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Kary 28

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Anal

Je viens de regarder mon agenda et c’est lundi le 22 mai que je devais aller chez mon médecin pour mon rendez-vous annuel. Madame est venue avec moi. Nous sommes arrivées au cabinet du médecin à 10h15, bien que mon rendez-vous ne fût seulement qu’à 11h00. Nous nous sommes assises dans la salle d’attente et Madame en profitait.

— Tu as hâte de voir ton médecin Kary?

— Oui Madame.

J’avais répondu dans l’affirmative, même si je sentais l’angoisse m’envahir.

— J’ai hâte de montrer ma chose à ton médecin, hummm.

—…

— Cela va être excitant…

J’aurais voulu me voir à cent lieues de là. Mais en même temps, de ressentir toutes ces émotions m’envahir, toute cette tension qui montait faire vibrer mon corps et mon esprit était jouissif. J’appréhendais certes le fait de voir mon médecin, sachant que cela serait très difficile pour moi de me faire exhiber ainsi, mais en même temps, j’étais transportée par ce sentiment d’euphorie qui produisait un intense séisme dans mon esprit.

— Karine.

— Karine…

Puis revenant un peu dans le monde réel, j’ai finalement associé Karine à ma personne et je me suis levée. Madame m’a emboîté le pas et nous nous sommes dirigées vers le cabinet du médecin pour nous asseoir devant son bureau. Le médecin m’a regardé avec un air interrogateur.

— C’esttt…

Madame ne m’avait pas laissé le temps de finir ma phrase, elle voulait être certaine que le médecin sache qu’elle était Pénélope.

— Je suis la copine de Kary, je m’appelle Pénélope.

— Ha! Bonjour Pénélope.

Après quelques questions d’usage, le médecin m’a demandé d’aller dans l’autre pièce de passer une jaquette et de m’asseoir sur le lit de consultation. Pénélope m’a suivie. J’ai retiré tous mes vêtements et j’ai enfilé la jaquette. kahramanmaraş escort J’ai bien vu Madame arborer un sourire sadique et satisfait. Le médecin est entré et m’a auscultée, il a pris ma pression, vérifié mes oreilles et ensuite est arrivé le moment que je redoutais le plus.

— Allez Karine, couche-toi sur le dos et place tes pieds dans les étrillés.

— Oui Monsieur.

À ma grande surprise, j’avais dit machinalement un oui Monsieur comme une acceptation d’obéir à un ordre. Et un petit regard furtif en direction de ma propriétaire m’a confirmé que cela lui avait beaucoup plus. Le médecin s’est approché de moi pour se placer entre mes cuisses afin d’examiner mon intimité. J’ai bien vu sa surprise lorsqu’il a pu lire au-dessus de ma vulve « propriété de Madame Pénélope ». Madame regardait la figure du médecin rougir un peu. Moi j’étais morte de honte. Seigneur si ma mère me voyait ainsi, ouf!

— Bien oui, docteur Kary est ma petite chose. Je l’aime beaucoup.

Ouf! J’ai tellement eu peur que Madame dise que j’étais sa petite salope au lieu de petite chose. Le médecin a commencé son investigation dans ma région privée avec son spéculum et ses petits bâtonnets. Cette situation incongrue me faisait mouiller abondamment. Madame s’est approchée de moi et elle m’a donné un doigt à sucer.

— Relaxe un peu Kary, le médecin ne te fera aucun mal, tu sais.

J’ai fermé les yeux et j’ai tété le doigt de Madame, tout en ressentant les manœuvres du médecin qui faisait son intervention et en essayant de rester calme et obéissante. J’ai bien vu le médecin regarder Madame à plusieurs reprises en se demandant à quel jeu elle pouvait bien jouer. J’étais très inconfortable et honteuse de savoir que le médecin essayait kapalı gaziantep escort de faire un prélèvement valable sur mon anatomie intime avec tout ce jus de plaisir qui inondait mon entrejambe.

— Voilà, c’est terminé Karine.

— Vous pouvez l’appeler Kary, docteur, c’est le nouveau nom que je lui ai donné.

— Ha bon…

— Et c’est Kary avec un « k » minuscule bien entendu.

À voir le visage du médecin, je voyais qu’il commençait à voir la réelle nature du lien qui nous unissait. Je crois qu’il était encore plus mal à l’aise que moi. Il s’efforçait de rester professionnel et distant. Après m’être habillée, nous sommes retournées dans l’autre pièce et le médecin m’a tendu un formulaire de rendez-vous pour les prises de sang.

— Alors Karine, tout semble normal, tes analyses sanguines compléteront la visite, s’il y a quelque chose d’anormal, je vais vous contacter.

— Comme ça docteur, ma petite chose semble bien en santé?

— Euh!… Oui Pénélope, votre amie semble en parfaite santé.

— Tu vois Kary, tu es parfaite… bon, on y va maintenant… Bonjour docteur.

— Bonjour mes demoiselles.

— Allez petite salope, dit un beau bonjour à Monsieur le Docteur.

— Heu!… Bonjour Monsieur le Docteur.

—… Bonjour Karine.

— C’est Kary son nom maintenant, docteur.

— Je m’excuse Mademoiselle, mais je n’entre pas dans vos petits jeux, je suis un professionnel. Jouez à la maison si vous voulez, mais ici, c’est un cabinet de médecin sérieux.

— Bon… Bon… Ne paniquez pas Monsieur, et pour votre information, ce n’est pas un petit jeu, Kary est ma soumise 24/7, elle m’appartient, c’est ma chose et elle m’obéit.

— Karine, ça va bien? Tu as besoin d’aide?

kaliteli gaziantep escort Kary, dis à ton docteur que tu es à moi et que tu es heureuse de m’appartenir.

—…

— Allez…

Ma couleur de peau a changé. Nous étions déjà debout près de la porte, j’ai dû m’agripper sur le cadre de la porte pour compenser le vertige qui m’a envahi. Je savais très bien ce que Madame voulait que je dise. Devant mon médecin que je consulte depuis au moins 15 ans. J’ai avalé difficilement ma salive et je me suis lancée.

— Tout va bien Monsieur, effectivement j’appartiens à Madame Pénélope à titre d’objet sexuel, je suis sa soumise 24 heures par jour, et ce, 7 jours par semaine, et cela me convient très bien. J’obéis à tout ce qu’elle me demande, et j’y prends un grand plaisir. Alors oui, tout va bien et je n’ai pas besoin d’aide.

Ouf! J’avais dit tout cela avec la tête baissé. J’étais incapable de soutenir le regard du médecin en lui avouant tout cela. Lui qui m’avait vu jadis lorsque j’étais qu’une petite fille et que j’allais le voir avec mes parents.

— Bon on y va maintenant petite salope… Et vous Monsieur, n’oubliez pas que vous êtes lié au secret professionnel.

— Euh!… Oui, bien entendu…

Nous sommes sorties du bureau et avons traversé la salle d’attente. J’étais toujours rouge de honte. Elle m’avait désignée comme sa salope devant mon médecin. J’appréhendais déjà ma prochaine visite annuelle. Le revoir alors qu’il serait conscient de ma condition de soumise et comment Madame profiterait de la situation. Une chance qu’il est tenu au secret professionnel et qu’il n’y a pas de danger pour ma vie vanille. Pourvu qu’il honore son serment et que mes parents ne soient jamais mis au courant de mon nouveau statut de salope.

Nous sommes donc repartis et Madame m’a amenée chez un Tim Horton tout près. Elle a commandé un sandwich, une pâtisserie et un café. Une fois qu’elle eut terminé, j’ai eu le droit de manger les restes de son repas. Malgré les regards insistants et stupéfaits de certains clients, j’ai avalé rapidement le tout et j’ai débarrassé la table pendant que Madame consultait son téléphone.

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Valentine’s Day is Over

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Babes

It’s difficult being a single parent.Doubly so, as a man with a daughter though I suspect the same can be said of the opposite!I can’t blame my wife for leaving even if I did at first. I was the one who wanted kids and yet was a workaholic. I’d ignored my wife’s career and failed to support her, at least in regard to emotional support and time. It was hardly a surprise; the signs had been there along with the actual arguments and eventually an ultimatum.All of which I ignored.So, my life changed with the help of a beautiful, three-year-old girl called Lucy.At first, I was an emotional and physical wreck and I doubt ‘we’ would have survived if it hadn’t been for my older sister, Emma! She was there in the early days and when I had got myself together, she was there with advice and support through the early years and was to all intents and purposes, Lucy’s ‘mom’ and her own son and daughter were her siblings.Emma was definitely a godsend when it came to my daughter’s sexual questions even though Lucy, around the age of sixteen, occasionally interrogated me just to watch me blush and stammer. Now just shy of eighteen my only problems are that she is almost a facsimile of her mother with a tendency to wear as little as possible whenever she can. The previous harsh, cold winter was a welcome reprieve forcing her to wrap up and it was only towards the end of January she noticed that the thermostat was often set on the cooler side although the primary reason was the fuel prices.That lucy didn’t walk around the house in just panties and T-shirt, unlike the summer months, was a bonus!I was sat on the couch barely watching some action flick on Netflix, my focus drifting every few minutes to my phone checking the time as the digital number crawled towards eleven pm. I was never one for an inviolable curfew and she still had an hour plus before she’d be late. I’d also refrained from checking her location on the phone’s App even though I normally did with her full knowledge. It was Valentine’s Day and the ‘centre’ of my life was out on a date. Emma had told me not to “helicopter” with the unspoken subtext that my daughter may be wanting to have sex with Paul, her boyfriend of three months.I, of course, fell into the ‘factory settings’ of believing that he wasn’t good enough for my girl but the truth was she seemed to have picked well.I was surprised karataş escort when I heard the key in the door and checked my phone to see that it was still three minutes shy of eleven. I actually raised my eyebrows as this was an unheard-of event in Lucy’s life so far. An hour early? I thought to myself and feared that the romantic date hadn’t gone well. I suppressed my smile before she entered the room.She strode into the room without a word, dropping her clutch bag into the single seat simultaneously kicking off her heels and dropping down onto the couch beside me and staring at the television. I suddenly wished my sister was here as I knew I had no idea what I should say and that, quite possibly, whatever I did say would ignite the nitroglycerine disguised beneath a mid-thigh, royal blue dress beside me.It was at least five minutes before Lucy pulled her legs onto the couch beneath her and twisted to look at me. I actually gulped as I felt her gaze bore holes in the side of my head.“It’s all your fault,” she stated as an incontrovertible fact.I stared at someone, on screen, throwing a knife a quite considerable distance and killing a spare henchman instantly. “I’m… sorry,” I replied and muted the film before turning to my daughter.“Well, it is!” she repeated.I nodded, “Yes… I’m sorry.”She punched me on the shoulder, hard enough for me to wince, Damn self-defense lessons I thought. “Why do you have to be like that?” she accused me and pouted.“Err…” I responded with a lack of what to say.Her eyes hardened, “Don’t you ‘err’ me!”I opened my mouth and stopped myself from repeating my last comment. I took a moment and asked softly, “I am like what, exactly?”“All gentlemanly and what-not!” she declared“Gentlemanly and what-not?” I queried.“You know…” another, at least a little softer, punch landed on my shoulder, “All… opening doors and sliding seats in behind me…” she answered and her head dropped to look down between us.I stared at the top of my daughter’s head fully aware that her dress had ridden back along her thighs beyond her hold-up stockings, exposing far more flesh than I wanted to see. That I could cope with seeing!“I… er- ‘m not sure I fully understand,” I answered truthfully.“Oh my god, Daddy!” she answered in frustration and raised her startling blue eyes, which were karkamış escort perfect facsimiles of her mothers’, to mine. “YOU are a gentleman and if someone doesn’t do as you do’ THEY are not!”The light finally dawned. “And Paul didn’t slide the seat in behind you?”“NO!” Lucy almost shouted, “and I was gonna-“ I watched as my daughter cut herself off from finishing her statement.It was at that moment I figured ‘turn-about’ was fair game.It seemed like a ‘bit of fun’ at the time but in hindsight, it was a very ill-conceived decision.“You were going to… what?” I asked feigning naivety.A rabbit in the headlights appeared before me! “I… err…” she stammered.“Don’t you ‘err’ me, young lady!” I shot back.Lucy squirmed and hung her head as her cheeks started to blush. My own gaze also dropped passing over her heaving chest and down to her stocking-clad thighs. Her dress, very similar to the style my ex had worn had fallen further back and a lacy pair of blue panties were easily visible between her legs.Suddenly I felt my own cheeks warm as I stared transfixed at what my daughter had probably been meaning to give her boyfriend tonight, well ex-boyfriend now. In my head, I wondered if she had been intent on going ‘all the way’ and the unbidden image of her lying back in just her underwear waiting, wanting to be fucked appeared.The idea shocked me and broke my paralysis and I hastily stood up and turned to face the fireplace acutely aware that the crotch of my jeans was suddenly tighter. You fucking pervert! I cursed myself inwardly.Sometimes the universe conspires against you as Lucy finally replied, “Something like that, I hoped.”“Err…” I answered confused and turned slightly to see her staring and pointing at the muted television.My eyes followed her gaze and saw the hero, possibly the baddy, lying between the thighs of a naked, thrashing, nubile young woman eating her out. “Oh,” I simply commented. Both of us stared at the simulated sex on the screen watching as the hero/baddy raised himself up giving the viewer a typical ‘Hollywood’ shot of his taut, muscular rear as he slid up between her legs. I glanced at my daughter sitting on the couch, breathing heavily and the remote control lying beside her knees.“Maybe we should…” I began.Lucy pulled her eyes away from the screen and I watched kilis escort her tongue briefly wet her lips, “Yes… I guess,” she agreed and looked about for the remote. She picked it up and pressed it as she nibbled her bottom lip.“Oh, fuck yes!” sounded loudly from the screen shocking me as I locked eyes with my daughter. She grinned watching my embarrassment and finally turned off the television.“Well, I err… think it’s time for bed,” I blustered and headed for the stairs.Just as I was about to leave the room Lucy answered, “Yes… Daddy.”I paused for a second. It had been years since she had called me ‘Daddy.’ Her usual was ‘Dad’ or sometimes ‘Martin’ if she had the desire to be seen as an adult. “Daddy,’ when she was younger, was always whenever she had to have the ‘must-have’; and as often as not I eventually conceded.I literally gulped before I headed up the stairs not daring to look back at my daughter as the thought that Lucy had deliberately interpreted my last statement as an invitation.I shut my bedroom door behind me and finally breathed as I leaned back against it. “You fucking eejit, Martin!” I declared to the room.My heart pounded in my chest as I heard Lucy ascending the stairs, a cold shiver ran down my spine as I listened to her pass my door and then the click and whir of the bathroom light and fan. I breathed again looking down at the sizable lump of my twisted cock trapped within my jeans. “Judas,” I whispered and finally moved from the door.I was trembling as I pulled off my shirt and socks before undoing my jeans. The revelation that my boxers had a large damp stain atop my glans came as no surprise and there was relief as well as guilt as I finally dropped my underwear. I stood there, looking down at my traitorous organ, a long string of pre-cum hanging from the tip, and was fully aware that if was possible I had never been so hard in my life.“Wrong,” I declared to my ‘little brain’ and stepped towards the en-suite. I froze and looked to my bedroom door as I heard the door open in the corridor and once again listened as my daughter passed my room towards her own. I wasn’t sure if it was my imagination or not but I would swear that the sound of her bedroom door closing was significantly later than normal.“No,” I breathed as my gaze lowered to the keyhole and knew that I was perfectly framed within its view. Again, my mind imagined the disturbing scenario of my daughter kneeling outside watching me. I clenched my fists, denying them the ability to stroke my ‘blue-steel’ shaft, and finally made it to the bathroom. The fan whirred above my head as the light flickered on and I stepped into the shower and turned the tap on full.

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Kary 03

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Ass

J’ai allumé mon ordinateur en vitesse et créé ma boîte courriel immédiatement, j’avais tellement hâte de découvrir ce que contenait cette clef. J’explore la clef et j’y vois un fichier. J’ouvre celui-ci et commence à en lire le contenu.

— Si tu lis ce fichier, c’est que tu as créé ta boîte courriel comme je te l’ai demandée. Maintenant, à partir de ta nouvelle boîte courriel tu vas m’envoyer le message suivant « c’est fait. »

J’ai immédiatement ouvert un message à envoyer dans ma nouvelle boîte courriel, et j’ai inscrit dans la portion objet « c’est fait », puis j’ai appuyé nerveusement sur envoyer. A peine 1 minute plus tard, je recevais un courriel en provenance de Liane qui avait pour titre « ton image ». Je suis devenue tout à coup nerveuse. Et si elle me demandait de lui envoyer une photo de moi nue… Est-ce que je devais continuer ce petit jeu dangereux? Mais oui, j’en avais tellement envie, tellement besoin. J’étais prête à tout pour que mon désir le plus profond se réalise. J’ai ouvert le message et je l’ai lu attentivement.

« Bonjour,

Maintenant, tu vas te décrire. Tu vas me faire environ une page de texte dans lequel tu vas me donner tous les détails pertinents sur ton corps, ta famille, mari, enfants, etc., ton travail, ta demeure, enfin, tout, je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire… Sache que selon tes réponses, ton honnêteté et ta précision feront peut-être la différence entre une Maîtresse pour toi ou rien du tout. Allez! Dépêche-toi maintenant de me fournir ses données pour que je puisse avoir une bonne idée de ta personne afin de mieux te posséder. N’oublie pas qu’une fois le courriel envoyé, tu continues d’observer les nouveaux courriels entrants. Allez, vas-y, dépêche-toi…

Maîtresse Liane »

Ce n’était pas une photo qu’elle voulait, juste un portrait écrit représentatif de moi. Cela venait de me confirmer qu’elle devait être la bonne personne, elle n’agissait pas comme tous les pseudo maîtres qui n’ont comme seul but que de me baiser et qui n’ont aucune imagination. Alors, je me suis mise à la tâche. Je m’y suis appliquée en mettant le plus de détail possible tout en ne me compromettant pas trop. Je voulais impressionner ma future Maîtresse, je devais tout faire pour être la candidate idéale.

« Bonjour Madame,

Mon nom est Karine Morin, je suis née le 28 août 1989. Je suis une professionnelle de la santé et je travaille dans un hôpital sur la rive sud. Je mesure 5 pieds 8 pouces et je pèse 135 livres. Je n’ai aucun tatou et aucun piercing, même pas les oreilles. A part mes parents, j’ai une sœur, un neveu et une nièce. Je vis dans un condo. Je suis sans mari et sans enfant. Je ne désire pas avoir d’enfant non plus dans l’avenir. Je suis assez sportive, je pratique le kayak, le vélo, le ski de fond et la raquette. J’aime beaucoup les activités de plein air. Sans compter que je suis inscrite à un club de gym où je me présente environ trois fois par semaine. Depuis que je suis toute petite, je me fascine gaziantep grup escort pour le monde BDSM. Plus le temps passe, plus que je sens que je suis du type soumise et j’ai un désir de plus en plus pressant d’être la possession d’une tierce personne. Mes jeux d’autoligotage ne me suffisent plus.

J’arrête mes jeux avant mes limites et il me manque cruellement ce côté obéissance à quelqu’un. Il faut qu’on me prenne en main. J’aimerais que cette personne soit une femme, car toutes mes aventures avec les hommes, qu’elles aient été vanille ou BDSM, m’ont toutes déçu.

J’espère que cette image de moi vous convient. Votre toute dévouée Karine. »

Et sans réfléchir davantage, je clique sur envoyer et je reste devant mon écran pour attendre un prochain courriel. Je suis tellement nerveuse, mon cœur bat à tout rompre. Cette inconnue commence à posséder beaucoup de renseignements sur moi, c’est insécurisant, mais j’ai tellement besoin que cette relation démarre et que je prenne enfin vie à travers elle. Après plusieurs minutes d’attente et d’angoisse, un nouveau message s’affiche sur mon écran avec ce titre « Pourquoi ». Est-ce que ce « Pourquoi » voulait dire que j’avais fait une erreur? Je ne me suis pas posé la question bien longtemps. J’ai ouvert rapidement le courriel pour voir ce que cela voulait bien dire. J’avais tellement peur d’avoir perdu mes chances…

« Re.

A présent, tu vas m’écrire une nouvelle page, mais cette fois, pour me convaincre que tu es la bonne personne que je recherche. Je veux que tu me dises pourquoi tu veux devenir ma soumise, et qu’es-tu prête à faire pour moi. Pourquoi devrais-je te prendre toi, plutôt qu’une autre. Allez! Vas-y, envoie-moi cela le plus rapidement possible, et une fois fait, regarde tes courriels.

Maîtresse Liane. »

J’avais toujours mes chances, j’ai donc ouvert un nouveau message et j’ai commencé à écrire.

« Bonjour Madame,

J’ai un besoin viscéral d’appartenir à quelqu’un, de devenir sa chose, sa chienne, son jouet, son outil. Je veux que l’on m’ordonne, qu’on oblige. Je veux faire des choses que je ne ferais pas en temps normal. Je veux dépasser mes limites. Je veux que quelqu’un prenne ma vie en main et qui me manipule pour sa satisfaction et son plaisir. Du moins, ce sont là mes fantasmes et je ne sais pas si dans la réalité je pourrai faire tout cela. Mais, je pense que oui. Mes sens me le disent. Pour moi, le monde BDSM est un monde cérébral qui se sert du corps comme intermédiaire pour stimuler l’esprit et le faire parvenir à des niveaux de plaisirs et de bien-être sans commune mesure avec la vie vanille de Monsieur et Madame tout le monde. Et moi, je trouve cette extase dans la soumission, dans l’abandon de moi-même au bénéfice d’une autre personne. Comme vous savez, j’ai mentionné dans mon annonce que j’étais maso. Eh bien, la douleur aussi me procure des sensations de bien-être très intense.

C’est se güneyşehir escort sentir vivante que de savoir que l’extérieur interagit avec son esprit. Si vous me prenez Madame, vous aurez à votre disposition une esclave qui exécutera tous vos désirs. J’espère que cela vous donne un léger aperçu de mon état d’âme et que vous comprendrez mes motivations et convictions. J’ai le désir profond de vous appartenir Madame, et de vous laisser prendre le contrôle de ma vie.

Une petite chienne toute dévouée pour celle qui saura en profiter.

Bien à vous Karine. »

Et mon index appuie rapidement sur la touche envoyer avant que mon esprit relise le paragraphe et change d’idée ou censure certains propos. J’avais bien pris soin d’écrire mon nom au bas du courriel avec un kilo minuscule pour bien signifier ma soumission. Dans ce courriel, j’ai vraiment ouvert mon âme sans retenue à cette inconnue. Ce qui me donnait un peu confiance c’était que je l’avais quand même aperçue derrière ma voiture. Elle semblait être une jolie jeune femme même si elle portait un masque, j’avais entrevu ses yeux qui semblaient d’un bleu scintillants. Elle avait une voie douce, mais ferme. Elle me semblait brillante et bien de sa personne.

Puis, elle m’a envoyé un courriel contenant deux fichiers. Ceux-ci étaient des grilles horaires à remplir pour les deux prochaines semaines. Elle voulait avoir mon emploi du temps de façon très précise. J’ai immédiatement rempli les grilles en y incluant mon horaire de travail et tous mes rendez-vous personnels. Puis un autre clic… Voilà, envoyé.

Il était déjà 16h30. Je n’en pouvais plus, je me suis levée et j’ai été soulagé ma vessie. Je suis revenue à mon ordi avec un grand verre d’eau pour m’hydrater un peu afin de continuer cette aventure qui s’annonçait finalement bien prometteuse. Le temps de poser mes fesses sur ma chaise, un nouveau courriel est apparu dans ma boîte. Décidément, cette Maîtresse semblait aussi intéressée que moi de voir cette aventure débuter. Son courriel s’intitulait « Nous débutons.» Était-ce vraiment le début de cette aventure? J’osais l’espérer. Je m’empresse donc d’ouvrir ce message, excitée comme une fillette à la veille de Noël.

« Bonjour petite salope.

Ce message est le dernier de la journée. Il contient les instructions qui vont te guider jusqu’à notre prochaine rencontre.

Premièrement, tu vas te créer une nouvelle boîte courriel pour différencier ta vie vanille de ta vie BDSM. Cette boîte sera kary1989@xxxxxxx. com. Ton nom de soumise sera donc Kary. Alors, à partir de maintenant, tous tes échanges avec moi se feront avec cette nouvelle boîte. Conserve l’autre quand même.

Deuxièmement, à partir d’aujourd’hui, je veux que tous les soirs avant de te mettre au lit, tu rédiges ton journal intime dans ta boîte courriel et que tu me l’envoies immédiatement après. Je veux que tu y écrives toutes tes pensées, même les plus intimes, tes désirs, tes émotions… islahiye escort Enfin tout ce que tu vis. Je veux que ce soit sans gêne ni censure, comme si tu écrivais ce journal pour toi seule. Mets ton esprit à nu dans ce journal.

Voilà une de tes obligations pour ce soir et tous les soirs à venir.

Finalement, comme je vois que tu es en congé demain sur les grilles horaires que tu m’as envoyées, je veux que tu sois stationnée près du poteau

0 demain matin à 8h00 exactement. Tu seras habillé exactement comme aujourd’hui. Et ne me fais pas attendre, petite salope.

Ta Maîtresse

Liane xx »

C’était son dernier message de la journée, mais je savais que je la reverrais demain. Mon cœur palpitait, j’étais nerveuse et heureuse. Peut-être que ma nouvelle vie venait tout juste de débuter.

Mon esprit a disjoncté. Mes fantasmes se sont engouffrés dans mon esprit et des sensations, des émotions encore jamais vécues se sont bousculées dans mes neurones. J’ai fait plein de choses sans m’en rendre compte. J’avais mangé et regardé un peu les nouvelles à la télé, mais tout cela m’a semblé un rêve. Je nageais dans un doux brouillard. Le temps d’un éclair, et il était déjà 21h00. Je suis donc retournée à mon ordi pour écrire le journal que Maîtresse m’avait demandé.

C’était bien parti et je ne voulais surtout pas contrarier ma nouvelle Maîtresse ou la décevoir. Si je devais entrer dans cette nouvelle relation, je devais le faire en m’impliquant à fond et en y mettant toute mon âme. Je voulais m’y investir de façon très sincère. C’était là ma chance, ma seule chance de vivre enfin ma vraie nature. J’ai donc ouvert un nouveau message dans ma nouvelle boîte courriel de soumise et j’ai commencé à rédiger mon journal.

A la demande de ma nouvelle Maîtresse, en ce 4 avril 2016, je commence à rédiger mon journal intime.

« Cher journal,

Aujourd’hui, j’ai fait la rencontre d’une femme qui voudrait bien devenir ma Maîtresse. Comme tu le sais, je suis une âme soumise, je dirais même très soumise. Je suis tellement emballée par cette rencontre. Elle me semble différente de toutes les rencontres du genre que j’ai faites jusqu’à présent. Je pense qu’elle a vraiment l’esprit BDSM et elle sait ce qu’elle fait. Elle semble jeune, mais je sens qu’elle a l’expérience qu’il faut pour entreprendre le dressage d’une fille comme moi.

Oui, j’ai ressenti ce frisson caractéristique traverser mon corps lorsqu’elle m’a parlé avec cette voix rauque et ferme. J’ai senti sa puissance, son pouvoir envahir mon espace. Je crois que je suis faite pour elle et elle pour moi. J’ai tellement hâte d’être demain pour entendre encore cette voix qui me conditionne à obéir.

Oui, cher journal, je te le dis, je me sens prête à devenir sa soumise, à lui obéir sans restriction. Je lui fais confiance, j’ai quand même un peu peur, mais j’ai tellement hâte d’être à ses pieds. Je veux m’abandonner, et lui offrir mon corps, mon âme, ma vie… Je suis prête à tout pour vivre ma condition profonde, ma condition d’esclave, vivre pour elle. »

Clic… Mon journal intime venait de s’envoler pour la boîte de Maîtresse Liane. Avec ce journal, je mettrais non seulement mon corps, mais aussi mon âme à nu pour Maîtresse. Je vais maintenant essayer d’aller dormir un peu pour être prête pour demain. J’ai tellement hâte de la revoir…

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Vache V chez Maîtresse W… 01

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Anal

Bonjour, je me présente à vous comme « vache V»…Je suis attiré par la soumission depuis quelques années, et je viens enfin de trouver une Maîtresse avec qui j’avais pu avoir de longs échanges virtuels, permettant de mieux nous connaître, pour créer un climat de confiance, propice à l’expression de ma condition. Le temps passait, et un jour, je fus convié à un séjour en sa demeure, en son donjon pour des instants qui m’excitaient autant qu’ils m’angoissaient…

Le vendredi soir donc, je garais ma voiture près d’une maison en pierre, plutôt grande au premier abord. Je frappais trois coups rapprochés, puis deux coups plus espacés à la porte, code pour annoncer mon arrivée. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, derrière la porte qui s’ouvrait, un homme d’une trentaine d ‘années, entièrement nu avec un collier autour du cou sur lequel on pouvait voir un anneau, mais sans rien accroché dessus. Je devinais tout suite que ce garçon, clairement soumis lui aussi, faisait partie du cheptel de ma Maîtresse. Je n’étais pas pris en traître, puisque cette dernière m’avait bien expliqué que je ne serais pas son soumis attitré, qu’elle considérait le bdsm dans le partage. Passées ces premières pensées, je me décidais à rentrer dans la maison, curieusement mon ouvreur ne disait pas un mot, et se contenta de me faire signe de le suivre. Nous traversâmes quelques pièces, puis une autre porte s’ouvrit sur un vaste espace, sur lequel il y avait une table, et surtout un mot posé dessus. J’entrais, sur un nouveau signe, puis la porte se referma, me faisant comprendre que le mot déposé m’était destiné. Je prenais en main la feuille pour y lire :

« Bonjour, vache V…C’est Maîtresse Wendy qui t’écrit ces mots, pour te faire comprendre que tu es proche de vivre ce qui te marquera pour longtemps, si toutefois tu vas au bout de tes désirs les plus profonds. Si tu as peur, si tu n’as pas confiance, si tu doutes de ta sécurité, tu peux faire demi tour, et repartir comme tu es venu…Si tu te sens prêt, alors mets gaziantep yabancı escort toi entièrement nu, puis à genoux, mains derrière la tête dans le cercle tracé à la craie de l’autre côté de la pièce. Je viendrais moi même te chercher, tu te contenteras de me suivre à quatre pattes jusqu’au donjon. Tu y retrouveras soumis saturne, que tu as déjà vu, et qui termine à mes côtés un stage de trois jours intenses. Je te laisse quelques minutes pour prendre une décision, réfléchis vite et bien, petite sous merde que tu es. »

J’avais lu, mais je n’avais pas besoin de réfléchir, tant ma Maîtresse avait su frapper pile au but en me nommant de la sorte. Elle savait combien j’étais sensible au pouvoir humiliant des mots, ce qui était pour moi comme une drogue mentale, une addiction même parfois. Mais je ne voulais pas m’égarer dans des pensées profondes, je me contentais d’obéir, de me mettre nu et de me placer comme exigé. Le temps passait, chaque minute plus intense que la précédente, encore plus quand j’entendis des pas et que je vis la porte devant moi s’ouvrir. Elle était la, irréelle, c’était ma Maîtresse, Maîtresse Wendy. Trois pas derrière elle, celui que je pouvais nommer soumis saturne désormais. Sans dire un mot, Maîtresse claqua des doigts et me fit comprendre que je devais la suivre à quatre pattes, comme ordonné. Dans cette position inconfortable, je parvins jusqu’au donjon, pièce magique autant qu’inquiétante, que je ne saurais trop décrire, tant j’étais obnubilé par mes mouvements et l’envie forte de bien faire.

Maîtresse stoppa sa marche, puis en claquant à nouveau des doigts dit :

-saturne, à quatre pattes comme V!

Saturne s’exécuta, prestement! Puis vient ce monologue :

-V, depuis le temps que nous nous parlons, je sais ton désir, celui d’être vache. Cela tombe bien, j’aime ce que représente l’animalisation dans la soumission. Au moment où je te parle, tu n’es plus que cela à mes yeux, désormais gaziantep genç escort ta queue sera un pis, désormais, tu ne te masturberas plus, tu ne feras que te traire lorsque je t’en donnerais l’ordre….Comme tu le vois, saturne nous accompagne et comme je veux l’égalité entre vous, il va devenir vache, tout comme toi. Et pour que tout ça soit clair, je vais commencer par te mettre à toi, vache V, un collier avec une belle cloche de vache. Pour saturne, je ne ferais que l’ajouter à son anneau. Ne bouge pas!

-A vos ordres, Maîtresse!

Je reçus alors une gifle qui me déstabilisa, qu’avais je fait de mal?

-Crois tu qu’une vache parle, vache V? Non, elle meugle, et c’est ce que tu feras maintenant sous mes ordres, sauf contre ordre de ma part. Pour dire « oui, Maîtresse » ou « à vos ordres, Maîtresse », ce sera un meuglement long. Pour demander l’autorisation de parler, ce sera deux meuglements courts. As tu compris?

Mmmeeeeeeuuuh.

Bien, et si tu souhaites pouvoir parler?

Meuh, Meuh!

Parfait, vache V, tu m’avais évoqué dans tes premiers courriers qu’il t’arrivait de sortir en club gay où tu faisais preuve de tes talents buccaux et manuels. Mets toi en 69 avec vache saturne, vos têtes entre les cuisses de l’autre. Vous y êtes? Allez, je veux vous voir tous les deux vous brouter les couilles, exécution.

Je n’avais qu’une idée, obéir, et je commençais à sortir ma langue pour la laisser aller au contact de ces deux boules de belle taille, pendant que vache saturne broutait mes deux sacs à lait, d’une façon consciencieuse et en même temps, excitante…Sous l’effet du regard de Maîtresse, de cette sensation humide à l’entrejambe, je bandais déjà fort bien et je voyais bien qu’il en était de même pour mon collègue, nos deux cloches de vache qui en plus tintaient, ajoutaient au plaisir de l’instant. Le jeu dura trois, quatre, cinq minutes, je ne saurais vous dire exactement. Puis Maîtresse intervint gaziantep gerçek resimli escort :

Allez, à quatre pattes, bouffeuses de couilles.

Nous reprîmes notre position initiale. Maîtresse fit quelques pas sur sa gauche jusqu’à une petite table ou trônaient une foule d’accessoires, elle revint avec quelques pinces.

-Histoire d’agrémenter la séance, nous dit-elle avec un sourire mêlé à un sadisme jouissif.

Nous eûmes tous deux une pinces sur chaque téton, devant l’effet de la douleur lors de la pose, nos deux pis avaient légèrement perdu de leur superbe. Maîtresse qui avait sans doute recherché cet effet, m’ordonna d’embrasser, du bout des lèvres, le beau pis de mon collègue…A la fin de cet ordre, Maîtresse me dit :

Qu est ce qu’on dit à sa Maîtresse, après un ordre exprimé?

Je ne tombais heureusement pas dans le piège :

mmmmmeeeuuuuuh.

Bien, embrasse comme je t’ai ordonné. Je m’appliquais donc sur ce pis, mais au fond moi, il me semblait tellement incroyable d’être la, à obéir, à baiser au sens propre une queue, que je me répétais ces mots enivrants :

« je suis un lécheur de couilles, j’embrasse un membre »….Dois je me résoudre à admettre que j’aime la bite? Moi, moi qui me sent vache, moi qui ait du mal à l’assumer auprès de ceux qui gravitent autour de moi, pourrais je avouer que les queues m’excitent? Que je sois sous merde, ou salope, putain ou vache, tout cela était facile, ce n’était que des mots. Si j’aime traire les hommes, je vais au delà des mots, mais….ça me plaît!

Je continuais en même temps, mécaniquement, mes mouvements de bouche. Puis Maîtresse ordonna l’inversement des rôles, mais vache saturne dut non pas embrasser mais lécher mon pis. Maîtresse voulait voir la salive dessus, la langue tourner autour comme si mon membre était une glace à réchauffer. Le ressenti m’était plutôt agréable, même si j’étais sans doute plus sensible à l’humiliation de saturne qu’aux ressentis de sa langue.

Il m’était difficile de m’arracher aux questions intérieures, pour profiter totalement du moment, mais j’avais cette volonté de lâcher prise. Pouvais je y arriver? La était le défi, la était le dépassement de soi, pour honorer ma Maîtresse et qu’elle me façonne comme elle le voulait :

Vache, sous merde lubrique, salope bouffeuse de bites…tout ce dont j’avais rêvé, tout ce que je vivais maintenant.

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Un Couple Modèle – 08

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La semaine suivante, Sophie retourne au club de gym. Elle se doute que Hissa a fait un compte rendu détaillé de sa 1ère séance à son Maître et que cette soirée va une nouvelle fois dégénérer.

En arrivant dans le vestiaire, elle découvre qu’il y a beaucoup plus de monde que la fois précédente. Elle reconnaît certaines d’entre elles qu’elle a du lécher dans le sauna qui la regardent avec des regards vicieux.

Elle ne déroge pas aux règles et se dénude, montrant à toutes les nouvelles que sous sa mini robe, elle est à poil. Alors qu’elle s’apprête à mettre sa tenue sexy, une main lui arrache.

– Tu n’as pas besoin de ta tenue de pute, tu vas faire la séance à poil. On a déjà vu ton cul la dernière fois, et tu vas le faire découvrir à toutes les nouvelles qui sont venues pour s’occuper de toi. Surtout avec ton rosebud qui indique tes gouts pour les queues black. Tu vas toutes les exciter

Toutes ses affaires enfermées dans son casier, Sophie est prise par la main, à poil, pour rejoindre la salle de gym.

En arrivant comme la dernière fois, Hissa la place devant elle.

– Tu vois salope, je t’ai réservée la place d’honneur. Elles vont toutes admirer ton petit cul de blanche et ta fente baveuse de vicieuse pendant les mouvements. A chaque erreur tu seras punie, et si tu fais des efforts, je te promets une belle récompense.

Quelle récompense? Sophie ne se pose même pas la question, surtout que Hissa a troqué sa baguette pour une fine cravache.

Dès la 1èere série d’exercices, Hissa lui caresse les points sensibles, seins, tétons, raie, fente, avec la cravache. A la seconde série, Sophie sent une présence derrière elle. L’une des participantes lui caresse la fente. Sophie se rate sous la caresse.

– Tu vas m’obliger à te corriger, tant pis pour toi je t’avais prévenue, lui dit Hissa, qui lui applique 10 coups de cravache sur chaque fesse.

Sophie continue les exercices en entendant les réflexions des autres participantes qui la traitent de bourge vicieuse, de salope au gros cul, de chienne lubrique, ….

– Tu vas perdre ta graisse, lui lance une femme bien en chair. Ce qui la fait rire, se sachant svelte. Elle va vite le regretter.

A l’exercice suivant, une des filles vient se mettre devant elle, les jambes écartées et le maillot tiré sur le côté pour lui montrer sa fente.

– On va voir si tu es bien souple. A chaque fois que tu te penches, tu vas me lécher la fente, petite gouine.

Sophie y arrive lors de la 1ère série, mais très vite la fille se recule à chaque fois qu’elle se penche et bien sûr, Sophie n’y arrive plus. La femme bien en chair propose à Hissa de se charger de la punition.

– J’ai pas envie de t’entendre, lui dit Hissa qui enlève son shorty et lui met en boule dans la bouche. Tu as de la chance, sans me toucher, tu vas lécher mon jus.

Avant d’accéder au sauna, Hissa, la met à quatre pattes, lui lèche l’œillet et travaille son petit trou pour lui enfoncer un plug de gros diamètre à la place du rosebud.

Y compris dans le sauna, Sophie va devoir lécher ses compagnes avec le plug qui lui élargit sa petite porte.

– Tu me remercieras bientôt, lui dit Hissa. Samedi soir, tu t’habilleras super sexy avant de me rejoindre. Nous sortons ensemble.

Le samedi, dès son arrivée au club, Hissa et elle, repartent immédiatement.

– Tu vas affoler tous les mâles en rut et toutes les filles ce soir, lui dit Hissa.

C’est gaziantep rus escort vrai que Sophie s’est particulièrement préparée. Elle souhaite faire honneur à Hissa. Une jupe au ras des fesses, un soutien seins sous un chemisier totalement transparent, et comme d’habitude hauts talons qui lui font balloter les fesses nues à chaque pas avec le rosebud qui agace sa rosette en permanence. Sophie est chaude comme de la braise.

– Je t’emmène dans un lieu interdit aux blancs, et encore plus aux petites salopes blanches. Mais avec moi, tu ne crains rien. Tu vas passer une soirée inoubliable.

Protégée par Hissa dans laquelle Sophie a totalement confiance, elle n’est qu’excitée et pressée d’y arriver.

Avant de rentrer dans un bâtiment d’une ancienne usine désaffectée, Hissa lui enlève son chemisier pour la laisser seins nus et tétons dressés, et lui passe un collier avec une laisse. Dès son entrée, tous les yeux se tournent vers Sophie. Une blanche, quasi à poil, en laisse, elle ne passe pas inaperçue surtout qu’une fois encore, elle est la seule blanche parmi 200 ou 300 personnes hommes et femmes noires qui ne se gênent pas pour lui caresser ou lui pincer les fesses et même tirer sur ses tétons au fur et à mesure qu’elles fendent la foule pour aller jusqu’au bar.

Hissa répond à chaque salut et à chaque sourire. Elle est connue, et visiblement appréciée. Sophie se pose beaucoup de question sur la suite de la soirée, supposant qu’elle ne sera pas qu’exhibée.

Arrivées au bar, Hissa lui fait boire un cocktail alcoolisé avec des gouts nouveaux pour elle. Sophie comprend assez vite, que c’est un cocktail qui la désinhibe, si c’est encore possible, et qui augmente son excitation. Sans y toucher, sa chatte se gonfle et commence à baver.

Une femme noire particulièrement sexy, que connait « bien » Sophie pour l’avoir léchée plusieurs fois dans le sauna s’approche d’elles.

– Venir avec une blanche à la soirée, c’est osé mais vu les regards, tu vas gagner ce soir! Vous allez être les vedettes de la soirée.

Hissa ne se doute pas de la suite de la soirée qui va dépasser ses espérances.

– Ce soir, c’est une vente aux enchères de femelle, et j’ai décidé de gagner le concours en t’amenant ici. Je suis sûre que tu vas faire une belle somme. Tu seras à la disposition totale de la femme ou de l’homme qui remportera les enchères avec l’interdiction de refuser quoi que ce soit. Ce n’est pas pour te déplaire te connaissant, je suppose.

Sophie lui répond par un sourire. Elle monte d’un cran dans l’excitation. Les ventes commençant, les femmes noires vendues chauffent la salle, jusqu’à sa montée sur la scène, tirée par Hissa avec la laisse.

Hissa vante les qualités de Sophie comme si elle vendait une bête dans un concours agricole.

– Regardez bien, c’est une pièce rare. Une belle salope blanche, sexy, qui aime aussi bien se faire baiser par un homme que par une femme, ou les deux en même temps. Elle a été dépucelée du cul par un Maître très bien monté et 25 cms ne lui font pas peur. C’est une chaudasse, elle a le feu au cul en permanence.

La faisant se retourner et lui écartant les fesses. Elle montre à tous son rosebud dont le bout scintille sous les projecteurs.

– Bien large, mais bien serrée, il ne l’a pas abimé. Vous allez vous l’arracher.

Sophie est quand même stupéfaite par la présentation gaziantep swinger escort d’Hissa, qui n’a dit que la vérité. Les enchères s’envolent très vite. Les enchères dépassent immédiatement les niveaux atteints par les précédentes filles.

Le prix atteint est triple à celui atteint par la plus haute enchère atteinte précédemment, et elle va être adjugée, quand une voix masculine s’élève du fon de la salle et offre le double.

Sophie ne connaît pas cette voix, mais le silence s’établit immédiatement. Personne n’ose enchérir et le marteau tombe.

Avant d’emmener Sophie vers son nouveau propriétaire, Hissa explique à voix basse à Sophie :

– L’homme à qui tu appartiens, pour sûrement plus que ce soir, se nomme « Le King ». Il est respecté de toute la communauté noire. On ne connaît pas son âge exact mais il a plus de 70 ans. Je ne l’ai jamais vu prendre part à une enchère, et encore moins avoir une femme soumise blanche à ses côtés. Ce soir, tu fais des dizaines d’envieuses et autant, sinon plus, de jalouses. A partir de cet instant aucune femme et encore moins d’homme noir ne peut te toucher sans son accord. Tu es intouchable et si quelqu’un te manque de respect, il te suffit de lui dire pour qu’il ou elle soit punie très sévèrement. Je te laisse découvrir Le King par toi même et surtout le sceptre qu’il a entre les jambes, Tu n’en a jamais vu comme ça.

Sans faire attendre Le King, Hassi entraine Sophie par la laisse et fend la foule qui la scrute et s’ouvre immédiatement. Dans les yeux fixés sur elle, elle s’aperçoit que ces regards ont changés, certaines femmes baissant les yeux sur son passage.

Arrivé devant Lui, Sophie sans Lui demander se met à genoux, les yeux baissés.

– Maître Halim t’a bien dressé, je le féliciterai

Le « vieil » homme lui caresse la poitrine, et saisit ses deux tétons. Il les étire, les tord, les pinces.

Sophie bombe le torse pour lui offrir. Elle émet un feulement de plaisir, elle sent sa chatte couler.

– Tu as de beaux tétons, bien durs et provocants. Il faut encore les allonger. Ils méritent qu’on s’en occupe.

Il plonge sa main entre les cuisses bien écartées de Sophie, qui tend son ventre pour aussi lui offrir. Avec deux doigts il plonge en elle, en faisant des aller retour dans un bruit de clapot.

– Tu mouilles comme une femelle en chaleur. Tu me plais

Le King porte ses doigts à sa bouche pour goûter la liqueur de Sophie.

– Hissa, va nous chercher à boire. En revenant tu la prépareras.

Sophie est surprise qu’il ne lui demande pas à elle et qu’il demande à Hissa de le faire comme à une servante. Hissa ramène deux verres dont un rempli du même breuvage que celui que lui a fait boire Hissa en arrivant.

– Bois, lui ordonne le King, n’aies pas peur, tu vas te sentir mieux et ton corps va se détendre.

Hissa fait mettre Sophie à 4 pattes, les épaules à terre, cul cambré. Sophie voit Hissa ouvrir un pot de baume oriental avant d’enduire ses deux tétons. Très vite, Sophie ressent une grande chaleur et a l’impression que ses deux tétons ont triplés de volumes et sont encore plus sensibles. Elle ne voit pas qu’Hissa a de nouveau plongé ses doigts dans le pot avant de lui enduire sa rondelle. Hissa n’a aucun mal à lui travailler avec 1,

2 puis 3 et bientôt 4 doigts qui la fouillent. Hissa, ne peut s’empêcher de reculer ses gaziantep travesti escort fesses pour s’empaler toujours plus. En faisant cela, elle aide Hissa à lui enduire le conduit en profondeur et plus ça va, plus elle s’empale. Son œillet est si ouvert maintenant, qu’elle laisse entrer ce qu’elle suppose être la main d’Hissa qui lui fouille l’intérieur avec ses doigts écartés avant de ressortir et d’entrer à nouveau, sans aucune douleur, que des sensations de chaleur, de plaisir, sa chatte coule en permanence d’une crème épaisse. Sophie n’est plus qu’un corps à jouir qui en demande chaque seconde un peu plus.

– Elle est trempée Maître et son cul est à votre disposition

– Viens ici, ma salope et relève mon boubou. Tu vas découvrir ton cadeau, lui dit le King

Sophie n’en croit pas ses yeux. Elle découvre une queue monstrueuse qui mesure plus de 30 centimètres mais surtout d’un diamètre d’au moins 7. Elle comprend pourquoi le King a demandé à Hissa de la préparer.

Le King prend la main de Sophie pour aller au milieu de la pièce et lui demander de se mettre en position sur un banc. Il frotte son membre digne d’un âne sur la chatte de Sophie pour l’enduire de sa crème avant de se positionner sur son œillet et de pousser énergiquement. Elle sent son anneau céder pour l’accueillir, sans douleur, et absorber le manche de pioche. Ses gémissements et ses cris de plaisir s’entendent dans tout le bâtiment, accompagné des claques sur ses fesses données par les battoirs du King. Quand il explose dans son tunnel, elle a l’impression que ce sont des litres semence qui fouettent ses parois intimes. Une sensation de vide quand il se retire et un flot de sperme s’échappe de son trou resté ouvert.

Hissa reste auprès d’elle le temps qu’elle récupère. En levant les yeux, elle s’aperçoit que son Maitre Halim était dans la salle et a assisté à toute la soirée. Mais ici, le Maître c’est le King. Il lui parle, et Halim acquiesce de la tête.

La soirée n’est pas finie pour elle. Quand elle se relève pour rejoindre la King, les femmes noires qu’elle croise s’écartent et baissent la tête en signe de respect. Même si elles profitent d’elle un autre jour, elles devront la fesser et la faire crier avec respect. Elle appartient désormais au plus haut niveau du Club, la seule blanche de tout ce groupe.

– Je t’ai promis de m’occuper de tes tétines, c’est le moment.

Une table est amenée et Sophie est allongée sur le dos.

– Je ne t’attache pas. Tu m’as montré ce dont tu étais capable. Je te fais confiance.

S’adressant à une vieille femme noire, le King lui dit « vas y », elle ne bougera pas.

Toute la salle s’est réunie en cercle autour de la table. La vieille femme lui montre deux superbes anneaux en or. Elle comprend que le King a décidé de lui percer les tétines.

– Tu vas porter ces deux anneaux à tes tétines. Ces anneaux vont être scellés, tu ne pourras plus les enlever. Soit fière, ces anneaux vont montrer à tous les blacks que tu m’appartiens et tu expliqueras aux petites blanches incultes ce qu’ils représentent. Tu es ma propriété et j’ai demandé à Halim, ton Maître, de continuer à te dresser sévèrement. Aucun homme ne peut te toucher sans mon accord, et si une femme noire te manque de respect, préviens moi, elle sera fouettée ici sous tes yeux. Désormais, tu t’appelleras Keyah.

Quand la femme lui perce les tétines, la douleur est fulgurante mais si courte qu’elle n’a pas le temps de crier. Debout, Sophie baisse la tête pour admirer ses deux tétons annelés d’or et va s’agenouiller devant le King en signe de soumission et de remerciements.

– Maître, si vous souhaitez me faire fouetter, votre soumise en sera fière et ses cris seront pour Vous.

Son Maître prend la main de Keyah, pour la raccompagner nue jusqu’à chez elle.

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Soirée Entre Amies Ch. 05

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Closeup

Soumises

Maître Luc

Mon épouse et moi mangeons tranquillement notre dessert. Carole est toujours à mes pieds et Laurence se tient debout à côté de Françoise. Elle est dans la position d’attente, les jambes écartées avec un espace de quatre-vingt centimètres entre ses pieds, les bras dans le dos, le regard vers le ciel. Ses seins lourds dépassent de son tablier de soubrette. Mon épouse lui a claqué deux coups de martinet sur les fesses, car elle a osé demandé si elle pouvait s’asseoir et manger avec nous. Je pense qu’elle a compris la leçon.

Il est maintenant l’heure de débarrasser la table et de ranger la vaisselle. Cela se fera avec nos deux soumises. Mon épouse est allée chercher deux laisses et leur a mis comme il gaziantep jigolo escort se doit. Elles obéissent sans dire un mot. Carole doit toujours se déplacer à quatre pattes, elle est maintenant complètement nue. Mon épouse a fixé par une sorte de plug, un plateau spécial à roulette à Laurence et Carole y dépose les plats, assiettes etc…

La voir se déplacer comme cela, son derrière qui se déhanche, ses lèvres pendantes, c’est très excitants. Arrivée à la cuisine, elle doit lécher les plats comme une bonne petite chienne.

Voilà la vaisselle est rangée, les soumises ont bien travaillé, elles ont le droit à une récompense. Mon épouse qui ne porte pas de culotte, soulève gaziantep lezbiyen escort sa robe et invite Carole à venir la lécher. J’en fait de même avec Laurence, qui à genoux se retrouve avec ma verge au fond de sa gorge. Elle doit aussi me lécher les testicules. Je dois dire qu’elle suce merveilleusement bien et qu’elle aurait vite fait de me faire jouir. Mais je sais comment me retenir. La soirée ne fait que commencer.

Florence

Après avoir débarrassé la table de manière assez humiliante, Maîtresse Françoise a exigé que je lèche toute les assiettes et tous les plats avant de les mettre dans le lave-vaisselle. Certains plats étaient encore plein de sauce délicieuse gaziantep masaj salonları mais grasse.

Maîtresse Françoise m’a retiré mon plateau et je sens encore le passage de la boule qui le retenait dans mon anus.

Je suis soulagée de constater que c’est Maître Luc qui me choisit et je m’applique à le sucer du mieux possible son sexe me semble énorme et long dans ma bouche parfois il le pousse contre ma glotte je bave énormément et je retiens des hauts le cœur

Maître Luc est dur et raide dans ma bouche, cela fait déjà plusieurs minutes que je le suce, le pompe et même que je lèche et gobe ses testicules. Je n’avais jamais fait cela mais cela m’a semblé approprié. Il me caresse les cheveux et je sens que ses mains me les attrapent.

Je m’applique du mieux possible et je pense que je lui fais de l’effet. Mais je dois avouer que mon corps réagit aussi, je sens mes tétons durcir. Maître Luc doit pouvoir les voir pointer. Je ressens des frissons dans mon bas ventre, je suis sûre que ma fente est trempée et dégouline sur mes lèvres intimes qui doivent être luisantes et brillantes.

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Malaurie 03

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Ass

« Laissez la moi, je vais la chauffer » dit Isabelle.

En se redressant, le gros homme accapare le pubis de Malaurie dans sa grosse main ; un doigt pénètre dans la fente et écrase le clitoris. Malaurie se force à ne pas crier ; Elle serre les dents et ne dit rien. Seul le soubresaut de son ventre exprime son désarroi : Elle réalise qu’elle est maintenant prisonnière de sa propre décision, elle a peur d’en payer le prix fort des contraintes et aliénations qu’elle redoute de se voir imposer.

Isabelle s’accroupit près de Malaurie et étend un onguent réparateur sur la marque de la corde. Puis, elle commence tout doucement à effleurer les seins de Malaurie en oubliant les bouts, puis remonte par pression plus prolongée vers les tétons.

Malgré sa réticence, Malaurie ne peut empêcher ses tétons de gonfler et durcir, ce qui n’échappe pas au regard d’Isabelle qui commente avec quelques mots crus : « Elle en veut toujours, la cochonne, Regardez comme elle pointe! Cela promet ».

Les seins de Malaurie se gonflent au contact de la peau douce des mains de cette femme. Malaurie oublie un instant les liens qui l’entravent. Elle se laisse enivrer par cet attouchement.

Isabelle remarque les poings fermés de Malaurie. Elle lui ordonne d’ouvrir ses mains et d’écarter les doigts. Dans le même temps, elle caresse les lèvres de Malaurie et la force à ouvrir la bouche. Doucement, elle lui rappelle à l’oreille qu’elle doit garder la bouche ouverte, offerte à tous les services. Joignant le geste à l’ordre, Isabelle s’approche de la bouche de Malaurie et enfonce sa langue jusqu’au fond de sa gorge. Malaurie se rétracte et refuse de répondre au baiser, mais la langue experte d’Isabelle a raison de sa retenue. Une chaleur douce envahit Malaurie, son ventre se relâche dans un grand soupir. Isabelle maintient son baiser pendant que sa main descend doucement vers l’intimité de Malaurie en s’attardant sur le ventre qu’elle sonde pour en capter les vibrations.

D’un doigt agile, elle saisit le clitoris, le tire et le branle jusqu’à ce qu’elle le fasse gonfler. Elle caresse les lèvres de la fente, enfonce son petit doigt dans le conduit pour en faire sortir l’humidité et humecte la petite partie sensible entre le sexe et l’anus. Ce toucher enflamme Malaurie qui a toujours aimé être branlée. Sentir une main de femme est nouveau pour elle. Elle trépide lorsque Isabelle enfonce un doigt dans son anus et le secoue frénétiquement. Malaurie gémit et laisse échapper une petite ondée de sa fente excitée. Isabelle reçoit ce fluide sans réagir ; Elle ne retire ses doigts que lorsqu’elle perçoit la rémission de Malaurie.

« Voilà, elle est prête » dit Isabelle en se relevant.

Malaurie est heureuse de son comportement. Il n’y a pas de sentiments amoureux dans ce qu’elle vient de vivre avec Isabelle. Elle s’est seulement abandonnée aux pulsions voluptueuses qu’Isabelle a su faire surgir et envahir son corps et son esprit. Le succès de l’épreuve remplit Malaurie de fierté.

Aux bruits des fauteuils gaziantep escortları déplacés et des pas qu’elle entend, Malaurie comprend qu’on se rapproche d’elle ; Elle comprend très vite qu’ils, les inconnus présents dans le salon, maintenant entourent la table sur laquelle elle est exposée. Elle réalise avec excitation que des yeux l’examinent et se promènent sur son anatomie sans pouvoir rien cacher de son intimité. Elle imagine le regard que ces inconnus doivent porter sur sa chatte humide, ses cuisses écartées et sa chair offerte. Elle prend du plaisir à subir cette perquisition même si les liens qui l’entravent lui rappellent qu’elle demeure à la merci de ces inconnus.

Elle frémit lorsque quel qu’un palpe son ventre et dit : « Son ventre est bombé »,

« Ses mamelles sont ramollies et ses tétons ne sont pas gros » dit un autre,

« Sa fente est fermée, il faudra l’ouvrir pour voir le rose » continue un autre en y mettant un doigt,

« Vous avez raison, on l’agrandira tout à l’heure » conclue Jean.

Ces commentaires provoquent de la honte mêlée de délectation chez Malaurie. En se souvenant du conseil d’Isabelle, Malaurie ouvre ses mains et sa bouche. Elle relâche son ventre, relève ses fesses en écartant au mieux ses cuisses et ainsi, mieux offrir sa chatte humide. Cela n’échappe pas aux inconnus qui reprennent leurs commentaires : « Elle aime ça, Regardez comme elle s’ouvre. Il faudra lui apprendre plus de retenue ».

Tout à la jouissance de son exhibition, Malaurie n’entend pas ces inconnus. Seuls, les liens qui la contraignent lui rappellent qu’elle ne peut se dérober. Savoir que Jean est présent l’excite davantage ; elle sait qu’il ne perd rien de la scène, lui à qui elle s’est toujours refusée.

Malaurie sursaute lorsqu’un objet dur est posé entre ses cuisses. Elle pressent avec angoisse que cet objet va lui être imposé. Elle tente d’en estimer les dimensions et appréhende le moment où cet objet la pénétrera ; Cela la remplit de panique.

Deux mains s’agrippent à ses cuisses pour les maintenir écartées, puis une autre main glisse vers la fente dont elle ouvre les lèvres tandis qu’on appuie sur son ventre pour rehausser le bassin. Des doigts ouvrent le goulet et la chose dure est enfoncée dans l’intérieur de Malaurie. Cette chose est froide et sèche. Malaurie reconnaît alors un chibre fortement membré, plus gros que celui que son compagnon lui avait introduit et qu’elle n’avait pas apprécié.

Après quelques va et vient, le chibre occupe tout l’espace et se colle aux parois.

L’introduction a été trop rapide et sa délectation disparaît. Elle se rebiffe contre cette intrusion, se cambre et tente de serrer ses cuisses pour évacuer la chose de son intimité.

Mais les mains qui la bloquent et les liens qui l’entravent l’obligent à subir l’incursion.

« Non, je ne veux pas, j’ai mal » supplie t’elle.

Par soubresauts elle essaye d’évacuer cette chose pénible, ce qui fait rire l’assistance.

Une gaziantep eskort dernière fois enfoncé jusqu’à la garde, le pilon est enfin devenu immobile.

« Lâchez la » ordonne un homme, « Je vais l’éduquer »

Les mains qui tenaient Malaurie la libèrent. Malaurie pousse un soupir profond. Elle abandonne sa résistance. Elle tente d’oublier le gourdin qui encombre son intérieur. Elle cherche une position qui rende plus supportable la tension de ses liens et l’occupation de son ventre.

L’étalage de Malaurie est obscène : les cuisses ouvertes, les bras tendus, la chatte obstruée et les seins avachis. Un sentiment de déchéance l’envahit.

Elle entend les consignes qui lui sont édictées :

« Vous devez vous soumettre et ne plus résister »,

« Vous accepterez sans mot dire nos ordres, autrement vous serez punie »,

« Vous recevrez nos envies en cherchant notre plaisir et non le vôtre »,

« Répondez : oui monsieur »

Le silence de Malaurie excite un inconnu qui lui indique :

« Répondez : oui monsieur ou vos nichons vont en payer les conséquences »

La crainte de subir à nouveau des tourments sur ses mamelles force Malaurie à exprimer son consentement par un « oui, monsieur » craintif et soumis.

« Maintenant, ouvrez votre bouche, écartez vos cuisses et exposez nous vos nichons. On veut vérifier votre soumission » déclare un autre.

Dans un silence oppressant, Malaurie lève son cul. Elle étale sa fente obturée. Ses nichons s’affaissent davantage sur chaque coté lorsqu’elle bombe sa poitrine. L’indignité s’empare d’elle lorsqu’elle ressent ses mamelles gonfler et ses tétons durcir. Dans un état second, son ravissement à s’exposer aux yeux de tous remplace progressivement la honte qui l’occupait. Elle y trouve du plaisir mêlé de la satisfaction à vaincre ses interdi.

Un inconnu dit : « Il faut la mouiller, autrement elle ne pourra plus être utilisée ».

La trique est retirée. Le gel froid déversé coule entre ses cuisses et pénètre son intimité lorsque l’objet est enfoncé à nouveau. Malaurie geint faiblement sous la poussée du pilon qui frotte son fourreau.

Un des hommes dit : « Levez lui le cul, il faut agrandir son entrée ; elle est trop serrée. »

Des mains glissent un coussin sous le cul de Malaurie, elles écartent les fesses pour agrandir l’accès.

Malaurie supplie qu’on arrête mais ils n’entendent pas. Le chibre reprend son taraudage ; la respiration de Malaurie devient haletante au rythme des assauts. Un gémissement plaintif accompagne chaque appropriation de son intérieur.

L’objet enfoncé au plus profond est maintenu figé jusqu’à ce que Malaurie, épuisée par l’assaut, abandonne sa résistance dans une convulsion qui est comprise comme une manifestation de jouissance.

A nouveau, le pilon s’engouffre dans le trou béant, il fouille la cavité, la creuse et s’impose aux parois. Les coups de butoir répétés bouleversent Malaurie qui vibre gaziantep eskort bayan de tous ses membres. Ses seins son ballottés, son dos se cambre, son ventre s’enflamme et sa bouche se sèche. Dans un râle plaintif, la délectation réprimée jaillit de son ventre et coule entre ses cuisses. Malaurie est consternée de n’avoir pu contrôler son plaisir. « C’est bien ainsi, ils vont me retirer cette chose » pense t’elle.

« Ella a joui, la salope. Il faut lui en donner davantage pour calmer ses chaleurs » dit un inconnu.

« Cela suffit, elle est assez agrandie » rétorque un autre en retirant le chibre.

Malaurie ressent un grand soulagement à ne plus être triturée par le morceau de plastique. A plusieurs reprises; elle rentre son ventre en gonflant sa poitrine pour respirer profondément. Elle abandonne enfin son corps aux frissons qui la prennent.

« Il faut la punir, elle est trop facile » reprend sur un ton de désapprobation celui qui voulait que cela continue.

Malaurie entend le bruit d’une bouteille de champagne qu’on ouvre et de verres qui se remplissent.

Elle tressaille lorsque un filet de liquide froid coule sur son bas ventre, un des hommes déversant son verre en pointant le nombril. Les bulles de champagne glissent dans le sillon de ses cuisses ouvertes et ruissellent vers son triangle. Elle se tortille pour détourner le liquide hors de sa fente.

Le goulot d’une bouteille qui s’enfonce dans sa chatte la fait paniquer. Elle pousse un cri, serre son ventre et ses cuisses pour rejeter cet objet.

« Elle résiste ; il faut la débrider. » dit une voix qu’elle ne connaissait pas.

Deux mains prennent ses hanches pour les plaquer fermement sur la table basse. Ainsi bloquée, le goulot de la bouteille est introduit sans difficultés ; il écrase les lèvres et dilate le passage. Malaurie n’ose plus se défendre par peur de se blesser. Dans une forte inspiration accompagnée d’un gémissement plaintif, elle endure cette intrusion.

« Tu vas boire, maintenant!» insiste l’homme en redressant la bouteille.

Malaurie se contorsionne pour chasser le goulot. « Non, je ne veux pas » répond Malaurie d’une voix qu’elle veut ferme.

Sans rien écouter, les mains glissent des hanches sous les fesses et rehaussent son cul. Le goulot de la bouteille s’enfiche davantage. Malaurie pousse un long soupir, abandonne toute résistance et reçoit au plus profond de son intérieur le champagne froid.

« Pendant qu’elle pisse, buvons! » reprit la voix.

Lorsque la bouteille est retirée, le champagne envahisseur s’écoule sur la table. Malaurie abattue et inerte ne ressent pas la bouche qui s’applique à boire le liquide ruisselant de son sexe refroidi. Des spasmes secouent son corps.

Isabelle commence par dénouer le lien qui ceinturait les bras et décroche la chaîne qui les tenait tendus. Malaurie peut enfin allonger ses bras le long de son corps. Elle attend que la circulation sanguine apaise ses contractions. Ses chevilles sont également libérées. Avec l’aide d’Isabelle, elle s’assied sur la table basse.

Elle demande une serviette pour s’essuyer, ce qui lui est refusé. Elle doit conserver le jus pour plus tard lui dit on. Guidée par Isabelle, Malaurie est dirigée vers un fauteuil. Epuisée et enfin soulagée de ne plus être ligotée, elle s’y recroqueville pour mieux se protéger.

La suite, plus tard.

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Les Photos 03

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Amateur

Comment décrire cette nuit de folie? Mes phantasmes si profondément enfouis, si longtemps refoulés ont été dévoilés.

Mes désirs de soumission se sont réalisés.

L’impensable m’est arrivé, une voisine que je ne connaissais pas ce matin me domine totalement.

Le plus improbable, le plus fou, mes deux secrétaires elles aussi participent à mon humiliation en direct.

Je suis nu, face à elles, et devant une centaines de hommes et quelques femmes.

Depuis un long moment, elles m’observent et participent activement à tous les situations les plus humiliantes que Maîtresse me fait subir.

Je peux les voir moi aussi depuis peu.

Sur un écran, je vois Laeticia, elle est allongée sur son lit. Elle porte une petite nuisette rose qui dévoile ses magnifiques courbes.

Elle dévoile ses magnifiques formes, j’admire pour la première fois, ses seins, elle fait 90 D, je connais déjà ses mensurations, comme celles de Manon. Mais pour la première fois, je peux admirer Laetia à demi-nue.

Ses tétons pointent outrageusement, ils tendent sa nuisette très transparente. Elle a de larges auréoles foncées, ses mamelons ronds, sont d’un galbe si parfait, c’est si sensuel, si excitants de la voir dans cette tenue.

Je ne vois malheureusement, que la moitié de son corps plantureux. Elle est appuyée sur deux grands oreillers.

Son lit est bien encombré, bouteille d’eau, ordinateur, gâteau, cigarettes, téléphone,….

Sur un autre écran, je peux voir Manon, elle est installée sur son canapé, sa tenue est plus sage mais tout autant excitante. Elle porte un très fin débardeur et une petite culotte noire. À côté d’elle, je découvre deux vibromasseurs, un rabit rose et un petit stimulateur de clitoris.

Mon regard passe d’un écran à l’autre.

Elles sont toutes les deux absolument délicieuses.

C’est si inespépré, j’ai une chance inouïe, je peux admirer les deux femmes qui me font phantasmer depuis très longtemps. Je les vois dans leur intimité, c’est encore plus excitant.

Mais, je n’oublie pas un seul instant que je suis le jouet de ses trois Femmes très très imaginatives, le gode au fond de mon cul est là pour me le rappeler, il vibre régulièrement.

Est-ce que le confinement exacerbe les frustrations?

Ce qui est sur, c’est qu’elles se sont lâchées et moi aussi.

Est-ce que j’avais le choix?

Bien sur! J’aurais pu dire non, j’aurais pu tout arrêter à tout moment, plusieurs fois Maîtresse m’a posé la question. Mais j’ai tout accepté avec un réel plaisir.

La voisine m’a poussé à me dépasser.

J’ai été si obéissant, si docile.

J’ai fait absolument tout ce qu’elles m’ont demandé.

Mon corps à été exploré sous toutes les coutures, Maîtresse Christine ne m’a rien épargné.

Laeticia et Manon me parlent de façon très autoritaire, pour la première fois. Leur voix me dirige, elles me pilote à distance. Je suis leur marionnette, leur jouet.

Maîtresse Christine est leur bras armé. Elle organise, propose, dirige d’une main de fer.

Elle a sortit une grande collection d’instruments et sextoy en tout genre, cordes, cravache, fouet, godes de toutes tailles, cockring,…

Tout y passe ou presque, je ne réfléchis plus depuis longtemps, j’exécute, je fais, je parle aussi beaucoup.

Elles veulent tout savoir, de mes ressentis, de mes envies, de mes désirs, de mes phantasmes.

Je décris avec moult détails mes désirs intimes.

Je n’ai plus aucun secret pour mes deux secrétaires et ma Maîtresse.

Elles connaissent maintenant mes phantasmes.

Elles ont exploré mon esprit, m’ont questionné sur ma famille, sur mes amis, sur mon Épouse, sur mon mariage, tout mon fonctionnement a été décortiqué.

Elles ont décodé minutieusement tous mes mécanismes de défense, pour mieux me dominer, mieux me soumettre.

Mon corps n’a plus de secrets lui aussi.

Elles m’ont fait prendre un nombre incalculable de poses, de positions, toutes les plus humiliantes les unes que les autres.

J’ai obéi à toutes leurs demandes, sans pudeur, sans retenue, sans rien cacher.

M’abandonner totalement, me permets curieusement de me libérer de tous mes complexes.

C’est une sensation troublante d’obéir sans se poser de questions.

Je me suis mis à nu à tous les sens du terme.

Elles m’aident à dépasser toutes mes barrières.

Elles effacent aussi peu à peu toutes traces de mon égo de mâle.

Je ne réfléchis plus, je fais tout ce qu’elles ordonnent.

Je dis tout ce qu’elles veulent savoir.

Maîtresse Christine m’aide énormément, elle m’encourage, me rassure, elle me permet de sortir de ma “zone de confort”.

En une journée et une nuit, elle m’a transformé, elle m’a libéré.

Elle connaît maintenant, chaque partie sensible de mon corps, toutes mes zones érogènes.

Je la remercie car grâce à elle j’ai découvert mon corps comme jamais avant.

Elle me caresse, me palpe, m’attache, m’encule, me fesse, elle me fiste même, je suis tellement distendu.

Mon cul à été si défoncé qu’il reste encore gaziantep escort numaraları très ouvert, il est tout dilaté.

J’ai éjaculé quatre fois, j’ai dû avaler mon foutre à chaque fois. Elles m’ont littéralement vidé les couilles.

Je suis surpris de les découvrir si vicieuses. Elles ont beaucoup d’imagination, elles veulent tout savoir, tout comprendre. Je suis leur cobaye mâle.

Je deviens le soumis de mes secrétaires, leur ” esclave “.

Je m’engage avec joie, je signe même un contrat d’appartenance.

Tout est enregistré, Maîtresse me promet de faire un joli petit montage pour mes deux collègues et mon Épouse.

Elle m’explique que la diffusion publique s’est arrêtée depuis longtemps.

Qu’elle a pris énormément de plaisir et gagné de l’argent grâce à moi.

Je suis un homme fondamentalement soumis qui ne demandait qu’à s’épanouir.

Au petit matin, quand je quitte Maîtresse, je suis un autre homme.

J’ai vécu une sorte de reformatage de mon moi intérieur, comme si tout ce que j’avais enfouis au plus profond de mon être venait de se libérer.

Tout ce qui m’arrive je l’accepte, je l’ai voulu, je l’ai cherché, je l’ai trouvé.

Je n’ai pas été forcé, ou si peu.

C’est volontairement que j’ai accepté leur domination.

En sortant de l’appartement, je me sens épanoui, libéré, je suis plus complet.

Je ne suis plus simplement un directeur, un mari, un ami, un bon vivant, un épicurien, un homme heureux de vivre. Je suis aussi un homme soumis qui a trouvé sa raison de vivre.

Je suis prêt maintenant, j’assume entièrement nouveau statut. Il n’y a plus de retour en arrière.

Au plus profond de moi, je ne veux qu’une seule chose, satisfaire par mon obéissance, mon dévouement, les Femmes qui m’entourent.

Pourtant, celle qui a le plus d’importance à mes yeux, c’est mon Épouse.

C’est à elle que je veux obéir.

Je lui appartient, je désire tant la satisfaire.

Je suis amoureux de mon Épouse Sabine.

Les viennoiseries et le pain sous le bras, je rentre chez moi. La maison est calme, un peu de rangement, ils ont mangé, ils ont tous laissé en vrac. J’installe le petit déjeuner sur la table du jardin, au soleil.

Je prépare le café lorsqu’un des amants de mon Épouse sort dans le jardin.

Il est grand, très musclé, il doit avoir dans les 25 ans, il est nu, il a une très grosse bite même si il ne bande pas. Il est en territoire conquis, il est comme chez lui.

Il s’installe le plus simplement du monde à table.

_ Salut, c’est toi Julien?

○ Oui Monsieur.

_ C’est parfait, un grand café avec deux sucre, s’il te plaît, et dépêches toi le cocu j’embauche dans une demi-heure.

○ Oui, bien sur Monsieur.

_ Va vite voir ta femme, elle t’attends.

○ Merci, Monsieur, bonne journée.

La porte de la chambre est grande ouverte, les bruits qui sortent ne laissent aucun doute sur ce qui se passe.

Il me faut quelques secondes avant d’oser pénétrer dans ma chambre.

Ce n’est pas la même chose de voir les exploits de mon Épouse derrière un écran et de la voir en vrai.

Je passe la tête.

Sabine est à quatre pattes, dos à l’entrée, au milieu du lit, l’homme est allongé sur le dos, la tête appuyée sur des oreillers.

Elle lui suce la bite.

L’homme me sourit quand il me voit.

Je ne dis pas un mot, je suis fasciné de voir mon Épouse avaler en entier cette bite, sur notre lit.

Ma queue durcie instantanément, je bande dur alors que j’ai joui plusieurs fois cette nuit.

La chambre pue le sexe.

Je suis derrière mon Épouse, son trou du cul est sacrément dilaté, sa chatte est rouge, toute gonflée.

Du sperme coule de son sexe béant, elle en a partout sur les cuisses, les fesses et le dos.

Après la journée et la nuit passée à obéir, à me soumettre je n’ai qu’une envie, continuer mon apprentissage de mâle soumis.

Je ne pense qu’a une chose, lécher mon Épouse.

L’homme, les deux mains sur la tête de mon Épouse, me regarde.

Son sourire carnassier, ses yeux noirs me font frissonner.

C’est le mâle dominant dans toute sa splendeur. Il doit avoir un peu plus de 30 ans.

Il se fait sucer par mon Épouse. Ses deux mains lui tiennent la tête.

C’est lui qui imprime le rythme la félation.

D’un geste, il me fait comprendre d’avancer et de me dévêtir.

Je suis nu en quelques secondes, la queue au garde-à-vous devant mon lit.

il me fait signe de m’approcher.

j’admire alors, de tout prêt, la prouesse de mon Épouse.

Je suis fasciné par sa bouche grande ouverte, déformée par ce mandrin énorme.

D’une main ferme sur la tête de mon Épouse, il l’oblige à avaler sa bite en entier, de l’autre, il m’attrape, d’un geste brusque et rapide, les couilles.

Il me tient fermement, je ne bouge pas, il les serre de sa grande main puissante.

Il me regarde droit dans les yeux, je ne peux soutenir son regard.

Je baisse les yeux, je croise alors gaziantep escort reklamları le regard de mon Épouse. Elle n’a rien perdu de cet échange sans parole.

Elle me fixe.

Sa bouche ne quitte pas sa bite, elle semble assoiffée, insatiable.

Elle accélère les mouvements, augmente le volume sonore de sa succion.

_ Ça te plaît le cocu de voir ta Femme sucer une belle grosse bite?

○ Oui Monsieur, c’est très excitant.

_ Tu entends ça Sabine! Ton mari est excité par ma grosse bite.

Bon! Le cocu, va nettoyer son cul, je vais l’enculer quand il sera tout propre. Tu es là pour ça non?

○ Euh, oui Monsieur.

_ C’est ce que tu veux, n’est-ce pas?

○ Oui Monsieur.

_ Alors, demande moi la permission.

○ Monsieur, puis je lécher le cul et le sexe de mon Épouse pour la nettoyer afin que vous puissiez la baiser et l’enculer, s’il vous plaît?

_ Tu entends Sabine?

Ton cocu de mari, demande s’il peut te nettoyer le cul?

_S_ Mais avec plaisir! Julien lèche moi!

Mon Épouse, a lâché sa bite, elle me regarde, un grand sourire illumine son visage.

L’homme me tient toujours par les couilles, il les serre une dernière fois avant de me claquer fortement le cul.

_ Dépêches toi le cocu, va la lécher,

ta femme veux sentir ma bite au fond de sa chatte et de son cul. T’inquiète j’en ai du tout frais pour toi.

○ Oui Monsieur, je me dépêche,

Merci.

Je n’ai pas d’hésitation, je me met à genoux derrière mon Épouse.

Je sors la langue. Il y a beaucoup de sperme séché sur son cul.

Je passe ma langue partout, je nettoie, avale chaque trace.

Son cul est très ouvert, j’y enfonce la langue, j’avale un gros paquet de sperme, puis un second et encore un autre.

Le goût est salé mais pas désagréable.

Elle contracte son cul pousse pour en faire sortir un maximum.

_S_ C’est trop génial, tu lèches le sperme de mes amants, ça y est, tu es vraiment cocu mon Julien.

En plus, tu te régale on dirait.

Tu es encore plus salope que moi.

Va plus bas, lèche partout, vas-y doucement quand même, j’ai la chatte en feu.

Oui! C’est mieux, mais ne touche pas à mon clito.

Julien, dis-moi, ça te fait quoi de bouffer ma chatte pleine de foutre?

○ Merci mon Amour, je me régale, c’est très excitant. Merci.

_S_ Merci pourquoi?

○ Merci de me permettre de lécher ton cul et ta délicieuse chatte remplie du sperme de tes amants.

_S_Tu réalise ton phantasme ” ultime “, tu vois, je tiens toujours mes promesses.

○ Oui mon Amour, merci, tu es géniale.

_ Tu aimes vraiment ça?

○ Oui Monsieur, merci d’avoir si bien baisé mon Épouse.

_ Il est trop ton mari.

C’est vrai qu’il aime ça. Regarde sa bite! Il bande.

_S_ C’est vrai que tu bandes vraiment dur ma petite salope. Lèche bien mon cul. C’est mieux que dans tes phantasmes, non?

_ Allonge toi sur le dos, le cocu tu vas être aux premières loges.

_S_ Allez! Viens vite! baise moi Fabien, j’ai toujours eu envie de faire ça et lui aussi.

_ J’arrive ma belle.

T’as un bon petit mari, il ta bien nettoyé, tu es toute propre, prête à être de nouveau baisée par ma grosse bite.

Regarde bien cocu comment un vrai mâle va baiser ta femme.

Mon Épouse à posé sa chatte sur mon visage, elle se frotte sur mon nez, sur ma bouche, sur mon menton.

J’ai la langue tendue, elle passe et repasse son clito dessus. Elle se branle sur mon visage, elle est toute mouillée.

Elle a pris ma queue dans ses mains, elle me branle.

Elle joue avec mes couilles, passe ses doigts sur mon cul. J’écarte en grand les jambes pour lui faciliter l’accès. Elle doit voir mon cul éclaté, je suis plus ouvert qu’elle, c’est sûr.

Elle a raison je suis encore plus salope qu’elle.

L’homme passe derrière elle, il met les jambes de chaque côté de ma tête, ses couilles touchent presque mon front.

Ses deux grandes mains claquent sur son cul. Il lui écarte les fesses.

Sa queue est encore plus grosse de près. Le gland luisant s’approche de son petit trou foncé. Il le rentre presque en entier puis le ressort et lentement s’enfonce dans la chatte de mon Épouse .

Elle l’avale si facilement.

L’image est absolument magnifique.

Cette immense queue pénètre le sexe de mon Épouse. Elle s’enfonce centimètres par centimètres jusqu’aux couilles, reste quelques secondes tout au fond et sort entièrement. Lentement, il la besogne, il accélère les vas et viens, ralenti, accélère, il va a son rythme.

Je lèche la chatte de mon Épouse du mieux possible, elle coule dans ma bouche, elle va jouir, je l’entend hurler.

Elle me serre encore plus fort les couilles, elle a enfoncé trois puis quatre doigts dans mon cul, sa main s’enfonce jusqu’au pousse. Elle me fouille, je suis vraiment très très ouvert.

Je redouble d’efforts, j’aspire son clito, elle est au bord de l’explosion, elle crie sa jouissance. Fabien n’arrête gaziantep escort telefonları pas de parler. Il est très cru, il se sert des trous offerts pour son plaisir, il est vulgaire, très bestial.

Il a éjaculé au fond de sa chatte, ses mouvements ont ralenti, il garde longtemps sa bite bien au fond. Il est encore dur quand il la sort. Elle est recouverte de leur jus.

Mon Épouse tremble, j’ai la bouche grande ouverte, collée a son sexe. Je bois tout. Je me régale, j’ai toujours aimé son divin nectar, mais le goût et la texture sont différents, c’est chaud, c’est un régal de la boire directement à la source.

Son clito est tendu, il palpite, il est très sensible sous ma langue.

Sans avertissement, la queue rentre puis sort de sa chatte pour s’enfoncer jusqu’aux couilles dans ma bouche ouverte. Il me baise plusieurs fois la bouche.

Il ressort sa bite pour la positionner devant son cul. Le gland s’enfonce délicatement, son petit trou s’ouvre de nouveau, pour accueillir cette immense bite.

Non je ne rêve pas, mon Épouse se fait enculer devant moi. Elle gémit de plaisir, réclame plus, encore et encore, puis sans prévenir, il la sort de son cul pour la pousser à nouveau au fond de ma gorges.

Je subis totalement, comme mon Épouse, je suis utilisé comme un vide couilles, j’adore ça.

Il s’amuse plusieurs fois à alterner entre les trois trous, pour revenir à son petit cul, le trou le plus serré dit-il.

Je lèche maintenant la chatte dégoulinante de mon Épouse pendant qu’elle se fait enculer sauvagement.

Elle s’est assise sur mon visage, j’avale tout, je la nettoie, aspire la moindre goutte, enfonce ma langue au plus profond de son sexe.

Mon Épouse coule comme une fontaine. Elle a de nouveau un orgasme, puis un autre, puis encore un autre.

Elle tremble, elle crie, elle gémit, elle hurle son plaisir.

Elle est submergée par de multiples orgasmes qui semblent sans fin.

Sa jouissance mélangée au sperme de son amant ruisselle directement dans ma bouche.

Il a sortit sa bite de son cul, il l’enfonce dans ma bouche pour que je la nettoie dit-il. Il rajoute même que je le suce mieux que ma salope de femme, il nous humilie tous les deux, j’adore.

Les multiples orgasmes de mon Épouse l’ont épuisé, elle s’est allongée sur moi.

Son corps est parcouru de frissons, je tend ma langue au maximum. Je lèche maintenant ce gland qui sort de son cul, j’aspire les dernières gouttes. Il est satisfait, me complimente pour la pipe. Il positionne les fesses de mon Épouse sur ma bouche, je ne dois pas perdre une seule goutte de sperme qui sort encore du cul de Sabine dit-il.

Mon Épouse se redresse, elle s’assoit confortablement sur mon visage.

Je n’entends pas bien ce qu’ils se disent, quand elle se lève après plusieurs minutes, nous ne sommes plus que tous les deux dans la chambre.

_S_ Merci mon chéri, tu as été parfait, je t’aime. Change les draps, aère la chambre, range tout ce bazar, quand tu auras fini rejoint moi, on doit parler.

○ Oui mon Amour.

Quand je la rejoint, elle termine son petit déjeuner.

Elle pianote sur son téléphone.

Elle porte une courte nuisette, je suis nu.

_S_ Sert moi un café.

○ Oui mon Amour.

_S_ Je suis en pleine forme ce matin. Merci pour les croissants.

Bon, on y est.

Ça fait longtemps que je voulais te parler, je ne savais pas comment te le dire, je me sentais un peu coupable, mais depuis cette nuit je me sens libérée d’un poids, tu n’as pas idée.

J’ai toujours été un peu salope mais toi tu m’a dépassé.

Entre ce que j’ai vu cette nuit et ce qui s’est passé ce matin, tu as fait très très fort.

Alors comme ça tu me trompe avec une voisine dominatrice?

○ Euh! oui et non, mon Amour, excuse moi, tout c’est passé très vite, c’est la première fois, je n’avais rien prémédité, je n’ai jamais voulu te tromper, je te demande pardon. J’ai été piégé.

_S_ Je ne sais pas si j’ai envie de te pardonner, je n’aurais jamais cru que tu sois capable d’aller aussi loin.

Je veux comprendre. Explique moi ce qui t’est arrivé.

Avant de parler met toi à l’aise ne reste pas debout, sert toi un café?

○ Non merci, mais puis je mettre à genoux, s’il te plaît?

_S_ Si c’est que tu veux.

○ Merci mon Amour.

_S_ C’est vrai que c’est une position qui te va bien, surtout avec ce qui vient de se passer.

Tu as l’air épanoui, vraiment heureux mon petit mari.J’ai l’impression que tu as enfin trouvé ta place. Être à mes pieds te plaît on dirait, tu bandes encore.

○ Euh oui Amour, tu as raison.

_S_ Je sais, j’ai toujours raison, bon allez je t’écoute, explique moi tout.

Je lui ai tout raconté, je ne lui ai rien caché, elle m’a écouté, une cigarette à la bouche, les jambes écartées.

Je lui ai parlé de mes soupçons, de mon excitation d’être son mari cocu et soumis, de la voisine qui m’avait espionné depuis longtemps, des photos qu’elle a déposé dans la boîte aux lettres, de mes secrétaires qui ont tout vu, qui ont participé à mon humiliation, …

Elle m’a écouté attentivement, m’a fait répéter, détailler certains passages, elle a même caressé sa chatte par moment. Elle est encore toute mouillée, je vois son sexe luisant qui coule.

_S_ Sert moi un dernier café, va me faire couler un bain, et reviens ranger la table du petit déjeuner.

○ Oui mon Amour.

J’y vais, mais je dois te dire quelque chose, avant tout.

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La Ferme Bio Ch. 01

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Abs

Par Dan57 et Darkminou

Retour à Saint Azul pour Jean, Brigitte et Virginie

Jean roulait tranquillement sur le chemin menant à Saint Azul. C’était une route qu’il connaissait bien, l’ayant emprunté chaque année depuis une bonne vingtaine d’années pour participer à la foire locale. Depuis la première fois où il était venu, longtemps auparavant, les choses avaient bien changé : Il était venu avec Brigitte qui était encore une jeune femme vierge, une de celles qu’on appelait génisses ou vachettes car elles n’avaient encore jamais été mises en présence d’un étalon, et n’avaient bien sur jamais vêlé ni produit la moindre goutte de lait!

Brigitte avait ouvert des yeux ronds lorsqu’elle avait découvert ce qu’on vendait à la foire aux bestiaux de Saint Azul : des êtres humains, des filles et des femmes qu’on transformait avec un spray sur les cordes vocales et des piqures directement dans les seins en productrices très efficaces de lait spécialement adapté pour la consommation humaine : du lait de femme et bio en plus!

Jean à l’époque était venu avec son frère et la petite amie de celui-ci qui avait déjà visité cette foire l’année précédente. Seule particularité : Brigitte, Jean et son frère avaient pris la voiture pendant que la compagne de son frère avait voyagé seule dans un camion qui avait suivi le même chemin la veille… En fait il s’agissait d’une bétaillère pour chevaux réaménagée pour ce transport inhabituel! Brigitte avait été stupéfaite lorsqu’elle avait découvert celle qu’elle considérait déjà comme sa belle sœur, nue et entravée, attendant patiemment l’arrivée de son propriétaire dans le champ près de la grande tente où allait se dérouler la foire.

Il avait fallu tout expliquer à la jeune Brigitte qui avait pu tourner autour de l’autre jeune femme, totalement soumise, soupeser ses mamelles turgescentes aux tétons gonflés, effleurer sa chatte parfaitement épilée avec les lèvres gonflées de son sexe et l’orifice encore dilaté de façon obscène de sa chatte : elle avait donné le jour à sa première fille moins de deux semaines auparavant. Le frère de Jean avait expliqué à Brigitte que le bébé se développait rapidement, qu’il avait choisi pour elle le nom de Virginie.

Brigitte avait été particulièrement choquée de découvrir que sa belle sœur était incapable d’émettre autre chose qu’un vague hennissement. Il avait fallu lui expliquer aussi comment on l’avait rendue muette et qu’il suffirait soit d’attendre quelques mois soit de lui faire boire une soupe bien chaude pour lui rendre sa voix. Cette action avait surtout pour but de frapper les débutantes et de plaire aux clients. L’ablation des cordes vocales était maintenant formellement interdite par le règlement de la foire!

Dix huit ans plus tard, c’était cette même Virginie qui avait découvert à son tour la foire de Saint Azul, car Brigitte en était empêchée par un événement familial. Bon sang ne saurait mentir et Virginie n’avait fait aucune difficulté pour entrer au service très intime de son oncle et de sa tante. Au fil des années, d’autres filles étaient venues se joindre au petit cheptel de Jean, certaines à titre permanent et d’autres de façon plus occasionnelle parce qu’elles avaient d’autres devoirs vis à vis de leurs compagnons habituels, surtout pour le plaisir de découvrir cette ambiance si étrange.

Cette fois ci, Jean avait décidé de louer un stand rien que pour lui et ses laitières. Outre six filles accortes et souriantes, mais parfaitement muettes, il allait proposer aux chalands toute une gamme de produits dérivés : lait, beurre, crème et fromages. Les clients pourraient aussi s’isoler sous une tente discrète avec la fille de leur choix et user d’elle comme bon leur semblait à moins qu’il ne veuille profiter d’elle à la vue de tous sur une table ou dans la paille, voire dans l’herbe grasse! Bien entendu, ils pouvaient user à volonté de n’importe lequel de ses orifices et de tout son corps d’une façon générale.

Des fêtes mémorables avaient permis à Brigitte de prouver sa souplesse extraordinaire : elle avait réussi à satisfaire jusqu’à sept hommes : les trois classiques plus un entre ses seins lourds, deux dans ses mains serrées et deux autres entre ses orteils tandis que le dernier inondait sa chevelure opulente!

Les formes de Brigitte étaient toujours aussi alléchantes et Jean espérait tirer d’elle un bon profit encore cette année, même si Virginie lui rapportait nettement plus déjà : l’attrait de la nouveauté car cela ne faisait que cinq ans qu’elle était offerte totalement à la libido déchainée des visiteurs… De toutes façons, Brigitte ne se voyait pas nourrir des pigeons sur quelque place de Paris, de Londres ou de Sedan pour ses vieux jours : elle préférait cent fois la vie qu’elle menait pour le moment! Elle ne prenait jamais la pilule pendant la foire de Saint Azul et si ses nombreux partenaires ne parvenaient pas à la mettre enceinte, Jean avait trois mois pour y arriver avec l’aide de ses nombreux amis pour qu’elle soit prête pour une gaziantep escort ilanları nouvelle saillie pour la foire suivante!

Les filles suivaient dans la remorque bétaillère tirée par leur gros 4×4. Les filles étaient déjà nues et entravées. La mise en place ne prendrait que quelques minutes. On ferait une traite rapide pour offrir aux premiers visiteurs un petit verre de leur boisson favorite avant de passer à des choses plus sérieuses et plus rémunératrices. Pendant que les filles feraient leur devoir, souvent avec les yeux bandés pour qu’elles ne puissent pas deviner ce qui les attendait, Jean pourrait discuter avec les acheteurs potentiels : La plupart voulaient faire monter l’une ou l’autre fille par un étalon de leur choix, parfois eux mêmes, parfois leur propre fils, voire quelque grand noir impressionnant. D’autres avaient des exigences plus scabreuses : les faire monter par un chien ou un autre animal et il fallait convaincre les clients de renoncer à leur projet sans les froisser…

Lorsque l’affaire était conclue, Jean retirait délicatement son stérilet à la fille et rajustait son bandeau avant que l’acheteur ne l’emmène pour la nuit. Pour les autres jours, Jean replacerait le stérilet et laisserait à nouveau les hommes user des filles moyennant finances, boire un verre de lait tout juste sorti de la trayeuse ou, comble de l’élégance, boire directement de leurs mamelles gonflées. A partir du troisième jour, les filles seraient solidement attachées, nues, sur un petit chariot à trois roues et sellées comme des chevaux de monte. Le chariot supportait parfaitement la fille et le cavalier. La sensation était fantastique aussi bien pour lui que pour sa monture. On ajoutait des rênes et un mors et l’illusion était parfaite. Les pony girls étaient parties pour des heures de promenade plutôt fatigantes mais le cavalier savait le plus souvent où appliquer une petite cravache pour leur redonner un peu d’énergie : sur les fesses, les flancs, le ventre ou la poitrine ordinairement…

Tandis que ses six filles étaient en train de donner du plaisir à leurs premiers clients, Jean vit s’approcher de lui une vieille connaissance : Maitre Guillaume, un de ses tout premiers clients qui avait acheté les services de Brigitte il y a un peu moins de vingt ans plus tôt et celles de Virginie juste l’année précédente. Les deux compères se connaissaient bien : il ne voulait quand même pas utiliser une des filles de Jean comme poulinière de nouveau? De toutes façons, aucune n’était disponible avant deux ans… La liste d’attente était longue

– Que puis-je pour vous, cher ami? Ne me dites pas que Brigitte vous excite encore? Il faudra attendre encore quelque temps pour que vous puissiez saillir de nouveau Virginie! Vous avez fait deux filles à Brigitte et une à Virginie, si je me souviens bien! Les ainées doivent être adultes maintenant!

– Très juste : Hélène vient d’avoir dix huit ans et Christine en a vingt deux! Il serait temps de mettre en branle mon vieux projet…

– Créer une grande laiterie et fromagerie qui fonctionnerait toute l’année avec une quarantaine de bonnes laitières certifiées bio : quelque chose comme mes charmantes filles mais à une échelle plus industrielle! A vingt euros le verre de lait et deux cents euros la passe ou cent pour une petite pipe, cela devrait rapporter gros effectivement!

– J’espère bien : je n’ai rien d’un philanthrope!

– Et vos premières recrues seront…

– Hélène et Christine, vous l’avez deviné, vieux paillard! Puis ce sera le tour de Deborah, ma secrétaire et Liliane ma tendre épouse. Ensuite, je compte procéder au hasard des occasions : ma sœur qui a, de surcroit, trois filles adorables et probablement encore vierges et qui feraient d’autres recrues parfaites, des voisines ou des stagiaires.

– Mais comment comptez vous dissimuler vos activités?

– Les filles gèreront une vraie ferme bio et vendront du lait de vache et des fromages de qualité. J’aurais besoin d’un personnel important pour s’occuper du cheptel, tellement pléthorique qu’une vingtaine de filles pourront s’occuper des clients pendant la journée et tout le personnel le soir!

– Mmmmhh : tout me semble bien pensé!

– Cela fait vingt ans que j’y réfléchis : j’ai hâte de passer à la pratique mais j’aurais besoin de votre aide!

– De quelle façon?

– Simple : je suis le père de Christine et d’Hélène. Je crains un peu la consanguinité si j’étais aussi le père de leurs enfants! Je verrai pour la prochaine génération mais je préfèrerais que vous vous chargiez de saillir ces deux génisses : je compte les déflorer mais je me retirerai aussitôt pour vous laisser la place. Comme compensation, je vous offre leur pucelage anal : j’ai besoin de les avoir totalement ouvertes et disponibles car j’ai parfois un bus entier de clients à satisfaire! Il ne faut pas que les clients s’ennuient et s’impatientent! Ce n’est jamais bon pour ce genre de commerce!

gaziantep escort kadın Je vois et quand voulez vous commencer?

– J’ai laissé Hélène à l’auberge dans un village pas trop loin, à seulement vingt kilomètres. Je peux aller la chercher tout de suite. Je lui ferai découvrir vos filles et les autres stands. Je la connais : cela va l’exciter terriblement et je vous propose de diner tous les trois. Lorsqu’elle sera à point, on passera dans mon mobil home. Je compte bien que vous aurez imprégné ma petite Hélène avant minuit! Si nécessaire on utilisera un peu de contrainte. Avez-vous déjà prise de force une vierge?

– Pas vraiment. Je préfère lorsque les filles sont consentantes mais les filles actuelles sont des rebelles nées!

Hélène découvrit avec stupéfaction la foire de Saint Azul! Toutes les filles ou presque autour d’elle semblaient se moquer totalement d’être nues au milieu de la foule. La première qu’elle avait vue se reposait dans une petite prairie au milieu des herbes et des fleurs à l’ombre d’un châtaigner. Des papillons voletaient paresseusement autour d’elle. Hélène la vit arracher une camomille sauvage avec sa bouche (ses mains étaient attachées dans le dos) et après mille contorsions, la fille avait attrapé la fleur avec ses dents et elle la levait fièrement, dévisageant les visiteurs qui jetaient un coup d’œil sur son corps lascivement offert. Hélène avait eu un court sentiment de honte : la fille avait tant de naturel et semblait tout à fait à l’aise dans sa nudité.

L’impression de douceur bucolique s’était dissipée lorsqu’un homme beaucoup plus âgé, s’était approché de la fille et lui avait glissé quelques mots à l’oreille. La fille avait opiné de la tête et s’était relevée sans que le vieux bonhomme l’aide. Elle s’était dirigée tout droit vers la barrière de bois qui limitait la pâture et s’était installée dessus, la tête rasant le sol et les fesses en l’air. Elle avait écarté grand les jambes lorsque le vieil homme s’était approché. Hélène avait été abasourdie lorsque le bonhomme avait sans façon baissé son pantalon et exhibé un sexe dardé, massif et couvert de poils. Le prépuce tiré laissait voir le gland rose gonflé par une érection massive. Sans paraître gêné d’avoir Hélène comme spectatrice, l’homme avait pénétré tranquillement la chatte de la fille et avait commencé à la besogner de plus en plus rapidement.

Hélène avait suivi l’action jusqu’à son dénouement. Sans même qu’elle s’en rende compte, sa main avait remonté jusqu’à sa poitrine et elle avait entrepris de se masser les seins. Elle les sentait tendus sous ses doigts. Leurs pointes étaient raides et inhabituellement longues. Elle était bien obligée de s’avouer que le spectacle ne l’avait pas laissée indifférente et qu’elle aurait bien voulu se retrouver à la place de cette fille inconnue… Le vieil homme’ perçut son trouble et s’adressa à elle directement :

– Bonjour Mademoiselle, je suis désolé mais je suis trop vieux pour faire un doublé aussi rapidement! Sinon je vous aurais proposé de prendre la place que ma petite fille Diane a laissé toute chaude!

Mon dieu, quelle horreur! Hélène venait d’assister aux premières loges à une inceste particulièrement ignoble! Comment un grand père pouvait être assez dépravé pour copuler avec sa propre petite fille et en parler avec autant de détachement, en plus! Une image se forma dans l’esprit déboussolé d’Hélène. Son père Guillaume se penchait sur elle et prenait ses seins, l’un après l’autre, dans sa bouche et les tétait comme un nouveau né tétait les seins de sa mère…. Elle réprima un grognement de plaisir inattendu.

Hélène s’enfuit piteusement. Guillaume avait suivi l’émoi de sa fille, sa fascination pour ce qui s’était passé sur la barrière de bois, son intérêt non dissimulé pour les propositions obscènes du grand père incestueux et finalement les attouchements discrets que sa fille avait effectués sur son propre corps : Hélène progressait rapidement! Encore quelques scènes osées du même genre et elle s’offrirait d’elle même à son propre père. Si Guillaume avait imaginé que ce serait aussi facile, il n’aurait pas demandé l’aide de Jean et aurait oublié les risques de consanguinité!

Hélène se réfugia aux toilettes. Elle passa sa robe au dessus de sa tête et retira ses sous vêtements. Elle se retrouva toute nue dans l’espace exigu. Elle chercha du doigt sa chatte et mit avec délicatesse un doigt dans l’orifice inviolé.

– Mon Dieu, Non! Papa serait furieux s’il apprenait que je me suis dépucelée avec un doigt dans les toilettes publiques de Saint Azul!

Cela ne l’empêcha pas de continuer son exploration prudente de sa chatte si chaude, si humide et en même temps si sensible. Des ondes de plaisir parcouraient son corps lorsqu’elle toucha son hymen. La fille avait joui très fort lorsque son grand père l’avait emmanchée. Hélène se demandait si c’était lui qui avait dépucelé sa petite fille. Elle l’espérait de gaziantep escort kız tout son cœur! Hélène connaissait bien son propre grand père paternel, un vieil homme très doux qu’elle ne pouvait pas associer avec le soudard en rut qu’elle avait vu officier dans le pré. Ses pensées étaient maintenant focalisées sur son dépucelage qu’elle espérait maintenant imminent. La pauvre fille était bien loin de s’imaginer que son propre père l’avait déjà planifié pour le soir même, que c’était lui même qui s’en chargerait avant de l’abandonner aux mains expertes de Jean qu’elle ne connaissait pas encore mais qui savait déjà qu’il cracherait sa semence sur les tout premiers œufs de la jeune fille, quelle allait porter son ou ses enfants pendant les neuf prochains mois!

Guillaume entraina Hélène vers un autre stand. Il acheta un verre de lait pout Hélène et choisit de se servir lui même sur la fille qui faisait le service. Hélène comprit à cet instant d’où venait le lait qu’elle buvait et curieusement son excitation s’accrut nettement. Guillaume était aux anges : le lait était délicieusement tiède et il complimenta la fille pour la qualité de sa production. Elle répondit avec une servilité totale qui surprit même Hélène :

– Merci, Maitre! Mon propriétaire me nourrit avec des produits bio exclusivement. Pendant la foire de Saint Azul, je bois surtout son sperme et celui des hommes que mon propriétaire m’adresse!

– Bien, petite salope, tu vas pouvoir gouter au jus de mes couilles et voir s’il est aussi bon que celui de ton Maitre!

– Dois je aussi donner du plaisir à la jeune fille qui vous accompagne, Maitre?

– Non pas aujourd’hui! Elle porte encore le foulard blanc mais demain ou après demain, elle aura le foulard rouge et tu pourras la faire jouir tout son saoul, à moins que je ne décide de faire d’elle un fusil à trois coups à voile ou à vapeur (Hélène apprit plus tard que cela consistait à se lancer dans un 69 endiablé avec une autre fille pour annoncer publiquement que la fille est disponible pour des accouplements lesbiens après avoir fait jouir deux hommes différents dans sa chatte et son anus : sa disponibilité sexuelle serait officiellement totale).

Hélène comprit instantanément ce que ce langage codé voulait dire : le foulard blanc, qu’elle était encore vierge, le foulard rouge qu’elle ne le serait bientôt plus et que son père envisageait de la faire participer à des orgies avec différents partenaires! Ce qui surprit Hélène fut de n’être aucunement choquée : on allait la transformer en jouet sexuel et cela ne semblait pas du tout la gêner! Au contraire, elle se sentait calme et détendue, avide de connaître ces nouvelles sensations. Elle se tourna vers son père et lui adressa un sourire radieux :

– Merci, Père, j’espère vous faire honneur!

Cette simple phrase enleva un grand poids sur les épaules de Guillaume : Hélène allait collaborer sans faire trop de difficultés. Mais Hélène tourna sa hargne contre cette femme qui, paraît-il était sa mère. Elle ne contestait pas ce lien mais elle avait besoin de déverser sa bile sur quelqu’un d’autre et Brigitte était une victime toute trouvée et sans défense! Sa nudité présente montrait qu’elle était juste une esclave sexuelle sans aucun pouvoir… Hélène chercha d’instinct à l’humilier. :

– Alors c’est cette trainée qui est ma mère : triste choix de mère porteuse que tu as fait là, papa, alors qu’il y a tant de jolies filles dans cette foire!

Guillaume chercha à se justifier : il ne voulait pas perdre la face devant sa fille et celle-ci était vraiment injuste!

– Du calme, Hélène! A l’époque, nous votions déjà pour choisir la plus jolie fille de la foire et Brigitte a remporté trois fois le prix, une fois dans la catégorie génisse et les deux autres comme laitière! Si tu fais un jour aussi bien qu’elle, tu pourras le prendre de haut mais tu devras faire tes preuves! Tu te crois le centre du monde ou quoi? Tu es jolie, certes mais il y a ici une bonne douzaine de filles aussi jolies que toi! J’ai du payer cent mille francs, quinze mille euros si tu préfères pour pouvoir cracher mon sperme dans le vagin de ta mère et en avoir un joli rejeton!

– Hé bien, tu aurais du lui cracher ton sperme au visage! Elle n’en valait vraiment pas la peine!

Guillaume ne put se retenir plus longtemps : l’étiquette de la foire de saint Azul n’acceptait pas qu’une simple génisse qui n’avait encore jamais vêlé et qui était même encore pucelle, élève la voix devant des propriétaires éleveurs expérimentés. L’honneur de Guillaume était en jeu! Il attrapa Hélène par les cheveux et la tira hurlante vers le podium où un attroupement se formait déjà. En dépit de sa résistance désespérée, Hélène se retrouva poussée contre un curieux poteau. Guillaume prit sa main et l’attacha à une espèce de menotte qui pendait à droite du poteau. Sans laisser à Hélène le temps de se reprendre, il attacha son second poignet à une autre menotte similaire. Puis il chercha dans la paille par terre pour trouver une lourde barre de fer munie de deux attaches à près d’un mètre de distance. Elles furent fixées promptement à ses chevilles. Hélène ne pouvait plus se débattre mais sa langue était toujours libre.

– Alors, mon père est finalement un salaud qui veut abuser de sa fille. Vas-y, viole moi mais dès que je pourrai, j’irai me plaindre aux flics! Tu passeras vingt années en prison!

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LAURA 060: les infidélités se paient

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LES INFIDELITES SE PAIENT 12/13

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Troisième séjour en enfer 7/8

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C’est ma deuxième semaine de captivité

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Retourner chez Amandine m’effraie car je sais comment va encore se passer avec Max son chien qu’elle ne veut pas faire tenir tranquille et éloigné de moi.

Je suis pourtant forcée les lundi et jeudi matin d’aller faire son ménage, de la faire jouir, de me masturber ensuite jusqu’à l’orgasme et surtout de supporter ce que me fait endurer la bête.

Dés que j’arrive chez elle elle confisque ma robe, je dois sortir à l’extérieur pour aller chercher le matériel utile au ménage et à chaque fois quand je reviens elle me frappe à l’aide d’un martinet me reprochant de m’exhiber à la vue des gens pour lui faire honte.

Pendant que je nettoie je reçois des coups de martinet car elle est toujours mécontente de mon travail.

Elle me frappe aussi quand j’essaie de repousser Max son chien qui devient rapidement trop gênant en me léchant les fesses et essayant de grimper sur moi pendant que je nettoie le sol accroupie ou à genoux. Elle me reproche de le traumatiser.

Je reviens de chez elle de plus en plus abattue et j’ai la haine quand je la vois rire quand elle observe ce que m’arrive avec max attiré par ma mouillure après qu’elle m’ait obligée à me masturber et me faire jouir allongée sur le sol.

Je dois le laisser me lécher partout où il veut.

Puis comme cela lui donne des envies et que son pénis est souvent sorti de son fourreau et en érection, je dois le laisser me pénétrer et se soulager dans mon ventre dans la position que ma tortionnaire exige pendant qu’elle regarde en ricanant.

Ce n’est pas sain surtout que l’hygiène de l’animal comme celui de sa maîtresse laisse à désirer et aussi parce que je n’apprécie pas ce genre de contact.

J’ai compris que c’est une femme méchante qui n’a qu’un but: m’humilier, me faire passer pour une nullité et me rabaisser au rang le plus bas de la société.

Le mercredi après-midi Amandine m’enchaîne dans un endroit herbeux du parc de la propriété de Mathieu.

Mon corps sert de récompense au vieux jardinier qui apprécie de me sodomiser et qui malgré ses envies et la vigueur que je mets à le masturber et le sucer n’arrive pas à rebander après avoir difficilement joui une deuxième fois.

Les mardi et vendredi matin je fais le ménage chez Mathieu sous la surveillance d’Amandine qui n’hésite pas à critiquer mon travail, m’insulter, me frapper les fesses et le dos avec son martinet.

Et il y a toujours Max son chien qui le membre en érection et bien sorti de sa gaine me lèche les fesses et veut grimper sur moi pendant que je suis occupée.

Cela finit toujours pareil:

– tu vois bien que Max a envie de sa femelle, laisse le te sauter –

Soit je me mets gaziantep evi olan escort à genoux et une fois qu’il a mis ses pattes sur mon dos je l’aide à faire pénétrer son pénis dans ma chatte ou bien je me couche sur le carrelage. Je relève, replie et écarte les jambes puis quand il a posé ses pattes avant sur mon ventre je le laisse me pénétrer.

Il se met a remuer et je sens son pénis bouger dans mon intimité puis grossir avant que du liquide ne coule dans mon vagin.

Une fois qu’il s’est retiré je dois nettoyer mes fesses et aussi le carrelage taché par le sperme. Tout ça sous le regard moqueur d’Amandine et en supportant ses réflexions désagréables.

Une fois le travail fini je dois faire l’amour à Amandine et la faire jouir.

Quand elle est mal lunée elle me prive de repas le midi.

Le mardi après-midi il fait très chaud, pendant que je suis prisonnière du carcan, survient un violent orage, le vent et la pluie qui s’abattent sur mon corps nu pendant plusieurs heures me glacent.

Amandine attend que la pluie cesse pour venir voir ce que je deviens et tout ce qu’elle trouve à dire c’est:

– ce qui est tombé t’as fait du bien la putain, pour une fois tu es propre, malheureusement tu as perdu trois clients à cause du temps –

Amandine varie les humiliations qu’elle me fait subir.

Dans la journée soit je suis prisonnière du carcan debout dos courbé ou à genoux car l’engin est réglable en hauteur, soit je suis enchaînée au palan les bras levés ou écartés poignets fixé aux extrémités d’une tige métallique accrochée au palan.

Je reçois la visite d’hommes, des connaissances de Mathieu qui souvent sont accompagnés de leur(s) ami(s), je suis devenue une curiosité et un moyen d’assouvir ses envies sexuelles.

Certains me demandent mon prénom je leur réponds “la putain”.

Nous sommes le vendredi, aujourd’hui j’ai droit à un repas le midi car selon elle je dois être en forme l’après-midi. Ensuite elle me conduit à l’endroit ou se trouve le carcan dans lequel elle emprisonne mon cou et mes poignets.

En début d’après-midi Amandine vient me chercher et m’amène tenue en laisse dans la maison. Dans l’allée je vois un camion de livraison.

Arrivées dans la cuisine elle me libère de la muselière et des bracelets de cuir.

– tu vas aller t’arranger un peu pour être présentable et servir de pourboire aux deux hommes qui sont venus livrer des meubles que Mathieu a payé ses achats avec ce que tu lui a rapporté lors de ton précédent séjour –

Je vais dans la salle de bain, je me lave et me maquille puis lorsque je reviens dans la cuisine j’entends Amandine qui parle aux livreurs.

– installez vous sur le canapé, la bonne à tout faire va vous apporter un rafraîchissement et s’occuper de votre pourboire, profitez en car c’est réellement la bonne à tout faire –

Elle revient dans la cuisine.

gaziantep fetiş escort prends le plateau et sers leur à boire ensuite donne leur le pourboire –

J’obéis, je prends le plateau et me dirige vers la salon. Les deux hommes restent la bouche ouverte, incrédules quand ils m’aperçoivent totalement nue.

Je pose le plateau sur une table basse, remplis deux verres et leur tends puis je m’assois entre eux. Ils sont tétanisés et ne savent plus quelle attitude adopter. Je pose mes mains sur une cuisse de chacun d’eux.

– je vous fais peur –

– non mais c’est bizarre de vous voir nue, on n’a pas l’habitude –

– on ne vous a jamais fait proposé de pourboire à caractère sexuel pour vous remercier –

– si mais pas comme ça –

– ici je suis la bonne à tout faire, vraiment tout et monsieur a décidé que je serais votre pourboire. Dites le si je ne vous plais pas –

– si vous êtes belle mais on ne peux pas accepter, ça ne se fait pas –

– vous me faites de la peine, ça me fait plaisir de vous servir de pourboire. je peux vous faire tout ce que vous voulez et vous pouvez vous servir de mon corps à votre convenance.

Ma bouche, ma chatte et mon cul sont à votre disposition –

Ils hésitent, je fais le premier pas.

Je m’approche de celui qui est assis à ma gauche, je me colle contre lui, je l’embrasse.

Il finit par répondre à mon baiser et à mêler sa langue à la mienne puis j’en fais autant avec l’autre. Je caresse leur sexe par dessus le pantalon et constate que leurs pénis commencent à réagir.

Je déboutonne leur pantalon et baisse la fermeture. je glisse les mains dans leurs slips et me saisis de leur membre que je triture puis que je mets à l’air.

Ils s’animent et commencent à me caresser partout.

J’en profite pour leur retirer pantalon et slip en les assurant qu’on est tranquilles dans cette pièce et que la femme qui les a reçus ne nous dérangera pas.

A genoux sur la moquette je fais une fellation à l’un et je demande à l’autre de se positionner derrière moi et de me prendre par l’orifice de son choix, il choisit l’anus qu’il se met à défoncer.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’ils n’éjaculent.

Je suce la queue de celui qui m’a enculée pendant que l’autre pénètre ma chatte, il se passe plus de temps avant qu’ils ne se soulagent dans ma bouche et mon vagin.

Je les masturbe pour qu’ils rebandent et ce n’est pas difficile car ce sont deux jeunes hommes vigoureux.

Je demande à celui qui s’est occupé de mon cul de s’allonger sur la moquette et à califourchon sur lui je me plante sa queue dans le vagin puis à l’aide d’une main je dirige la verge de son collègue sur mon anus qu’il investit d’un coup de reins.

Ils rythment leurs coups de reins et je ressens des sensations très agréables pendant qu’ils ont l’impression que leur queue frotte gaziantep bayan escort l’une contre l’autre.

Excités par cette pratique nouvelle pour eux ils ne sont pas trop longs à atteindre la jouissance et à éjaculer dans mon cul et mon vagin.

Ils se relèvent.

– vous pouvez continuer à m’utiliser si vous en avez envie –

– non, c’était bien mais nous avons encore du travail et maintenant nous sommes en retard, les clients de notre prochaine livraisons doivent s’impatienter –

– je suis désolée c’est de ma faute, je vous ai fait perdre votre temps. Demandez à la dame qui me surveille de me punir –

– on ne regrette pas, ça en valait la peine –

Une fois rhabillés et leurs vêtements rajustés ils regagnent leur camion.

Amandine qui regardait et écoutait dans la pièce d’enregistrement, derrière un écran, les rejoint à l’extérieur et leur parle.

– pas trop déçus de votre pourboire –

– non! c’était super, si ça pouvait nous arriver plus souvent –

Le camion démarre.

Amandine me rejoint et m’affuble de nouveau du gros collier pour chien, des bracelets en cuir, de la muselière/bâillon et des grosses chaînes tout en me critiquant:

– les livreurs sont repartis déçus par ta nullité et ils ont dit que tu ne sais même pas baiser, pour une putain c’est le comble –

Elle m’emmène à l’extérieur en me tirant par la laisse, j’ai du mal à la suivre car elle marche vite et je suis gênée par les lourdes chaînes.

Arrivées sous le palan je dois m’allonger sur l’herbe. elle accroche mes chevilles au palan qu’elle actionne, je ne touche plus terre et suis pendue par les pieds la tête en bas.

– tu vois ce qui arrive quand on est bonne à rien et puis ça me fait plaisir de te punir car je n’aime pas les putains dans ton genre –

Elle s’en va après avoir frappé mes fesses et mon dos avec ma laisse.

Plus le temps passe et plus je me sens mal. Quand mon maître arrive et me libère de ma position très inconfortable je reste un moment allongée par terre à récupérer.

Mathieu qui est venu me chercher pour ce qu’il appelle le dîner se dirige vers l’habitation me tenant en laisse.

Dans la cuisine une femme est à genoux menottée, bâillonnée, son collier pour chien est muni d’une laisse accrochée à un pied de table.

– tu vois la truie ce weekend tu ne seras pas la seule putain captive ici –

C’est une femme aux longs cheveux blonds, mince avec des petits seins, elle se prénomme Nadine.

Mon maître retire ma muselière.

– pendant que je prépare votre pâtée toi la truie lèches le cul de ta collègue pour lui souhaiter la bienvenue, ça se fait entre bêtes et je sais tu aimes ça –

Nadine se couche sur le dos, replie et écarte ses jambes, je me mets à genoux entre ses jambes.

Je lèche sa chatte et fais pénétrer ma langue pour fouiller son vagin et alterne avec le léchage de son anus jusqu’à ce que Mathieu nous interpelle et nous dise de cesser nos enfantillages.

Chacune de nous mange ce qu’il a mis dans nos assiettes posées sur le sol.

Ensuite Nadine retrouve la pièce qui lui sert de geôle puis Mathieu me ramène à l’extérieur et une fois que je suis allongée il attache mes membres à des piquets.

Il part en me souhaitant de une bonne nuit et me disant de bien profiter de l’air pur.

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