait de m’imaginer avec un amant noir, me faisait jouir plus fort et plus longtemps. Je ne sais pas pourquoi exactement le fait que ce soit un homme noir me paraissait plus troublant, plus émoustillant.

À partir de ce moment-là, je me suis mise à regarder les hommes, et surtout le pantalon, au niveau de l’entrejambe, rangeant mentalement dans mon cerveau les images les plus sexy pour les utiliser plus tard. J’avais honte de moi et je me sentais coupable, mais je ne pouvais tout simplement pas m’en empêcher.

Je sortais mon amant noir de sa boîte plusieurs fois par jour, et je fantasmais sur les anecdotes que Marianne m’avait contées, ou sur des hommes croisés au hasard. Je m’imaginais dans les bras d’un grand athlète noir, hurlant de plaisir sous ses coups de bite qui me retournaient le cerveau.

Je jouais à un jeu dangereux, je le savais. L’infidélité mentale, chez la femme, est bien pire que l’infidélité physique, chez l’homme. Mon attitude était immorale, je le savais, mais je pensais que c’était provisoire. Quand mon copain allait cesser ses déplacements, nous pourrons avoir des relations sexuelles régulières et normales, et je cesserai d’utiliser ce gode.

Avec mon corps bousculé par toutes ces hormones et nouveaux sentiments, je ne pouvais tout simplement pas m’en empêcher. Je devais juste éliminer autant d’exaltation que possible, jusqu’à ce qu’il soit disponible pour moi. Une fois que les choses seront redevenues normales, j’ai pensé que mes envies lubriques disparaîtraient.

Stupidement, je suis allé chez le gynéco, me faire retirer mon stérilet. Si j’étais fertile, mon ami voudrait plus de relations sexuelles, et si j’étais enceinte, cela calmerait ma sexualité.

Je n’ai pas eu le temps d’expliquer à mon chéri ce que je venais de faire, je sortais de chez le médecin, qu’il m’a annoncé qu’il s’absentait plus de deux semaines. Il avait besoin de rendre au siège, en Allemagne, pour compléter sa formation. Je l’ai suppliée de m’emmener avec lui, mais il a été intraitable.

Confiant, il croyait qu’il me manquait, que j’étais amoureuse, mais la vraie raison, c’était que je ne pouvais plus me faire confiance. Marianne, avec toutes ses bêtises, m’avait tourné la tête, et j’étais prête à faire n’importe quoi.

Quand je voyais un beau mâle maintenant, souvent un noir, je fantasmais sur lui, mes tétons durcissaient et ma chatte commençait à saliver. Je me précipitais à la maison pour me faire plaisir. J’ai élargi ma recherche d’emploi pour trouver un travail, n’importe lequel, pour occuper mon temps et mon esprit.

Cela, Marianne l’ignorait. Je savais qu’elle saurait bien me faire passer du fantasme à la réalité sur je lui confiais mes soucis. Quand elle a voulu connaître des détails sur l’utilisation de mon vibromasseur, j’ai dit que c’était bien à l’occasion, mais que ça ne pouvait pas remplacer mon chéri. Elle l’a accepté.

Les trois premiers jours d’absence de mon copain, j’ai résisté à la tentation. Mais le troisième jour, Marianne m’a présenté un gars, un noir, superbe, en lui précisant que j’étais célibataire. J’ai fait de mon mieux pour paraître désintéressée, mais j’avais l’impression que mon cœur sautait dans ma bouche.

Je me sentais comme un chien à qui on pose une friandise sur le nez. Je salivais devant sa stature, ses biceps bombés, ses cuisses musclées. Sa peau était noire, luisante de sueur sous l’effort. Sans pudeur, Marianne m’a dit devant lui qu’elle l’avait essayé, et que c’était un «super coup.»

J’étais horriblement gênée, surtout quand elle a ajouté que, si je le voulais, je n’avais qu’à tendre la main et l’emporter chez moi. Mes oreilles n’entendaient plus qu’un léger bourdonnement, ma vision devenait floue, j’ai hoché la tête à plusieurs reprises, en souriant bêtement, ne comprenant rien à ce qu’il me disait.

J’étais tellement ardente. Mon ventre me faisait mal. J’avais hâte d’être chez moi pour me livrer à mon jeu favori. J’avais besoin d’exulter, et cela m’inquiétait d’être tentée à ce point. J’avais peur de perdre la tête la prochaine fois, de ne plus pouvoir résister à la tentation, et de céder au premier venu.

La prochaine fois, c’était le quatrième jour d’absence de mon mari. Je rentrais chez moi. Un gars entre deux âges, la cinquantaine grisonnante, un noir, dans le couloir de mon immeuble. Je ne sais pas comment il a fait pour trébucher, et lâcher une escort gaziantep pile de dossiers qu’il portait sous le bras.

Je me suis précipitée pour l’aider à ramasser tout son fourbi. Il se confondait en excuses, le pauvre vieux, et je pensais :

“Celui-là, je ne risque pas d’en tomber amoureuse!”

Nous avions fini de ramasser tout son bric-à-brac, nous nous tenions face à face, il n’était pas très grand, mais très large d’épaule. Il m’a dévisagée, ses yeux ont rencontré les miens, et il m’a fait un sourire si chaleureux, qu’il m’a fait chavirer le cœur. Je pensais, «mais qu’est-ce qui t’arrive, ma pauvre fille, t’es devenue folle, pas un vieux!»

Ma chatte me picotait, et je sentais mes tétons s’ériger. Il habitait juste là, il m’invitait à entrer, pour boire une bière, pour me remercier de l’avoir aidé. Je restais là, bras ballants, comme une idiote, et il m’a prise par le bras pour me faire entrer.

Son appartement était en bordel, il était en train d’emménager, il s’appelait Dylan, et j’ai réussi à refermer ma bouche et à avaler ma salive. La partie de mon esprit qui voulait rester une femme honorable, droite et fidèle, me commandait de prendre congé. Mais je restais là, figée, à le regarder ouvrir ses bières.

Il m’a lancé un regard perplexe, et je réalisais qu’il me tendait une bière quand il m’a attrapé le poignet pour me forcer à prendre la bouteille. Généralement, je ne bois pas de bière, mais c’était un peu tard pour refuser.

Nous nous sommes tenus dans la pièce principale, un séjour avec un coin-cuisine, à environ 1,50 mètre l’un de l’autre, et nous avons bu notre bière.

Il m’a posé toutes sortes de questions, si je vivais seule, si je travaillais, si j’avais quelqu’un. J’avais le sentiment qu’il me draguait, le vieux cochon, et ce sentiment faisait picoter ma chatte. Je lui ai dit que j’étais couple, sa mine déçue a fait picoter ma chatte, mais que mon copain était absent pour deux semaines, et son sourire retrouvé m’a fait picoter ma chatte encore davantage.

Finalement, j’ai réussi à finir ma bière. Je voulais prendre congé, mais il a hardiment attrapé mon bras, il m’a attiré contre lui et m’a enlacée en m’embrassant sur les lèvres. Sa langue dans ma bouche, ses mains partout sur mon corps. Mon corps pressé contre le sien, si musclé, si chaud, si doux. Une sorte de fièvre m’a saisie, et je me suis abandonnée à lui.

J’ai écarté l’idée que c’était mal, de tromper son copain avec un noir, un vieux en plus, que je connaissais depuis 5 minutes à peine. Collée à lui, bouches soudées, ses mains sur moi, dans des endroits que je ne savais pas si sensibles, je sentais son érection pousser contre mon ventre.

Il a attrapé mon cul, m’a soulevée de terre, j’ai mis mes jambes autour de sa taille et il m’a transportée sans effort pour me déposer sur le canapé. Je pouvais sentir sa force et sa puissance, mais il était si doux avec moi. Il m’a déshabillée entièrement et j’étais nue devant lui, devant le deuxième homme de ma vie.

Il s’est penché sur moi pour sucer mes mamelons, ses mains couraient sur moi, et j’ai eu mon premier frisson de plaisir.

Puis sa bouche a rampé sur mon ventre, elle est descendue entre mes jambes, et il a fait quelque chose que j’avais toujours refusé à mon copain, parce que je trouvais ça «sale»

Il m’a léché la chatte. Aucune bouche n’était venue là, c’était fantastique, j’ai frissonné plusieurs fois sur sa langue. Puis il s’est levé, a ôté sa chemise, son pantalon, révélant une œuvre d’art. Un beau pénis noir, encore plus beau et plus gros que mon gode.

Il s’est assis à côté de moi, puis il posé ma tête sur ses genoux, me faisant bien comprendre qu’il voulait mettre son pénis dans ma bouche. Je n’avais jamais rien mis dans ma bouche, pas même mon pouce quand j’étais enfant.

Mais je me sentais comme un jouet entre les mains de cet homme musculeux, j’ai ouvert grand ma bouche et j’ai sucé sa bite. Cela avait un goût un peu salé d’ambroisie, et un parfum de musc, et j’ai aimé. Il a gardé sa main sur ma nuque, me guidant tout en imprimant la bonne cadence.

Il s’allongea en arrière, gardant une prise ferme sur ma tête, j’ai dû repositionner mon corps, m’agenouillant entre ses jambes écartées, penchée sur lui. Je ne pouvais pas prendre le quart de sa bite dans ma bouche, mais il semblait satisfait, à sa façon de grogner et de gémir.

Je voulais qu’il me baise, donc j’avais peur qu’il vienne dans ma bouche. Mais comme il m’avait déjà donné plusieurs orgasmes avec sa bouche, c’était normal pour moi de lui rendre la pareille.

Il accéléra son rythme, baisant ma bouche, marmonnant des horreurs, jusqu’à soulever ses hanches. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre, lorsque son premier jet a giclé dans ma bouche. C’était tellement abondant que je ne pouvais pas tout avaler. C’était exactement comme Marianne l’avait décrit, mais en plus fort encore. Cette sensation inconnue de recevoir ces jets si forts, d’être utilisée comme une pute bon marché, m’a fait jouir sans me toucher.

Le goût était étrange, entre suave et acidulé, il agissait sur moi comme un aphrodisiaque, et je suçais fougueusement son sexe. J’ai tellement savouré l’expérience, que je ne me suis pas rendue compte qu’il avait enlevé ses mains de ma tête, et je continuais de le sucer, alors qu’il avait fini depuis longtemps.

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Nathalie se fait tatouer

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Beautiful Eyes

Il est préférable de lire les autres parties pour avoir une idée juste de l’histoire.

Le mercredi matin la même procédure se répéta pour Caroline mais cette fois, nouvelle consigne, elle pourrait changer de sous-vêtement mais conserver les sales sous son oreillé et de dormir en les gardant sous ses narines pour toute la nuit et ce jusqu’à nouvelle ordre. Déjà 9hres du matin les enfants étaient déjà partis à l’école, Nathalie prit une douche en vitesse pour ne pas rater son rendez-vous chez Tony le tatoueur. Fébrile, elle poussa la porte de la petite boutique, quand un barbu costaud s’avança vers elle. Laissez-moi deviner, vous êtes Nathalie la nouvelle chienne de Maître Akan. Je vous attendais avec impatience depuis qu’il m’a parlé toi. Suivez-moi! Nathalie accompagna Tony dans l’arrière boutique.
Tony installa Nathalie dans une chaise exprès après l’avoir fait se déshabiller complètement. Nathalie fut attaché bras levés et jambes écartelées ce qui provoqua une tel stimulation que sa chatte s’inonda. Nathalie sentait sa sève couler entre ses fesses, Tony en profita pour passer un doigt et lui badigeonner l’anus, ainsi attaché elle ne put que subir. Tony se déshabilla et bien que membré de façon plus modeste que Maître Akan, Nathalie n’en fut pas moins émue à voir la réaction de ses tétons.
Tony sortit un instrument pour mesurer la possibilité d’extension des bourgeons. Après en avoir prit bonne note, il mesura l’espace disponible entre les globes mammaires de Nathalie. Enfin il semblait être prêt pour commencer le travail et sortit ses aiguilles et l’encre, Puis il sortit un paddle et en vérifia la flexibilité. Nathalie prit peur et lui demanda : c’est pourquoi faire ça? Tony : Ma chère je ne travail que sur une chatte gonflée, cela permet une plus belle qualité du tatou lorsqu’elle désenfle et sans plus attendre Tony administra une série de coup directement sur la moule de Nathalie. HAAAAAAAAAA HOOOOOOOO AIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE. Devant ses cris Tony n’eut d’autre choix que de lui incérer un bâillon- boule afin de pouvoir poursuivre son travail de professionnel. HOOOOOOOOOOMMMMMMM HUUUUUUUUMMMMM Encore quelques coups, elle a déjà commencée à enfler cinq minutes et ce sera finit. Nathalie se débattait mais inutilement la précision des coups de Tony faisait son œuvre.
Tony put enfin tatouer Nathalie, quand il lui présenta le miroir, était écrit en bleu et rouge Propriété de Maître Akan sur toute la largeur de sa chatte, jamais plus elle ne pourrait renier son appartenance. Nathalie réalisa ce qu’on venait de lui faire et versa quelques larmes. Tony se pencha et caressa de sa langue les lèvres enflées escort sans négligé le bourgeon gorgé. Incérant deux doigts dans le vagin implorant, puis un troisième il mena Nathalie sur le chemin de l’orgasme. Quand elle cogna à la porte du bonheur, il retira ses doigts et la pénétra sans retenu. Nathalie fut emportée par un flot de jouissance, elle venait de découvrir une vérité, certaine personne pouvait retirer du plaisir dans la douleur et que pour elle, sa jouissance était proportionnelle à la douleur qu’elle avait éprouvé.
Sur les conseils de Tony, Nathalie travailla toute l’après midi sans culotte mais son tatou la dérangea pour le reste de la journée. Mal à l’aise elle eut l’impression que tout le monde savait ce qu’elle avait fait. Pour augmenter à son angoisse Nathalie reçu un appelle de Marie-Claire Desbois présidente de l’OFIM où l’Ordre des Femmes Influentes de Montréal réunissant l’élite des femmes ayant une fonction importante dans leur milieu. La réunion annuelle avait lieu le samedi suivant et en tant que vice-présidente elle devait y être présente. Toutes y étaient invitées avec leurs conjoints. Elle n’avait que trois jours pour s’y préparer et avait déjà une soirée le vendredi soir avec Maître Akan, le temps la bousculait. Enfin Jeudi, Nathalie avait hâte de passer la journée avec son Maître et comme l’excitation était trop forte elle se permit un manquement aux règlements. Voyant cela, Akan alla cogner à sa porte et Nathalie du mettre un frein à son activité en plein jouissance. Quand elle vit Maître Akan, Nathalie rougit de culpabilité. Akan l’obligea à se mettre à genoux sachant très bien que la voisine d’en face était à la fenêtre. Nathalie la vit et voulu se relever mais Maître Akan l’empoigna par les cheveux la rabaissa en la forçant à se retourner, releva sa jupe constata une culotte trempée et après l’avoir déchirée, lui cingla le cul. Akan : Alors que faisais tu pour être mouillé comme ça salope? Nathalie : Rien Maître je vous attendais. Devant ce mensonge Maître Akan traina Nathalie par les cheveux jusqu’à la voiture et la fit monter avec autorité. Maintenant les voisins sauraient qu’elle sorte de salope elle était. Nathalie frissonna, elle se sentait tellement bien sous l’emprise de son Maître. Akan : Bon pour commencer nous allons t’acheter des vêtements pour vendredi soir et pour samedi. Nathalie : Maître samedi j’ai déjà une réunion que je me dois d’assister.
Akan : Salope tu dois me demander la permission avant de prendre des rendez-vous¸ de quoi s’agit-il? Nathalie : Maître il y une réunion d’un groupe sélectes de femmes et j’en suis la escort bayan vice-présidente. Quand Nathalie lui indiqua les personnes qui y seraient présentes Akan décida d’y participer pour rendre visite à tout ce ramassis de femmes blanches et ce malgré les supplications de Nathalie qui abdiqua à la suite d’une couple de gifles.
Nathalie trouva ça curieuse que son Maître s’arrête dans un sexe shop. Akan traina Nathalie par le bras jusqu’à l’intérieur du magasin et demanda à la vendeuse pour la section spécial, cette dernière les invita à la suivre. Quand Nathalie entra dans la pièce elle comprit pourquoi il s’était arrêté là. Les murs étaient parés d’accessoires BDSM incluant une section lingerie. Maître Akan choisit une jupe courte voilà qui va faire l’affaire pour samedi dit Akan. Nathalie : Mais Maître je ne peux pas mettre ça pour samedi elle trop courte.
Akan empoigna Nathalie pas les cheveux et demanda à la vendeuse ou était les fouets et martinets. Juste ici Monsieur répondit-elle nous venons justement de recevoir les derniers modèles. Une dame entra et renvoya la fille à sa caisse et prit la suite des opérations. Je me présente mon nom est Gréta je suis familière avec ce département alors si je peux vous être utile. Au même moment Akan força Nathalie à se pencher en face de lui et lui emprisonna la tête entre ses genoux. Puis après lui avoir relevé la jupe demanda à Gréta si elle pouvait faire la démonstration des nouveaux instruments disciplinaires.
Gréta : Avec plaisir Monsieur. Je pense que cette canne anglaise avec sa grande souplesse aura une certaine efficacité et nous avons le tout dernier modèle de martinet que voici. Akan : Commençons par le martinet, Gréta : Bien monsieur mais il serait préférable qu’elle soit cul nu. Akan lui fit signe que oui alors Nathalie se tortilla quand elle sentit sa culotte rabaissée. Akan lui retint les bras dans le dos quand elle tenta de si opposer. Sans avertissement Gréta se mit à l’œuvre Slasssssssssssshhhhhhhhh aaaayyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeee nnnooooooooonnnnnnnn slasssssssssssssssssssshhhhhhhhh un autre coup suivi puis trois autres et le cul de Nathalie commença à rougir slasssssshhhhhhhhhhhhhhhhhhhh slasssshhhhhhhhhh hooooooooooooooooohhhhhhhhoooooooooooo nooooooononnnnnnnn hooooo Akan : Je pense que 5 autres coups et elle sera plus docile. Slassssssssshhhhhhhhhhhh ayyyyyeeeeyeeeeeeeeeeeeeeeeee d’accord Maître je vais mettre la jupe courte samedi.
Gréta : Voulez vous que je vous montre comment travaille la canne anglais? Akan : Non je crois que se ne sera pas nécessaire mais je vais la prendre, escort bayan gaziantep elle me sera surement très utile prochainement. Akan retourna dans la lingerie avec Nathalie et choisit une jupe encore plus court Akan : Tu vois pour ta punition la première jupe tu vas la mettre demain soir et tu revêtiras cella pour samedi. Mais Maitre je vais avoir l’air d’une pute avec cellà. Oui justement tu seras ma pute, une chienne à noir. Nathalie : Mais Maître je suis la vice-présidente, je ne peux pas y aller comme çà. Aussitôt une gifle la ramena à l’ordre. Nathalie : Bien Maître je ferai comme vous voulez.
Avez-vous une chemise blanche transparente pour aller avec sa jupe noire et des souliers à talon haut d’au moins 5 pouces. Oui monsieur, parfait rajouté 3 paires de bas nylons blancs avec culottes et jarretières assorties, pas de brassières. Akan entraina Nathalie dans la section BDSM Ha oui, Gréta avez vous un collier pour ma chienne? Oui Monsieur regardé comme celui ci est beau. Akan: Un peu trop beau j’en veux un qui ne laisse aucun doute qu’il est pour une chienne et je veux une médaille avec le nom de Nathalie gravé dessus, ainsi qu’une laisse.
Maître Akan et Nathalie poursuivirent leurs achats dans des boutiques de plus en plus spécialisées en BDSM. Quand Élisabeth rentra de l’école, Maître Akan était encore avec sa mère et elle fut surprise de les voir descendre du deuxième. Nathalie n’avait pas eu le temps de se rhabiller correctement et elle en fut quitte pour un regard interrogateur de la part de sa fille. Une demi-heure plus tard Akan quitta Nathalie lui mentionnant qu’il viendrait la chercher vers 7 heures le lendemain et qu’il s’attendait qu’elle suive ses recommandations.
Nathalie commençait à avoir des papillons dans l’estomac, elle éprouvait une crainte sur ce que l’avenir avec Maître Akan lui réservait mais elle n’avait jamais vécu de telles sensations avant et savait qu’elle ne pourrait plus s’en passer. Que dirais son mari lorsqu’il verrait le tatouage sur son mont de vénus, possible que cela mettrait fin à leur couple mais depuis que Maître Akan contrôlait sa vie, sa chatte elle était constamment mouillée. Encore une journée et elle serait présentée au membre du club Sélect de Maître Akan et elle en était très troublée. L’idée d’une grosse bite noire au fond de sa vulve et la voilà jambe écartée une main explorant son cul et l’autre se fouillant la chatte. HoooooooooooooHaaaaaaaaaaaaaaaaaa.ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Élisabeth : Maman est-ce que ça va? Frustré Nathalie du remettre le plaisir à plus tard, j’arrive Élisabeth je descends. Élisabeth : Maman depuis quand invites tu Monsieur Akan l’après midi et que faisiez-vous la haut? Rouge Nathalie ne sut quoi répondre sinon que cela ne la regardait pas. Élisabeth n’insista pas mais comprit que des choses se tramaient dans le dos de son père et se promit qu’un jour elle en aurait le cœur net.
À suivre

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LAURA 014: infidèle donc punie

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Amateur

Mes besoins sexuels croissants m’ont amenée à prendre un puis des amants.

Par hasard en ville je croise Micheline avec qui j’étais amie dans le précédent village où je résidais sagement avant qu’elle ne m’entraîne dans une vilaine histoire ou j’ai servi de “vide-couilles” à un jeune et ou j’ai mis mon couple en péril.

Elle réside maintenant dans la même ville que moi avec Ben un marocain et me raconte qu’elle ne lui fait pas de pipes car il ne se lave pas la queue et que son hygiène est des plus rudimentaires.

Je me rends souvent chez elle et comme Ben qui fait les marchés n’est pas souvent là elle en profite pour recevoir des hommes.

Un après midi elle m’invite et comme par hasard deux hommes arrivent peu après, connaissant Micheline je ne suis pas dupe.

L’un prénommé René s’assoit à côté d’elle et commence à la peloter pendant que l’autre, Mario, s’assoit à côté de moi et en fait autant en me proposant de passer un bon moment. Il me met la main aux fesses. Je refuse et me dégage. Mario vexé me traite de conne.

Micheline me dit elle aussi que je suis une conne de ne pas en profiter et que c’est un bon coup. Ces hommes sont vulgaires et ne me plaisent pas alors je m’en vais.

Le soir je raconte à J.Pierre mon mari ce qui s’est passé, il me dit;

– tu ne vas pas recommencer avec elle et les hommes quelle reçoit ne sont pas intéressants –

Il est fâché que je fréquente Micheline et décide de me punir de façon différente de ce qu’il m’inflige d’habitude.

Le lendemain il lit un journal de petites annonces gratuit qu’on reçoit toutes les semaines et me dit qu’il a vu une annonce intéressante.

“Mamadou 32 ans origine Malienne cherche jeune femme pour relation intime”.

– en général Les hommes d’origine africaine sont bien montés et ils baisent sans s’occuper du plaisir de leur partenaire mais beaucoup de fois. Je sais que tu n’aime pas les trop grosses bites, avec celui la ce serait un supplice pour toi et ta chatte et ça peut remplacer une bonne punition>>.

– tu veux que je fasse l’amour avec un noir à grosse bite mais il va me défoncer, tu es sérieux –

– c’est ça ou la punition pour avoir revu Micheline –

Il y a un numéro de téléphone que je fais tout de suite et je branche le haut parleur.

Un homme dont l’intonation de la voix ne fait pas de doutes sur son origine me répond.

Je décris mon physique puis le questionne sur le sien: il est grand, de bonne corpulence.

Puisque mon mari l’ordonne, gênée j’ose demander les mensurations de son sexe, il répond et d’après ce qu’il décrit et qui me trouble c’est énorme. Pierre me fait signe de prendre rendez-vous, ce que je fais puis je raccroche.

– je ne vais pas faire l’amour avec un gars monté comme ça –

– ce ne sera pas de l’amour mais du sexe et je veux que tu y passe ça t’apprendra à fréquenter n’importe qui –

Je baisse le tête soumise à sa volonté.

Le surlendemain J.Pierre m’amène jusqu’au pied de l’immeuble ou réside Mamadou dans la ville voisine. Je dois revenir en bus. Pas rassurée je monte l’escalier jusqu’au quatrième étage, je trouve l’appartement et sonne à la porte.

Mamadou m’ouvre et me fait entrer, cela me fait bizarre je n’ai jamais fréquenté d’homme de couleur et comme je porte mon regard là ou se trouve son sexe je vois l’énorme déformation de son pantalon.

Il m’offre à boire mais il est pressé de se servir de mon corps et me demande de venir dans la chambre et de me déshabiller ce que je fais docilement.

Il a vite fait de se mettre nu, pendant qu’il scrute mon corps sous toutes les coutures j’observe son sexe: encore plus volumineux que je ne le pensais, il va me déchirer, j’ai envie de me rhabiller et de fuir.

– tu es belle et j’aime bien les femmes françaises blondes, viens ici on va passer un bon moment –

J’obéis machinalement et m’allonge sur le lit.

Il m’embrasse rapidement, nos langues ont à peine le temps de faire connaissance.

Il caresse rapidement mon corps, mes seins et mon sexe pendant que je caresse son torse, son ventre, ses cuisses et son pénis qui tient à peine dans ma main.

Impatient il est déjà sur moi entre mes jambes. Avec mes mains j’écarte les lèvres de mon sexe appréhendant la suite, il positionne sa verge à l’entrée de mon vagin, je m’agrippe à son dos et quand il pèse avec le poids de son corps pour me pénétrer mes ongles s’enfoncent dans sa chair, il n’en a cure et force pendant que son monstre s’enfonce peu à peu en moi repoussant les parois. J’ai le souffle coupé. Enfin il touche le fond de mon vagin et il commence à se mouvoir.

Sa queue est tellement serrée dans mon fourreau que quelques aller-retour suffisent pour qu’il inonde mon ventre d’une grande quantité de sperme dont les jets frappent le fond de mon vagin me procurant des sensations agréables.

Je vais dans les toilettes m’essuyer et je reviens m’allonger.

Il bande toujours autant et se rallonge sur moi, rapidement j’écarte les lèvres de ma chatte car il n’attend pas pour me pénétrer. sa verge coulisse bayan escort gaziantep plus facilement car mon vagin est lubrifié par sa semence. Il me défonce et je commence à ressentir du plaisir mais il inonde trop rapidement ma grotte.

Je vais m’essuyer et à peine revenue son imposante verge est de nouveau dans ma grotte.

La pénétration dure un peu plus longtemps avant qu’il n’éjacule. Mamadou se lève et se rend dans la cuisine, il nous rapporte de la boisson.

Il s’allonge à côté de moi, je pense que c’est fini mais c’est une erreur il bande toujours et il veut une nouvelle fellation. j’ouvre au maximum la bouche et y introduis son monstre, malgré mes efforts je ne peux en engloutir qu’une partie.

J’œuvre un moment avec des haut le cœur quand il est au fond de ma gorge et des crampes à la mâchoire. Il juge que ça suffit et il me reprend en position du missionnaire, je remue en même temps que lui et il me défonce un peu plus longtemps avant d’arroser mon vagin.

J’ai eu du plaisir mais aussi de la douleur quand ça tape au fond de mon vagin.

– occupes toi de ma bite –

Il a un peu débandé mais elle encore bien volumineuse. Je la caresse puis la masturbe. Elle reprend rapidement d’énormes dimensions.

Je me positionne au dessus de lui à genoux les jambes de chaque côté de son corps, sa queue à l’entrée de mon intimité qui est maintenant largement béante. Je m’empale et fais des mouvements de bas en haut rapides, son sexe cogne au fond de mon vagin.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que les soubresauts de son pénis n’indiquent qu’il se soulage dans mon ventre.

Je continue à m’empaler et à remuer à sa grande satisfaction pendant qu’il caresse un peu mes seins et mon ventre plat . Il me dit que je suis très bonne. C’est un peu plus long avant qu’il n’éjacule. Je me retire et me couche à côté de lui.

Insatiable il réclame encore une pipe, je lui donne satisfaction bien que ce soit un exercice difficile avec le diamètre de son engin. Rapidement il rebande, je continue la fellation jusqu’à ce qu’il me repousse et me demande de m’allonger.

Il se couche sur moi et me pénètre, nous remuons de concert, cela dure plus longtemps je jouis avant que des soubresauts de sa verge ne m’indiquent qu’il se soulage. nous continuons à remuer ensemble, le plaisir augmente encore dans mon ventre et je jouis deux fois avant qu’il ne réussisse à se vider dans mon ventre.

Pour moi il est l’heure d’aller prendre mon bus malgré que Mamadou insiste pour que je reste.

Je vais me laver et je me rhabille. Avant de le quitter vu son insistance je lui promets de revenir le voir. je l’embrasse sur les lèvres et je quitte l’appartement.

La route est longue jusqu’à l’arrêt de bus car je suis fatiguée et comme mon intimité a été malmenée j’ai du mal à marcher. Quand je rentre Pierre constate mon état et me dit:

– tu as vu ce que c’est, si tu ne te tiens pas correctement la prochaine fois ça sera pire –

Suite à mes incartades incessantes J.Pierre s’est équipé d’ustensiles divers: martinet, menottes, pinces pour les tétons des seins, bâillon qui comprend une boule qui se dilate avec une vis. Il a bricolé un gode muni d’une ceinture que je porte parfois quand nous nous promenons à pieds dans les bois ou surtout quand je vais voir des amies en ville car il sait qu’avec ça dans le ventre je ne serais pas tentée si un homme me drague dans la rue.

En général ma punition c’est couchée sur le sol ou dans le lit attachée, après avoir reçu une fessée ou avoir été flagellée avec un martinet. En plus souvent je dois aussi supporter des pinces accrochées aux tétons de mes seins.

Sinon dans la vie mon mari est doux et gentil, bon blagueur, inventif. Il me fait l’amour très souvent, il m’embrasse et me caresse beaucoup, il ne manque pas une occasion de me faire jouir et est capable de m’honorer plusieurs fois en peu de temps.

C’est moi qui ai besoin de plus en plus de sexe. Pour partir en vacances dans le sud je dois trouver une robe dos nu que je puisse porter sans soutien-gorge car je n’en mets pas à la mer.

Je m’habille avec une robe que je peux facilement enlever pour faire un essayage, un string et pas de soutien gorge car si je trouve ce que je cherche je veux voir ce que ça donne sur moi.

Je me rends au marché. Je visite les différents étals et sur l’un deux je trouve deux robes qui me plaisent beaucoup. Je demande à les essayer, le vendeur me dit que c’est possible dans son camion.

Je monte dans la caisse du véhicule avec une des robes que j’enfile après avoir enlevé la mienne. Le marchand vient voir si elle me va, je me tourne et lui demande ce qu’il en pense puis je demande à essayer la deuxième.

Il va la chercher, quand il revient j’ai retirée la première robe et je suis vêtue uniquement du string, il se recule et se retourne.

– vous n’avez jamais vu de femme nue, ne soyez pas timide apportez moi la robe –

Troublé il s’approche et me tend l’objet en essayant cim cif gaziantep escort de détourner le regard.

– je vous laisse, j’ai des clientes –

Ce qui est faux mais ma tenue le gêne. J’enfile la robe et j’attends qu’il revienne et je lui demande son avis bien que j’ai déjà pris ma décision.

J’enlève la robe et la lui tend avant qu’il n’aie le temps de bouger. Il retourne à son étal pendant que je me rhabille puis je le rejoins.

– vous pouvez mettre celle-ci de côté, à quelle heure vous remballez car j’ai quelque chose d’urgent à faire mais je reviens sans faute car cette robe il me la faut pour partir en vacances à la fin de la semaine –

Je reviens à l’étal avant qu’il ne commence à remballer, il a mis la robe dans un sac.

– j’ai un souci, j’ai eu une dépense imprévue et il me manque de l’argent –

– je ne peux pas vendre à perte sinon c’est la faillite -.

– je vous propose un arrangement, vous avez vu mon corps ce matin, je vous en fait profiter à votre guise –

– ce n’est pas possible de faire comme ça –

– je vous le propose mais c’est vous qui décidez –

Je vois que ma proposition le tente, sur son pantalon une grosseur le déforme au niveau de son sexe depuis quelques minutes.

– bon, d’accord, montez dans le camion –

Je monte, je retire ma robe et mon string pendant qu’il tire le double rideau qui sert de cabine d’essayage puis il s’approche de moi.

Je me mets à genoux, je détache sa ceinture et déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds, le slip suit, je regarde sa queue: il est bien monté.

En la tenant je la lèche puis l’introduis complètement dans ma bouche, je lui administre une fellation énergique pendant qu’il soupire, il ne résiste pas longtemps et éjacule en râlant au fond de ma gorge, j’avale et continue à sucer.

Je me couche sur les cartons et écarte les jambes puis je lui demande de me prendre, il se couche sur moi et introduit sa verge dans mon vagin puis il commence les mouvements de va-et-vient, je l’accompagne en accordant mes coups de reins avec les siens.

Il me besogne un bon moment faisant monter le plaisir dans mon ventre ce dont il doit s’apercevoir car je mouille.

Son pénis est agité de soubresauts et son corps se raidit pendant qu’il déverse sa semence dans ma chatte en râlant.

Il se relève et veut se rhabiller mais je l’empêche et à genoux je prends dans ma bouche sa queue ramollie et gluante de sperme et de cyprine, je lui triture les bourses et lui administre une fellation qui dure longtemps malgré l’énergie que je mets. Enfin je sens sa verge qui gonfle dans ma bouche et reprend de bonnes dimensions. Je continue à sucer pendant un moment avant de me déplacer, de lui tourner le dos et de me mettre à genoux.

Il se met à genoux derrière moi, me prend en levrette et s’active longtemps en soufflant. J’ai un orgasme avant que son pénis n’arrose mon ventre.

Il se relève, essuie son sexe avec un chiffon et se rhabille puis me dit:

– toi tu es un sacré numéro et en plus d’être belle tu fais très bien l’amour –

je mets mon string et enfile ma robe.

Nous descendons du véhicule. Il me tend le sac qui contient la robe.

– prends, je te la donne plus la deuxième que tu avais essayée, tu les as bien méritées –

Je prends le sac, le remercie, ensuite je l’embrasse sur les lèvres et je pars.

Le midi je montre la robe à mon mari, il me pose un tas de questions car il sait que je n’avais pas l’argent nécessaire pour cet achat et comme il insiste je lui explique comment je l’ai eu.

– c’est de la prostitution et ça mérite une grosse punition –

Pour lui c’est l’occasion de me punir mais je sens qu’il n’a pas du tout apprécié ma conduite de putain.

Il me parle de ce que j’ai subi avec Mamadou un homme d’origine africaine avec qui j’ai passé un après-midi et qui m’a défoncée. Il veut que je retourne le voir comme punition.

– demain matin nous partons en vacances, tu prends rendez-vous avec “défonce cul” ( il appelle ainsi Mamadou), tu passes la soirée et la nuit avec lui et demain matin à huit heures je viens te chercher et nous prenons la route tout de suite –

– tu ne te rends pas compte dans quel état je vais revenir –

– si mais tu n’as rien fait pour éviter ça alors assume –

– bon j’irais s’il est disponible mais à contre cœur car ça va être l’enfer pour moi –

– tu l’as cherché alors maintenant assume –

Je téléphone à Mamadou, il est content de me revoir et accepte avec empressement de me recevoir.

Vers 18 heures J.Pierre me dépose devant l’immeuble de mon amant du jour et part après m’avoir dit:

– la prochaine incartade ton supplice ce sera pendant un weekend et la suivante une semaine avec “monsieur défonce cul” –

– tu es dur avec moi mais je t’obéirais, je suis consciente des problèmes que je te crée mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à me contrôler –

Je sonne à sa porte Mamadou ouvre vêtu simplement d’un cinsel bilgiler slip. Je m’avance pour l’embrasser, tout ce que je réussis à faire c’est poser mes lèvres sur les siennes, il ne répond pas à mon baiser. ce qui l’intéresse c’est uniquement ma chatte pour y enfoncer son énorme queue.

– bonjour Laura, vas poser ton sac dans la chambre, j’arrive –

J’ai à peine le temps de poser mon sac qu’il est là et ôte son slip puis s’allonge sur le lit, son énorme sexe se dresse déjà fièrement.

J’enlève ma robe et mes sous-vêtements et je le rejoins, assise sur le lit je caresse son pieu pendant quelques minutes puis j’ouvre la bouche au maximum et fait pénétrer ce que je peux de sa queue jusqu’à ma gorge ensuite je lui fais une fellation le mieux que je peux en évitant les haut le cœur et ignorant les crampes à ma mâchoire pendant qu’il caresse un peu mes fesses, mes cuisses et mon sexe.

– tu es en forme ce soir tu suce mieux que l’autre fois, continue comme ça c’est bien –

J’accélère les aller-retour de ma bouche sur sa verge pendant qu’il m’encourage et je suis surprise quand son pieu augmente encore de volume et envoie de grandes quantités de sperme dans ma gorge, je suffoque, j’en avale une partie pendant que l’autre coule sur mon menton et sur lui.

Je me retire et vais me nettoyer dans la salle de bain en en profitant pour enduire mon vagin de sperme, j’apporte une serviette et essuie son membre et son ventre.

Je me mets à genoux sur lui mes jambes de chaque côté de son corps et j’introduis sa queue dans ma chatte puis je commence les va-et-vient en accélérant progressivement la cadence. Son monstre tape le fond de mon vagin.

Les mouvements de mon sexe sur le sien sont maintenant très rapides et il ne tient pas longtemps avant d’éjaculer dans mon ventre. Couchée sur le dos il s’allonge sur moi et me pénètre pendant que j’écarte les lèvres de ma chatte.

J’accompagne ses mouvements en réglant mes coups de reins sur les siens. Je mouille ce qui facilite le coulissement de sa verge dans ma chatte. Après un moment il arrose mon ventre.

Il se lève s’essuie et après m’avoir dit que faire l’amour donnait faim il va préparer un repas après avoir mis un short. Je m’essuie et je reste nue. Assis côte à côte nous mangeons des plats qui viennent d’un traiteur et buvons du jus de fruit. Repas terminé pas de répit, Mamadou caresse mes seins et parle de continuer nos ébats sexuels, il rebande.

Je me lève, il est encore assis, je me mets à califourchon sur lui et m’empale sur sa verge, avec mes jambes je donne des mouvements amples à mon corps mes mains agrippées à ses cuisses.

Lui pose ses mains sur mes seins. Ma grotte est bien gluante son énorme sexe coulisse plus facilement, je m’active un moment avant qu’il ne déverse sa semence dans mon ventre.

Il met ses mains sous mes cuisses et se relève, je passe les bras autour de son cou, il m’emmène jusqu’au lit son énorme queue toujours plantée dans mon ventre..

Allongé sur moi il s’active, je le laisse faire, je mouille beaucoup et je sens le plaisir monter dans mon ventre. Secouée par des spasmes je jouis pendant qu’indifférent à ce qui m’arrive il continue à me défoncer jusqu’à ce qu’il éjacule.

Il reste planté dans mon ventre sans pratiquement débander et recommence à remuer, je bouge avec lui le ventre en feu. Le pilonnage de ma chatte dure un bon moment, les spasmes et la jouissance reviennent ce qui lui fait dire:

– c’est bon hein! tu en profites bien de la grosse bite du noir –

Plus très lucide je ne réponds pas. Le plaisir que je ressens ne faiblit pas et comme il continue les va-et-vient je jouis encore avant qu’il n’arrose ma chatte.

Allongés sur le lit nous nous endormons. Plusieurs fois dans la nuit il me réveille pour faire l’amour et je reçois encore six fois son énorme pénis dans ma chatte sans compter les deux fellations qu’il me réclame mais que je ne mène pas jusqu’à l’éjaculation.

Quand un peu avant sept heures du matin nous buvons du café et mangeons des croissants je suis épuisée.

Le téléphone sonne, Mamadou répond puis m’appelle en disant que c’est pour moi. J.Pierre qui devait me prendre à huit heures m’informe qu’il aura une heure de retard.

Je dis à Mamadou que c’est mon amant avec qui je pars en vacances qui m’informe qu’il sera en retard.

– c’est bon ça on va passer agréablement le temps –

Dur, dur le retour au lit.

Moi à genoux la tête sur l’oreiller, il se place à genoux derrière moi il introduit sa verge dans ma chatte et me pilonne pendant que je triture et caresse ses testicules. Le plaisir a le temps d’envahir mon ventre avant qu’il n’éjacule dedans.

Il se couche sur le dos et à genoux au dessus de lui je m’empale sur son pénis, je remue longtemps. J’ai un orgasme qui m’oblige à arrêter les mouvements que je reprends une fois calmée. Il éjacule dans mon ventre juste quand j’allais encore jouir.

Après un court repos je dois ranimer sa verge en la masturbant et suçant, ce n’est pas très long avant qu’elle ne retrouve toute sa vigueur.

Il me prend en position du missionnaire, je remue avec lui et secouée de spasmes je jouis deux fois avant qu’il n’éjacule une encore une fois dans mon vagin.

Mamadou m’explique qu’en général il ne trouve que des femmes d’âge mûr pour faire l’amour car leur chatte est déjà bien ouverte, les plus jeunes fuient quand il montre son énorme pénis.

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La « Lancenoir » 01

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Blonde

Chapitre 1 : Un couple étonnant.

Si Léa devait revenir à la cause première de ses maux, elle dirait que tout était de la faute de sa prof de philo. Son cours était tellement chiant qu’il était impossible de ne pas penser à autre chose. Et ne croyez pas que Léa était cancre ou peu disposé à l’élévation intellectuelle ; non, c’était une tête. Il faut dire que les pensées de Léa se détournaient facilement des « Tristes Tropiques » de son cours pour voler vers son coup de foudre du moment, Amédée. Un beau garçon d’une élégance remarquable.

Et l’élégance, c’était rare au lycée. Alors qu’un garçon fasse attention à ce genre de chose, cela démontrait de la maturité. Il refusait de porter un blue-jean standardisé et préférait mettre de beaux pantalons… et de grandes marques, ce qui ne gâchait rien. Et puis, il était beau. À part peut-être pour ses oreilles un peu grandes, mais nul n’est parfait… Quant à Léa, son opinion sur elle-même était qu’elle était plutôt canon : blonde, grande et bien fuselée. Peut-être devrait-elle perdre un peu de gras aux fesses, mais elle avait entendu dire que les garçons aimaient bien les fesses un peu rondes. Il lui tardait qu’Amédée lui touche son derrière. Peut-être même qu’elle lui laisserait la toucher un peu plus bas… En tout cas, c’était sûr, ils feraient un couple magnifique!

Elle avait décidé que ce serait pour aujourd’hui. Elle devrait lui faire savoir qu’elle pensait sérieusement à lui, et en terme non ambigu. Elle lui écrivit un mot pendant la prof pérorait sur Lévi-Strauss. Il semblait à Léa complètement stupide d’enseigner ce genre de programme ; l’ethnologie n’avait vraiment plus aucun intérêt à notre époque, on pouvait tout savoir de n’importe quelle peuplade par internet. Pourquoi fallait-il qu’elle avale de pareilles inepties, vraiment… Elle retourna à son mot qu’elle finit par :

« Retrouve-moi derrière l’escalier au bout du couloir, j’ai une surprise pour toi.

Léa. »

Elle plia le papier, et… à ce moment la prof se retourna. Elle écrivit donc le nom du destinataire « pour Amédée » gauchement en regardant la prof, comme si elle suivait le cours. Elle avait peut-être mal écrit, mais c’était le dernier de ses soucis. Elle était tellement excitée de le retrouver tout à l’heure, quand elle mettrait sa langue dans la bouche du beau blond, et que celui-ci poserait ses mains sur… sur ses seins peut-être? Et dire qu’au lieu de se faire tendrement peloter, elle devait écouter une prof qui n’avait jamais rien raconté d’intéressant de sa vie.

Quand son abrutie de prof regarda ailleurs, Léa fit passer son mot derrière elle. Mais quand elle se retourna, sa prof la regardait, pas dupe de son manège. Heureusement la prof ne demanda pas à lire le mot, mais elle surveilla Léa le reste du cours. Elle en fût frustrée, ne pouvant voir la réaction d’Amédée, ni même savoir s’il l’avait bien reçu. Mais elle restait assez confiante… Son chéri serait au rendez-vous lorsqu’elle arriverait derrière l’escalier du couloir.

Et à la pause elle s’y précipita. L’escalier était désert, elle déboutonna deux des boutons de son chemisier. Son décolleté sage devenait nettement plus plongeant. Elle avait aussi mis sa jolie, mais courte, jupe rose qui descendait à mi-genou. Elle avait hésité, trouvant cela bien osé, mais elle ne voulait courir aucun risque de rejet. Et de la manière dont elle était habillée, quand elle demanderait s’il voulait bien sortir avec elle, il ne pouvait que dire oui! Et après elle lui demanderait un baiser pour sceller leur accord. Ce serait romantique… et excitant. Mais elle se rongeait tout de même les ongles en pensant à la façon dont elle devait présenter les choses ; devait-elle lui exprimer ses sentiments tout de go? Ou d’abord lui demander ce qu’il pensait d’elle? Elle était en pleine réflexion quand… il arriva d’un coup.

Enfin, elle le crut un instant… mais non, ce n’était pas lui. La personne qui était arrivée était même l’opposé total de son futur amant de rêvé. Elle attendit, lançant des coups d’œil furieux à l’intrus. Mais soit il ne comprenait pas les signes, soit il se plaisait à l’ennuyer, en tout il ne semblait pas vouloir partir.

— Qu’est que tu fais ici? demanda Léa au gêneur.

— Moi?

— Écoute, j’attends quelqu’un… alors, tu peux circuler un peu plus loin s’il te plaît?

Elle se surprenait de la rudesse dont elle faisait preuve. Surtout vis-à-vis de l’intrus qui d’ordinaire, l’impressionnait. Mais l’amour écrase parfois la bienséance.

— Mais, c’est moi que t’attends.

— Raconte pas n’importe quoi!

Et comme elle ne voyait pas d’intérêt à cacher l’identité de la personne à laquelle elle voulait déclarer sa flamme, elle précisa :

— J’ai écrit un mot à Amédée.

— Ce n’est pas vraiment ce qui est écrit ici, dit l’autre.

Et il lui tendit le bout de papier sur lequel elle avait écrit son message. Elle regarda et dut reconnaître que le nom d’Amédée était difficilement reconnaissable, on lisait plutôt Amadoe… Et elle comprit immédiatement la confusion ateşli gaziantep escort qui en avait découlé. Elle maudit sa prof de philo qui lui avait fait rater le nom du destinataire. Il allait falloir qu’elle s’explique, c’était gênant :

— Ah, je suis désolé, mais… tu n’aurais pas dû recevoir ce message. En fait, j’avais écrit Amédée… et les autres ont dû lire Amadou, et du coup c’est toi qui l’as reçu.

— Ah… et bien c’est pas grave, dit-il serein.

— Non, bien sûr.

— Alors pourquoi tu voulais le voir?

— Tu veux vraiment savoir? Enfin, c’est pas comme si je comptais en faire un secret, je voulais lui demander de sortir avec moi.

— C’est cool. Tu fais une bonne affaire, tu n’as qu’à demander à sortir avec moi.

Léa eut un moment de surprise à cette idée grotesque, mais choisie de prendre sa proposition à la blague.

— Ah ah! Bien tenté, mais non… je vais attendre de le voir.

— Et pourquoi?

— Bah, il est beau gosse.

— Ça tombe bien, moi aussi.

C’est vrai qu’il était pas mal. Enfin, si elle faisait abstraction que c’était un… mais bon, même sans ça, elle n’était vraiment pas intéressée par lui.

— Oui, enfin, lui, il s’habille avec classe.

— Il a du fric surtout. C’est ça qui t’intéresse alors… sortir avec un mec plein de thunes?

— Pas du tout!

Là, elle mentait un peu. Bien sûr elle ne pensait pas à l’argent en portant un dévolu sur un garçon, mais… Il ne lui serait pas venu à l’esprit de sortir avec un gars qui soit trop en dessous de ses standards. Pour sa défense il y avait pas que ça. Amédée avait une tenue et une certaine classe et pas Amadou. Mais ce dernier était pourtant critique de son concurrent.

— Et puis, il n’est pas spécialement beau ; avec ses oreilles, il ressemble à un âne.

— Mais non!

— Quoi, tu trouves ses oreilles normales?

— Elles sont un peu grandes, c’est vrai, mais…

— Donc je suis plus beau que lui, non? Ou alors, trouve-moi un défaut…

— Euh… Là, comme ça, je sais pas trop ;

— Par contre je peux te dire ce que j’ai, que n’a pas Amédée. Des muscles. Je suis taillée dans du roc, Amédée l’est dans du beurre.

— Oh! il n’est pas gros quand même!

— Touche-moi ça.

Amadou prit la main de Léa, et la posa sur son ventre.

— Pas un gramme de graisse. Des tablettes de chocolat. Ça, c’est ce qu’on appelle un bonhomme.

Léa pensa que ce n’était pas que ses tablettes qui étaient en chocolat. Mais comme sa main restait sur le ventre, elle fût quelque peu impressionnée de sa musculation. Elle s’enhardit même à appuyer sur le ventre, tout semblait parfaitement dur comme un granite.

— Alors? Ne suis-je pas un meilleur parti que l’autre? D’autant que le fric ne t’intéresse pas, t’as dit.

— Dis comme ça, non, mais lui, c’est un…

— Un quoi?

— Non rien.

— Tu voudrais pas dire que tu ne veux pas sortir avec moi parce que je suis noir par hasard?

— Pas du tout!

— C’est ça… t’es pas raciste, mais tu traînes pas avec les noirs quoi…

— c’est faux!

Léa était ulcérée, elle n’avait jamais pensé ça. Ou ça ne l’avait qu’effleurée. C’est juste qu’elle avait préféré sortir qu’avec des blancs jusqu’à présent. Elle n’avait jamais pensé qu’un noir pouvait être son petit ami, du coup ce n’était pas de la discrimination, mais juste une habitude. Elle sentit qu’elle devait clarifier ses propos :

— Je n’ai aucun souci à sortir avec un noir… c’est juste que l’occasion ne s’est jamais présentée.

— Et bien, maintenant elle se présente! Parfait. On sort ensemble! C’est réglé!

— Mais… j’ai pas dit ça.

— Tu as bien dit que tu voulais traîner avec des noirs? Que tu attendais une occasion… ou tu pensais à un autre noir que moi.

— ben non, je pensais pas à un autre noir… je…

— Et tu as aussi dit que tu me trouvais mieux foutu qu’Amédée aux grandes oreilles.

— Je…

Amadou passa alors sa main sur ses hanches, la serrant contre lui. Léa en fut surprise, mais ne le repoussa pas. Si elle le faisait, il pourrait penser que c’était du racisme. Non, elle devait gentiment lui faire comprendre que si elle refusait de sortir avec lui, ce n’était pas qu’il était moins riche que d’autres garçons ou à cause de sa couleur de peau. Mais que… Et elle se troublait ne trouvant pas de bonne raison.

Comme Amadou s’avisait que Léa ne protestait à son étreinte, il quitta le coin escalier pour se retrouver dans le couloir avant que Léa ne trouve une raison de l’écarter. Et, la tenant toujours contre lui, il s’avança vers la salle de classe. Léa vit alors qu’une vingtaine d’élèves passait la pause dans le couloir, et qu’ils pouvaient voir Amadou la tenir comme si elle était vraiment sa petite amie.

— Lâche-moi, s’il te plaît. Les autres vont se faire de fausses idées.

— Comme quoi? Que tu ne veux pas être touchée par un noir?

— Non… Que…

Gênée qu’il la tienne comme ça, bakımlı gaziantep escort et à court d’arguments. Elle remua, cherchant à se dégager sans être trop agressive. Mais la prise d’Amadou était solide, et elle donnait surtout l’impression de gigoter comme si elle était excitée. C’est donc toujours serrer l’un à l’autre qu’Amadou la présenta à ses potes de classe qui attendaient dans le couloir :

— Yo, c’est officiel, Léa sort avec moi.

— Sérieux? Belle gonzesse que t’as là, mon frère.

Léa rougit. Si les potes d’Amadour la dévisageaient avec envie, l’autre partie de la classe la regardait avec réprobation. Il faut dire qu’en dehors de ses amis, Amadou n’avait pas une réputation brillante. Il faisait des tours en moto pétaradante autour du lycée, portait soit un jean taille basse qui avait tendance à laisser voir son slip soit un jogging moulant, laissant deviner son sexe. Il était la vulgarité incarnée. Quand Léa parlait garçons avec ses amies, elles ne le calculaient même pas.

— Elle a l’air bien chaude, dit l’un d’eux en voulant toucher au décolleté de Léa.

Amadou lui tapa immédiatement sur les doigts.

— Touche pas à ma gonzesse. C’est chasse gardée tant je l’ai pas encore fait monter sur mon pic.

Ses potes s’éclaffèrent pendant que Léa rougit jusqu’aux oreilles. Elle se rendait compte que d’avoir détaché quelques boutons de son chemisier en attendant Amédée pouvait donner une mauvaise impression, et elle se reboutonna immédiatement.

Quant aux camarades d’Amadou, ils lui faisaient des high-fives. C’était leur chef, et sa parole était d’évangile. Il était déjà bien plus brillant qu’eux scolairement — il n’avait même pas redoublé — et était bien plus charismatique. En fait Léa reconnaissait Amadou facilement, mais ne pouvait pas en dire autant de ses potes ; elle savait qu’ils s’appelaient Ibrahim, Karim, Moussafa, Souleymane, Mamadou et Mbia, mais elle aurait bien incapable de se souvenir du visage qui allait avec le nom. Ils étaient toujours au fond de la classe, bruyant et souvent extrêmement ordurier. Pas vraiment le genre de personne qui l’intéressait. Et puis, même si elle aurait refusé de le reconnaître, elle avait un peu de mal à différencier le visage des noirs.

— Il faut immortaliser ce moment, décréta Amadou en sortant son téléphone, mettez-vous à côté de moi. » Et tenant toujours Léa d’une main il se prit en selfie avec sa copine et ses potes.

On ne pouvait imaginer couple plus dissemblable:

Amadou était vêtu d’un t-shirt avec un logo des Rolling-Stones et d’un jogging rouge vif. Il avait le crâne rasé, et tournait la tête vers Léa en sortant une langue maousse prête à l’embrasser, imitant le logo de son t-shirt.

Ses amis derrière lui et sur les côtés étaient habillés de manière encore plus décontractée. Et la plupart faisaient des signes obscènes. Deux faisait des doigts d’honneur vers le cul de Léa, un autre enfonçait son index dans un cercle fait de son autre main. D’autres se prenant pour Michael Jackson se tenaient l’entrejambe.

Léa à l’opposée, était habillée en lycéenne modèle. Son chemisier était en tissu fin, mais pas assez pour entrevoir son soutien-gorge. Sa chevelure longue, mais soignée, lui descendait jusqu’aux épaules. Sa jupe mi-longue claire et aux motifs sophistiqués laissait voir ses jambes fines.

Si on lui avait demandé ce qui la différenciait des autres dans ce groupe, Léa aurait répondu que sa timidité tranchait avec la gaîté des autres. C’était vrai, les membres du groupe se montraient joyeux, quoique dépravés tandis qu’elle avait les yeux baissés et les joues rouges. Mais ce qu’elle pensait vraiment est qu’avec sa chevelure blonde et sa peau blanche elle avait l’air d’une proie à la merci de prédateurs bestiaux.

Elle regarda la photo consternée, ouvrant la bouche en un « oh » d’effroi, Amadou en profita pour enfoncer sa langue dans cette bouche ouverte aux quatre vents. Prise par surprise, Léa en écarquilla les yeux comme une biche prise dans les feux d’une voiture. Se reprenant de sa paralysie, elle chercha à agiter sa langue pour éviter celle d’Amadou fourrée dans sa bouche. Mais cette dernière était bien trop agile et épaisse pour lui laisser un endroit ou se cacher.

Où qu’elle se réfugie, la langue d’Amadou la pourchassait, engloutissait la petite langue de Léa. Elle sentait la chaleur montée dans son corps à mesure qu’elle se sentait envahie, leurs langues remuèrent ainsi une minute sans qu’elle ne cherche plus à se dégager. En fait elle ne s’aperçut qu’Amadou ne la serrait plus qu’au moment où il lui posa la main sur ses fesses et commença à lui peloter le derrière. Elle allait chasser cette main baladeuse, mais c’est Amadou qui prit l’initiative de la séparation, et avant que Léa ne marque sa désapprobation, il se recula.

« Ah! Une bouche bien fraîche. J’adore ça! »

Léa profita de ce moment pour se réfugier dans la salle de cours. Elle était un peu affolée, il allait falloir qu’elle règle ce bayan escort malentendu au plus vite. Elle ne pouvait quand même laisser ce… ce rustre se reprit-elle, la tripoter comme du gigot. Et puis, elle devait expliquer à ses amies que ce n’était pas sa faute si Amadou pensait qu’elle était sa petite amie. Et ça allait être compliqué. Elle avait vu Ludivine, sa voisine de classe et plus proche amie dans le couloir au moment où Amadou l’avait embrassé. Il fallait qu’elle lui explique les circonstances.

Mais sa copine ne rentra que quand la prof était déjà dans la salle de classe. Et, à peine Léa avait-elle prononcé : « Ludivine, je ne sais pas ce que tu penses que tu as vu, mais… » celle-ci répondit sèchement : « Attends, j’écoute le cours ».

Pendant toute l’heure qui passa, Ludivine ne lui donna pas une chance de s’expliquer. Léa ennuyée, ne pouvait écouter le cours sans que ses pensées ne dérivent sur la façon dont elle pourrait se justifier auprès de sa meilleure amie. Elle réfléchissait aussi à la manière dont elle allait expliquer à Amadou qu’ils ne pouvaient pas rester ensemble… et si possible sans le vexer. S’il le prenait mal, Dieu sait ce qu’il pourrait raconter sur son compte. Et puis une autre pensée tournait dans sa tête ; le baisé qu’Amadou lui avait donné. Cette énorme langue qui lui avait rempli la bouche, la façon dont sa propre langue s’était trouvée démunie, la salive sucrée qu’elle avait goûtée… elle sentait alors la chaleur montée en elle, et pensait vite à autre chose.

Au bout d’une heure, le cours de philo finissait, la prof leur demandant de réfléchir sur une citation de Lévi-Strauss : « La tolérance n’est pas une position contemplative. C’est une attitude dynamique, qui consiste à prévoir, à comprendre et à promouvoir ceux qui veulent être tolérants. »

Ludivine sortit immédiatement de la salle, ne faisant aucun cas des explications embarrassées de Léa. Cette dernière ferma alors rapidement son sac, et se précipita à sa suite. Mais à peine était-elle sortie, qu’Amadou la saisit par les épaules.

« Alors ma douce, on est pressé de me retrouver.

— Euh… Je voulais voir Ludivine, lui dire que…

— Oublie cette godiche. Qu’est que tu veux faire maintenant?

— Faire? Écoute, j’ai réfléchis pendant le cours… et tu vois… je pense qu’il faudrait revoir notre attitude tu comprends… Heu… On s’est mal compris et… »

Mais alors qu’elle s’expliquait, elle remarqua que son vis-à-vis se grattait le cul et ne semblait faire nulle attention à ce qu’elle disait. Elle en fut décontenancée, elle ne se souvenait pas que quiconque ait montré autant de vulgarité et de désinvolture à ses paroles. Elle fut encore plus choquée quand il lui dit :

« C’est super chouette tout ça, on va dehors tranquille, tu seras mieux pour me dire tes trucs de gonzesse. »

Et il l’entraîna, une main lui enlaçant l’épaule. Léa se rendit compte qu’Amadou n’avait pas écouté un mot de ce qu’elle lui avait dit, et qu’il allait être difficile de lui faire entendre raison. D’ailleurs pendant qu’ils descendaient l’escalier menant à la cour, il fit part de sa vision de leur couple :

« C’est chouette qu’on soit ensemble. Tu vois, les gens me trouvent un peu agressif des fois, ou vulgaire. Mais c’est faux, je suis sensible, tu sais… Enfin, je suis quand même viril! Oui… sensible, mais viril. Ne me fais pas dire ce que j’ai pas dit ; avec moi les nanas n’ont pas à se plaindre, tu vas vite t’en rendre compte. Ça, l’autre lopette d’Amédée évidemment, il peut pas en dire autant. Je suis pas sûr s’il est pédé ou puceau, et je sais même pas ce qui est le pire… Mais heureusement que je t’ai choppé avant. Tu t’imagines avec lui? Beurk! En tout cas les gonzesses, je suis capable de les écouter aussi, tu vois. Elle raconte leurs conneries, et moi je supporte ça. Stoïque. No problème… même si ça dure plusieurs minutes! Je suis trop patient en fait… Mais je vais te dire un secret, pendant qu’elles parlent, je pense à la manière dont je fais les défoncer. Tiens, là, quand tu racontais je sais plus quoi, je te voyais avec ma queue bien profond dans ta gorge. Hé! Le prends pas mal! T’étais sexy avec tes lèvres autour de ma bite… Tout ça pour dire, que je suis un peu ce qui se fait de mieux comme mec, patient, de l’imagination et puis évidemment, ce qu’il faut pour que ça ne reste pas de l’imagination… »

Il continua à se “vanter” ainsi jusqu’à ce qu’ils arrivent dehors, Léa que le discours macho à la con d’Amadou avait mise sur les nerfs fut alors assez directe :

« Écoute, je vais être franche. On peut pas être ensemble. Je t’kiffe pas. Tu piges? »

— Trop drôle! T’es comique toi quand tu le veux. J’aime ça, les meufs qui ont de l’humour. On va super bien s’entendre.

— Mais je suis sérieuse! »

Brusquement la face souriante d’Amadou commença à changer, son ton se fit plus rude et son visage plus menaçant.

« Attends, t’es en train de me dire que tu t’es foutu de ma gueule?

— Non. C’est pas…

— Tu crois que je vais dire à mes potes, que la petite bourge m’a jeté au bout de dix minutes? Parce que tu sais ce qu’ils se mettraient à penser? Que je suis une baltringue. Que j’assure pas.

— Je suis désolé s’ils pensent que…

— Et c’est pas possible ça, tu vois… J’ai ma réputation… Alors si tu veux casser avec moi, il faut que ce soit moi qui décide que j’en ai assez de toi.

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Camille à l’université 02

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Amateur

Avec l’accord de Dunn81, j’ai réécrit cette histoire dont la forme gâchait l’intérêt.

C’était la rentrée, Camille avait évacué et évacuait encore toutes ses frustrations de l’été au gymnase. Elle avait perdu toute graisse superflue et avait des jambes très musclées ainsi que de belles tablettes. N’ayant pas eu de nouvelles de Jasmine, pour elle il était clair qu’elle ne la recontacterait plus. « Elle ne m’a jamais aimée, se disait-elle, je n’étais qu’un jouet sexuel pour elle… Dommage car j’aurais vraiment tout fait pour elle. Je lui aurais tout donné. » Son cœur était brisé en mille morceaux et elle ne se croyait plus capable d’aimer quelqu’un et encore moins une femme.

Elle n’était pas lesbienne non! Elle n’était pas lesbienne! Elle en était persuadée et allait le prouver cette année. Sa relation avec Jasmine était seulement due à cette soirée où elle avait été abusée par ses amies et où elle l’avait sauvée…

Camille retrouvait donc sa chambre, la même que l’année dernière. Une autre étudiante avait pris la place laissée vacante par Jasmine. Elle s’appelait Mélissa, une fille blanche d’environ 18 ans qui mesurait la même taille que Camille soit 1m65 mais elle était toutefois ronde et peu attirante. Elle parla peu avec elle car elle n’avait aucune envie de recréer des liens avec sa colocataire cette année. Elle se foutait bien d’elle et de ce qu’elle en penserait!

En ce début d’année, alors que Camille marchait dans les couloirs, elle fit la rencontre de Jaëlle. Cette fille lui avait tapé sur les nerfs toute l’année dernière. C’était une belle brunette au teint bronzé. Petits seins… petit cul… visage parfait… mais elle n’aimait clairement pas Camille et avait profité de sa timidité pour l’insulter à sa guise.

Jaëlle : « Alors… une autre année à brouter des chattes, salope? Elle est où ta négresse? Ha ha ha! »

Camille : « Ferme la ou je te casse la gueule! Je ne suis pas lesbienne!»

Et Camille poussa Jaëlle contre le mur. Ses amies la regardèrent, très étonnées de sa réaction. Elle n’était plus la fille gênée et intimidée avec toujours beaucoup de morale et de classe.

Jaëlle la pointa du doigt en lui disant qu’elle lui paierai. Mais Camille n’en avait rien à foutre… «Je n’est pas peur d’elle… oui en fait je n’est plus peur d’elle », se disait-elle intérieurement.

En ce début d’année, elle rencontra par la suite Brad. C’était un puceau très gentil, docile et soumis. De toutes façons, elle n’aimait pas trop les gars agressifs avec leurs manières de faire… c’était encore vrai cette année. Avec Brad ils ne faisaient que s’embrasser. Les gens commençaient à croire qu’elle n’était plus lesbienne même si elle n’était pas encore passée à l’acte avec lui.

Finalement, un jour où Jaëlle faisait encore allusion à son homosexualité, cela lui donna la motivation pour forcer la note avec Brad. Ce soir-là, elle rentra dans le logement où il était avec son coloc Richard. Celui-ci jouait à Call of Duty sur PS4. Elle prit le chemin de la chambre de Brad qui regardait la télé tranquillement. Elle s’approcha de lui et l’embrassa directement sur la bouche en plaquant sa main sur son pénis sous son jogging. Elle le sentit rapidement en érection. Elle baissa alors le jogging et pris son sexe dans la bouche en le léchant soigneusement… il éjacula très vite.

Brad : « Désolé Camille… Excuse moi j’ai… »

Elle mit sa main sur sa bouche et l’obligea à avaler tout son sperme pour ensuite se mettre nue et en position de 69 avec lui. Elle oeuvra à le faire bander à nouveau pendant que lui léchait sa chatte. Après quelques minutes Camille se releva et, avançant à hauteur de son visage, lui présenta son anus.

« Lèche-moi le cul Brad. »

Brad : « Camille… euh c’est pas vraiment… »

Camille : « Tu ne connais rien au sexe Brad, fais-le et tu vas y prendre du plaisir. »

Brad mit sa langue dans le trou de balle de Camille. Elle était vraiment devenue dominante. Elle aimait voir Brad à sa merci et commençait à comprendre ce que Cherry, Donna, Barb, Eevie voir même Jasmine avaient ressenti quand elles l’avaient dominée. Le garçon banda aussitôt… Camille le masturbait désormais puis elle lui enfila une capote et l’enfourcha, enfonçant sa bite dans sa chatte. Brad éjacula après 5 minutes… Elle enleva alors la capote en lui faisant un clin d’œil et repartit vers antep escort son logement laissant celui-ci au 7ème ciel mais quand même surpris de ce qui venait de se passer.

Dans son lit, Camille pensait elle aussi à ce qui c’était passé avec le garçon et était même satisfaite d’elle.. « Je suis hétérosexuel », se disait-elle! « C’était une erreur de parcours avec Jasmine. »

Quelques semaines plus tard, la routine s’était installée… Camille était toujours dominante au lit avec Brad. Elle pensait toutefois souvent encore à Jasmine étant incapable de retrouver le même plaisir avec Brad quoi qu’elle aimait bien contrôler ainsi et faire ce qu’elle voulait de lui.

TOC TOC TOC…

Camille se leva avant Melissa. Elle ouvrit la porte et se figea… puis baissa les yeux… c’était Cherry. Cherry vêtue d’une robe très courte et qui regardait Camille avec un sourire en coin qui voulait en dire long. Elle entra dans la chambre des filles et dit en regardant Melissa.

« Va te faire foutre dehors, je dois parler à Camille en privé. »

Melissa intimidée par l’attitude de Cherry sortit rapidement sans trop comprendre ce qu’il se passait. Camille tremblait, elle avait perdu d’un coup toute l’assurance qu’elle avait bâtie cette année. Sans même lui parler, Cherry se retourna et souleva sa robe exposant son anus à Camille.

Camille : « Co…Co..comment es-tu entrée? N…N…Non Cherry! Je ne suis pas lesbienne et je suis devenu dominante. Je ne suis plus soumise! Tire-toi d’ici!»

En effet, Camille se demandait comment Cherry avait pu entrer dans l’établissement sans être étudiante et sans que Jasmine soit là pour la faire entrer. Elle devait avoir un contact… Cherry se mit à rire et attrapa Camille par la gorge.

« Jasmine m’a parlé de vos ébats sexuels. Tu es une blanche bouffeuse d’anus de noire! Tu mouilles simplement à la vue d’un cul de noire. Tu rêves d’enfoncer ta langue dans chacun des culs de noires que tu vois! Alors ferme ta gueule et lèche moi le cul avant que je ne change d’idée… »

« Avant que je ne change d’idée… comme si c’était un privilège qu’elle me faisait…, pensa Camille. Jasmine? Elle avait parlé à Jasmine… Et pourquoi celle-ci lui avait-elle parlé de leurs ébats sexuels? »

Quoi qu’il en soit, Camille s’approcha du derrière de Cherry et l’embrassa timidement… Cherry lui prit la tête et la força à mettre sa langue dans son anus. Elle remuait son derrière de haut en bas tout en lui disant qu’elle n’était qu’une esclave… que son rôle dans la vie n’était que de faire plaisir aux femmes noires et faire tout ce qu’elles lui demandaient. Après 15 minutes elle relâcha sa robe. Le visage de Camille sentait le cul de Cherry mais il n’était pas sale au moins… Cherry restait une femme propre et très glamour.

Cherry : « Tu es toute mouillée… tu te finiras à la main en pensant à mercredi prochain car je ne viendrai qu’une fois par semaine! Je te veux NUE mercredi prochain et je ne veux pas voir ta coloc ici. Tu es privilégiée que je te choisisse pour t’offrir des séances de léchage de cul gratuitement chaque mercredi. »

Camille : « Je… est-ce que Jasmine le sait? »

Cherry : « Hmph, non… je ne l’ai pas revue cet été mais elle t’a libérée pas vrai? Elle t’a rejetée… C’est moi maintenant qui suis ta propriétaire. Alors voilà, mercredi 18 heures! »

Et Cherry sortit de la chambre. Jasmine avait du parler à Cherry pendant qu’elles étaient en couple. Elle voyait donc encore ses amies à son insu. Camille pleura cette nuit-là sans trop faire de bruit seule dans son lit. Jasmine l’avait bel et bien utilisée et les mots de Cherry ce soir lui avaient vraiment fait mal. Elle n’avait vraiment aucun respect pour elle… Elle était « sa propriétaire »!? Voyons… elle vivait dans son monde… mais Camille avait bel et bien mouillé. « Je devais penser trop à Jasmine… je n’ai pas été capable de l’oublier voilà tout » se dit-elle.

Incapable de dormir, pleurnichant, elle décida de se lever et de s’habiller pour aller voir Brad. Elle allait mettre fin à leur relation et essayer de se trouver un autre homme plus actif que lui tout en essayant d’utiliser son temps libre pour régler la situation avec Cherry. Elle devait lui expliquer qu’elle n’était plus un objet dont elle pouvait se servir comme ça quand elle le désirait.

Quand araban escort elle arriva chez Brad son coloc l’accueillit l’air embêté.

Camille : « Salut, Brad est là..? »

Richard : « Euh… Je… Je ne l’ai pas vu… je veux dire il est parti… »

Une voix familière au loin sauta à l’oreille de Camille… la voix de Brad puis celle d’une fille qui semblait prendre beaucoup de plaisir! Je regardais Richard furieuse.

Richard : « Je suis désolé… c’est mon coloc… j’essayais de le protéger. »

Richard me suivit jusqu’à la chambre de Brad. J’ouvris la porte et je vis Jaëlle sur Brad en train de se faire sauter. Elle était complètement nue.

Brad : « CAMILLE! »

Jaëlle : « Oh, la cocu… Brad a trouvé mieux, c’est tout, accepte-le et va-t’en à moins que tu aimes mieux regarder? »

Camille : « Petite salope… tu lâches vraiment pas le morceau? »

Et elle se dirigea vers Jaëlle, la prit par les cheveux et la jeta hors du lit… Jaëlle arracha les vêtements de Camille, cela sous les regards de Brad et Richard qui appréciaient ce combat de tigresses. Camille donna deux grosses droites dans l’estomac de Jaëlle qui se tordit de douleur. Elle prit ensuite une corde et lui attacha les mains derrière le dos puis lui attacha les jambes. Le souffle coupé, Jaëlle se tordait toujours au sol. Camille se mit au-dessus du visage de Jaëlle et enleva sa petite culotte. Elle s’accroupit, la chatte sur le visage Jaëlle.

Camille : « Lèche moi la chatte… fais-moi jouir ou je te redonne une raclée! »

Vaincue, Jaëlle commença à lécher Camille ne voyant aucune autre solution. Brad et Richard se masturbaient à présent en regardant la scène. Camille gicla sur le visage de Jaëlle qui poussa un petit cri de surprise… puis Camille s’avança un peu et lui offrit à présent son anus.

Camille : « Lèche mon cul! Lèche le bien! Mets ta langue dans le trou! »

Camille était possédée. Elle avait la langue de celle qu’elle détestait dans son cul. Quelle humiliation, se disait-elle… Elle lui était soumise et elle était très heureuse de constater qu’elle avait été assez forte pour soumettre une fille comme Jaëlle. Après quelques minutes avec la langue de sa rivale dans l’anus, Camille décida de se lever…

Camille : « Richard, Brad… videz-vous sur son visage! »

Richard et Brad obéirent immédiatement et éjaculèrent sur le visage de Jaëlle. Camille sourit et quitta la pièce après avoir dit qu’elle lui laissait les restes… Elle faisait allusion à Brad qui pourtant admirait Camille et semblait prêt à faire tout ce qu’elle disait.

Quelques jours plus tard, Camille constata qu’il y avait une nouvelle prof. Une noire, Madame Robinson. C’était une grosse femme avec de gros seins et un gros cul. Elle avait une jupe très courte qui moulait son cul. Camille la regardait et pensait à Jasmine… à Cherry… Elle était dans la lune le regard fixé sur le derrière de Madame Robinson. Elle s’endormit ensuite en rêvant qu’elle enlevait la jupe de sa prof pour ensuite lui lécher l’anus. Elle imaginait Madame Robinson douce un peu comme Jasmine. Une attitude protectrice qu’elle recevait comme une bénédiction.

« Camille… »

Camille : « Oui maîtresse… » fit-elle encore endormie… « Oh… désolée » dit-elle en se réveillant et constatant que toute la classe la regardait… tous y compris Madame Robinson.

Madame Robinson : « Cela prouve que tu étais encore en classe dans ton rêve héhéhé… Mais tu peux m’appeler Madame!»

Et elle poursuivit son cours…

Camille se demandait pourquoi elle avait fait ce genre de rêve. Peut-être à cause des mots de Cherry et de son retour dans sa vie qui avait rallumé la flamme qu’elle avait envers Jasmine… Peut-être essayait-elle de trouver une nouvelle Jasmine dans sa vie…

Camille regardait d’un air triste Madame Robinson, c’était une noire vraiment foncée… Elle avait d’énorme seins qui auraient pu écraser bien des choses tellement ils étaient énormes. Elle ne ressemblait en rien à Jasmine et elle devait avoir près de 45 ans… Malgré son gros nez et son physique pas très attirant Camille se sentait attirée par Madame Robinson. Pourquoi? Elle ne comprenait pas ce qui ce passait… La voyait-elle vraiment comme une Jasmine qui la protégerait de Cherry et des autres femmes arap escort noires qui voulaient l’humilier et la traiter comme un objet?

Camille sortit du cours sans dire un mot, trop perturbée. Madame Robinson essaya de l’appeler mais Camille continua sa route… Camille fit un arrêt aux toilettes où elle se mouilla le visage essayant de reprendre ses esprits. Comment pouvait-elle avoir de l’attirance pour une femme de 45 ans? Tout simplement parce qu’elle semblait gentille et protectrice à ses yeux? Voulait-elle se protéger de Cherry…

Nous étions maintenant mercredi. Il était presque 18 heures… Cherry allait arriver bientôt. Mélissa n’était pas là et Camille ne s’était pas mise nue voulant encore se rebeller et en finir avec Cherry.

TOC TOC TOC…

Camille ouvrit la porte. Cherry était bien là dans l’encadrement, l’air un peu saoul et elle frappa immédiatement Camille au visage en voyant qu’elle n’était pas nue. Camille s’écroula par terre… Cherry lui cracha au visage.

Cherry : « Putain de Jasmine! Elle est incapable d’éduquer ses putes blanches pour être obéissantes! »

Camille : « Arrête Cherry… je ne veux pas te servir… »

Cherry : « Tu le veux mais tu ne réalises pas encore qui tu es! Quand tu me léchais le cul ta chatte était toute mouillée! Et plus tu lécheras mon cul plus tu deviendras accro et dépendante. »

TOC TOC TOC…

Cherry : « Putain, tu sais que je ne voulais personne. Ferme la, reste à terre je la fais déguerpir… »

Cherry ouvrit la porte, c’était Madame Robinson qui avait un livre en main. Madame Robinson vit que Camille était par terre avec une marque rouge au visage.

Madame Robinson : « Est-ce que tout va bien ici? »

Cherry : « Ouais… »

Madame Robinson : « Camille? »

Camille : « Oui je me suis évanouie. » dit-elle en se relevant… Désolée pour le cours l’autre jour j’étais malade et je le suis encore d’ailleurs.. »

Madame Robinson regarda Cherry étrangement et remis le livre à Camille qui flashait sur la professeur si proche d’elle à cet instant. Ses pieds nus dans des talons hauts… son top qui laissait entrevoir beaucoup de peau et son énorme cul qui semblait ferme malgré tout.

Madame Robinson : « Je vois que tu es encore malade… voilà le livre, tu l’avais oublié et je n’avais pas eu le temps de te le rapporter. Si tu veux, je t’offre un cours de rattrapage. »

Camille : « Oh… non merci je.. »

Cherry : « Ouais, elle va y aller. Elle est trop en difficulté. »

Madame Robinson : « Parfait, ce sera demain 18 heures chez moi j’irai te chercher après l’école. »

Et Madame Robinson partit… Cherry ferma la porte et mit immédiatement la main dans la culotte de Camille pour toucher son vagin qui était tout trempé. Elle y passa deux doigts sans ménagement.

Cherry : « Tu rêves de bouffer sa chatte! Tu rêves de lui laver le cul avec ta langue! C’est parce que tu es devenue addict à tout ce qui est black chez une femme. Tu mettrais ses gros doigts de pied dans ta bouche et tu giclerais partout comme une fontaine. Demain, tu iras chez elle… tu lui lécheras l’anus. Qu’elle le veuille ou pas, tu lui baisseras la culotte et tu mettras ta langue dans son anus en séparant ses deux grosses fesses pour te faire de la place. Chaque coup de langue te donnera des frissons et tu ne pourras plus t’arrêter. Tu ne m’aimes pas Camille… tu ne m’aimes pas car tu ne veux pas voir la réalité en face. Mais avec Madame Robinson c’est différent… tout comme Jasmine! »

Camille enleva la main de Cherry de sa culotte. et recula un peu, elle était prête à jouir…

« Non jamais je ne ferai ça! »

Cherry frappa de nouveau Camille du revers de la main.

« Si tu ne le fais pas, mercredi prochain je viendrais avec Eevie, Barb et Donna. On t’utilisera et on te fera boire notre pisse tour à tour, tu deviendras notre toilette… Crois-moi, je saurai si tu l’as vraiment fait. Maintenant entraîne toi sur mon cul. »

Cherry souleva sa robe et plaça le visage de Camille contre son anus. Camille commença à lécher… peut-être parce qu’elle était saoule mais le goût était plus fort que d’habitude. Après 15 minutes, Cherry l’arrêta et partit en rappelant à Camille que demain elle devait lécher l’anus de Madame Robinson.

Camille pleurait encore une fois dans son lit… le stress l’envahissait. Était-elle vraiment lesbienne? Était-elle en train de devenir addict aux femmes noires? Elle avait deux choix… désobéir et devenir leur toilette ou obéir et subir l’humiliation en risquant d’être renvoyée de l’école. Si seulement Jasmine était là… Si seulement Jasmine pouvait la sauver… encore une fois…

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